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Aulanius
196 abonnés
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4,0
Publiée le 19 janvier 2007
Après avoir vu et adoré les "Y a t'il" avec les avions, je me suis dis que je ne pourrai pas passer au travers des autres "Y a t'il" et j'ai décidé de voir celui-là, et encore une fois, je me suis bien marré. C'est tellement ridicule, que ça nous fait bien rire. Tout passe très vite, Leslie Nielson est exceptionnel, et le scénario est parfait, que demander de plus ? Seul bémol, un petit manque de blagues recherchées, mais bon c'est rien. Alors régalez vous et bon film !
J'ai bien conscience que les films des ZAZ (Zucker Abrahams Zucker) sont assez réputés et cultes. C'est un style particulier qui a le mérite d'être très imaginatif. En revanche, cet humour ne marche pas spécialement sur moi. Toutefois, les acteurs font bien leur travail, l'histoire (Une vraie histoire) est prenante et bien ficelée, les gags s'enchaînent rapidement ce qui nous donne un rythme soutenu où on ne s'ennuie pas.
Le premier opus des mésaventures de l'agent Drebin est un film agréable a regarder. Dans le lignée des "y'a t'il un pilote dans l'avion", l'humour est toujours au rendez vous grâce à l'incontournable L.Nielsen, au nombreux dialogues croustillants et à certains gags visuels ( j'aime bien quand on voit le contour du cadavre dans l'eau ). Le genre de film pour ne pas se prendre la tête et passer un bon moment de détente.
Premier épisode de la franchise ‘Y a-t-il un Flic…’, ce film est aussi le meilleur de la trilogie. L’humour est excellent. On ne s’ennuie pas une seconde. Si vous ne rigolez pas toutes les 20 secondes, alors vous venez probablement d’une planète très sérieuse, ou le rire est un sacrilège. Je me suis rarement tant marré devant un film. Leslie Nielsen incarne le flic le plus drôle de l’humanité. Les situations sont très drôles et rien que la tête de Leslie Nielsen fait exploser de rire. Franchement, cet acteur n’a pas besoin de faire des grimaces pour faire rire son public. Certaines répliques sont assez drôles aussi. Et l’histoire dans tout cela ? Mais on s’en fout de l’histoire. Le but ici est de faire rire, même si le scénario ne tient pas vraiment la route. Seule la fin peut lasser, car l’humour y devient un peu lourd. Mais si vous aimez les comédies burlesques et décalées, vous aimerez probablement cette aventure de l’inspecteur Frank Drebin.
Bourrés de situations cocasses et désopilantes,on mène volontiers l'enquête avec cette calamité de Franck Debrin.Un gag fuse pratiquement dans chaque plan,et même si ça ne vole pas très haut, on s'en fou,quelle partie de rigolades.Un film pour le meilleur et pour le rire.Surtout le rire!!!
De l'humour absurde à chaque seconde, dans le droit fil des précédentes productions des ZAZ: le seul but est de divertir le spectateur et ce film y parvient sans problème, truffé de mini-gags que l'on se régale à repérer.
A l'origine, les ZAZ avait créé une série policière parodique, "Police Squad !". Mais celle-ci ne remporta pas le succès escompté, s'arrêtant après seulement 6 épisodes. Contre toute attente, c'est des années plus tard que les ZAZ décident de continuer l'aventure sous forme de film, qui lui rencontra un gros succès et lança une trilogie de référence du genre parodique. Second rôle aussi délirant que rigide dans "Airplane", Leslie Nielsen reprend son rôle de la série, et se taille ici la part du lion. Il incarne Frank Drebin, un policier trop sérieux enchaînant les gaffes, au grand dam de ses supérieurs. Une prestation qui donne tout son sel au film, et qui cimentera la carrière du comédien, dont la présence sera dans les années 90/2000 quasi indispensable à toute parodie qui se respecte. Mais il faut aussi bien sûr souligner l'écriture des ZAZ. Sur fond de complot pour assassiner la reine d'Angleterre, "The Naked Gun" accumule les gags. Répliques volontairement débiles, situations délirantes, références à des oeuvres précises ou au genre policier / film noir : on a facilement une vanne toutes les 30 secondes. Certes, tout n'est pas fin, ni toujours réussi, mais on garde le sourire de bout en bout. D'autant qu'il est impressionnant de voir les moyens logistiques parfois déployés pour un simple gag visuel de 5 secondes ! Et si ce premier volet n'est ni le meilleur de la série, ni le meilleur des ZAZ, il rappelle néanmoins l'époque de l'âge d'or de la parodie. Un temps avant que des producteurs mercantile ne se contentent de référencer les trailers des derniers blockbusters, ou les frasques des peoples des derniers mois...
