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Votre avis sur Hellboy ?
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bsalvert
Un film fantastique qui ne séduira pas tout le monde. Je suis passé complètement à côté sans comprendre l'histoire ni l'intérêt des effets spéciaux.
Du pur divertissement, vitaminé, avec un héros charismatique aux répliques hilarantes. "Ça me gonfle"!
Xavi_de_Paris
Visuellement, ce film-comics est assez époustoufflant. On sent en effet que le sens du spectacle est loin d'être étranger à Guillermo Del Toro. Effets spéciaux réussis et scènes d'action dantesques se cotoient dans ce blockbuster qui n'a d'autre but que le pur divertissement. Comme toujours dans le genre, l'humour est omniprésent, notamment dans le cynisme du héros-monstre. Ceci étant dit, il manque à "Hellboy" le petit plus qui fait les grands film de superhéros. Peut-être est-ce dû à l'histoire, qui certes ne manque pas d'imagination de la part du réalisateur, mais qui est au final assez simpliste, et peu emballante. Dommage.
Très bonne réalisation et bonne recréation de l'univers BD.
Ce HELLBOY est d'enfer, j'ai beaucoup aimé son humour décalé et ce ton saccarstique. Cela change des autres héros survitaminés qui se prennent au sérieux. L'intérêt du film repose sur les sentiments humains qui habitent ces super-héros.
L'histoire d'amour du personnage principal constitue la trame du film, les autres personnages sont également intéressants : son amoureuse (qui pète le feu) et l'homme poisson omniscient.
Les méchants sont sans relief uniquement prétexte à des scènes de combats spectaculaires. Et c'est voulu car ce qui compte ici, c'est le décor et les états d'âmes de HELLBOY.
Ce qui est intéressant ici c'est d'avoir réussi à personnifier ces personnages de BD en leur donnant une véritable épaisseur.
En fait les héros sont mals dans leur peau ou plutôt n'arrivent pas à vivre normalement dans leur environnement.
Et à cause de cela sont-ils condamnés à devoir renoncer aux bonheurs de l'existence ?
Ce HELLBOY est d'enfer, j'ai beaucoup aimé son humour décalé et ce ton saccarstique. Cela change des autres héros survitaminés qui se prennent au sérieux. L'intérêt du film repose sur les sentiments humains qui habitent ces super-héros.
L'histoire d'amour du personnage principal constitue la trame du film, les autres personnages sont également intéressants : son amoureuse (qui pète le feu) et l'homme poisson omniscient.
Les méchants sont sans relief uniquement prétexte à des scènes de combats spectaculaires. Et c'est voulu car ce qui compte ici, c'est le décor et les états d'âmes de HELLBOY.
Ce qui est intéressant ici c'est d'avoir réussi à personnifier ces personnages de BD en leur donnant une véritable épaisseur.
En fait les héros sont mals dans leur peau ou plutôt n'arrivent pas à vivre normalement dans leur environnement.
Et à cause de cela sont-ils condamnés à devoir renoncer aux bonheurs de l'existence ?
Une énième adaptation d'un comics américain en film se dit-on quand on entend parler de Hellboy. Seulement ce n'est pas n'importe quelle adaptation puisque c'est Guillermo Del Toro qui s'en ai chargé ! Et à partir de là ça change beaucoup de choses. On retrouve sa pâte sur toute l'atmosphère et la mise en scène du film. Il a ainsi décidé de mettre en avant le maquillage et les costumes au détriment des effets spéciaux numériques. D'ailleurs à ce niveau là c'est assez impressionnant, maquillages et costumes sont très réussis, on les croirait réel ! Mention spécial à Hellboy et à Abe l'homme poisson plus vrais que nature. Et les effets numériques obligatoires sur certaines scènes sont tout aussi réussis. Le casting quand à lui est impeccable, les personnages du professeur Bloom ( John Hurt ) et Hellboy ( Ron Perlman ) en ressortent sublimés. Ils sont tous les deux assez profonds côté histoire et émotions pour attiser l'attention du spectateur. La petite déception vient du jeune Rupert Evans qui joue le rôle John Myers qui parait un peu transparent surtout à côté du fort charisme du démon rouge au bras de pierre. D'ailleurs le héros transpire une sympathie et une émotion rarement vu dans un film de "super héros". Son sens de l'humour et ses répliques sarcastiques font mouche et son histoire d'amour habilement mise en scène amène ce démon à être sacrément humain. Un monde auquel il veut d'ailleurs appartenir pour pouvoir sortir au grand jour et sortir sans contraintes. Pour ce qui est du scénario, les grands méchants nazis veulent utiliser Hellboy pour ouvrir une porte dimensionnelle menant à une entité qui amènera l'enfer sur terre. Assez classique mais on traverse tout de même plus de 50 ans d'histoire entre la libération du garçon des enfers en 1945 et l'histoire qui se déroule de nos jours. Et tout cela en retrouvant les mêmes méchants immortels dont un certains Raspoutine. Le film n'est pas pour autant un film d'action, c'est plutôt un film d'aventure qui possède néanmoins quelques longueurs dans son scénario. Et les séquences d'actions sont bien menées et spectaculaires mais peuvent être assez courtes surtout le combat final qui est assez expédié. Au final, une adaptation qui a une âme grâce à ses acteurs et la mise en relief de ses personnages. Guillermo Del Toro a réussi un bon film d'aventure en imposant son style.