Ce brave Leslie Nielsen est toujours autant drole dans son rôle du lieutenant Drebin. De très bonnes répliques et des bons gags, on regarde ce film sans se prendre la tête !! Je regrette néanmoins la faiblesse du scénario et la fin quelque peu baclée.
Ce n'est pas le plus drôle de toute la série des "y-a-t-il" avec Leslie Nielsen mais il garde tout de même certaines scènes qui sont a mourir de rire. Et Apparemment vu comme ce film est aussi controversé dans les notes. On peut deviner que ce genre d'humour décalé ne fait pas l'unanimité chez tout le monde. Et pourtant moi bizarrement l'humour complètement barré de Leslie Nielsen m'amuse assez dans l'ensemble.
Un film absurde au possible où l'on retrouve le superbe Frank Drebin (alias Leslie Nielsen), excellent dans ce rôle de "flic" maladroit, trop sûr de lui et vraiment débile. On oublie un peu le scénario (surtout la fin) du fait de la multitude de gags et de répliques drôles. Cependant, cet humour là ne plaira pas à tous.
« I’m sorry, I can’t hear you. Don’t fire the gun while you’re talking. »
Après le succès d’estime de Hamburger Film Sandwich/Kentucky Fried Movie (John Landis, 1977) de Y a-t-il un Pilote dans l’Avion ?/Airplane !, de la série télévisée Police Squad (1982) et de Top Secret ! (1984), le trio Zucker, Abrahams, Zucker reprend au cinéma, toujours avec Pat Proft adjoint à l’écriture, Robert K. Weiss à la production, Ira Newborn à la musique et Leslie Nielsen dans le rôle de Franck Drebin, les personnages et le ton de la série.
Changement de format, changement de public (pour passer à l’international) et, par conséquent, changement aussi de budget et de gags parfois imperceptibles qui nécessiteraient une deuxième voire une troisième vision. On retrouve en revanche le style inimitable du trio ZAZ ainsi que quelques gimmicks récurrents dans la série (le générique, bien sûr, ou la porte/décor du labo de la police, par exemple). Ces deux faits expliquent sans aucun doute le statut de film culte de cette œuvre alors qu’elle n’a pas la saveur de l’objet négligé à sa sortie et récupéré par les fans par la suite. On notera cependant que le film a à peine dépassé le demi-million d’entrées en France malgré un titre retoqué pour le public cible.
Si on veut être parfaitement honnête, il faudra reconnaître que ça ne vole pourtant pas toujours très haut mais le trio a l’art d’alterner l’inattendu et l’attendu. On voit un fauteuil roulant, on sait que quelqu’un va le pousser jusqu’à ce qu’il devienne incontrôlable mais on ne sait ni qui, ni quand, ni comment et c’est ainsi que les gags les plus éculés, les plus prévisibles, les plus répétitifs finissent par marcher quand même, avec une surcouche d’exagération qui prolonge le délire. L’art du suspense et la gestion du rythme en humour, c’est aussi du talent.
Tout simplement le must de la comédie en ce qui me concerne. Leslie Nielsen est un dieu vivant (certes un peu vieux maintenant mais un dieu quand même). Les gags s'enchainent tous aussi drôles les uns que les autres. Evidemment je ne conseille pas ce film à tout le monde, amateur d'humour délicat et raffiné s'abstenir, mais alors pour tous ceux qui aiment les comédies parodiques ce film est un petit bijou.
Comme la plupart des films des ZAZ, Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? est inégal. L'intrigue n'éclaire pas loin, mais on sait qu'elle est un cadre bidon pour mettre en scène Nielsen face à toutes sortes de situations.
Comiques de répétition, gags potaches, accumulations dans l'absurde. La scène de l'auto-école est une trouvaille hilarante. Le match de base-ball amuse, mais s'étire peut-être un peu trop. Difficile pour les cinéastes de trouver le bon dosage, le bon rythme. Mentions honorables, tout de même.