Un autre film d'un super-héros extrait de comics avec ses inévitables suites. Ce premier opus n'a vraiment rien d'original tant au niveau du scénario assez classique, de ses dialogues avec des tentatives comiques peu réussies que des scènes d'action assez bien réalisées certes mais manquant d'originalité. Une oeuvre qui assure un minimum de divertissement (des effets spéciaux aboutis, une musique en adéquation avec le registre, une ambiance sombre) mais qui n'emballe pas du tout à cause notammentd'un héros finalement peu attachant.
maxime ...
Neuf ans, c'est le temps qui me sépare de mon précédent visionnage. Avant cela il y'en avait eu un autre, à chaque fois je suis sortis de ce film en l'ayant détesté ! Je me devais d'y retourné après avoir vu des films comme Le Labyrinthe de Pan ou encore Pacific Rim découvert il y'a quelques semaines à peine pour ce dernier ...
Résultat, j'ai été bien dur et un peu à coté de la plaque il y'a quasiment 10 ans ! Le film est superbement emmené par Guillermo Del Toro. Les personnages ne sont pas aussi épidermique que dans mes souvenirs non plus. C'est même tout l'inverse, ils sont humains. Le coté méchant / gentil est un peu téléphoné mais hormis cela, le niveau de lecture est très développé. J'avais gardé comme séquence sympathique cette conversation entre Hellboy et le gosse sur le toit, c'est avec un immense plaisir que je la retrouve. Une chose qui ne change pas, cette scène est toujours ma préféré.
Les acteurs s’imprègnent de l'histoire et livrent des copies en accords avec l'esprit décalé et radical d'un tel film. Le sarcasme de Hellboy est aujourd'hui vu dans tout Blockbuster, un précurseur en somme. Ron Perlman est un acteur génial, il amène avec lui sa stature mais c'est dans l'émotion que Hellboy trouve et prouve sa sensibilité. J'ai une pensée là de suite pour John Hurt, un immense comédien depuis partit.
Ce troisième visionnage m'a donc réconcilié avec ce long-métrage. Je n'en suis toujours pas son plus grand fan mais je lui reconnais toute de même des qualités qui lui son propre. Un film avec un développement et une idée bien spécifique, Del Toro n'est clairement pas un réalisateur cynique qui enfile les films selon sa commande, il y met du sien. On ne peu que féliciter une telle démarche.
Résultat, j'ai été bien dur et un peu à coté de la plaque il y'a quasiment 10 ans ! Le film est superbement emmené par Guillermo Del Toro. Les personnages ne sont pas aussi épidermique que dans mes souvenirs non plus. C'est même tout l'inverse, ils sont humains. Le coté méchant / gentil est un peu téléphoné mais hormis cela, le niveau de lecture est très développé. J'avais gardé comme séquence sympathique cette conversation entre Hellboy et le gosse sur le toit, c'est avec un immense plaisir que je la retrouve. Une chose qui ne change pas, cette scène est toujours ma préféré.
Les acteurs s’imprègnent de l'histoire et livrent des copies en accords avec l'esprit décalé et radical d'un tel film. Le sarcasme de Hellboy est aujourd'hui vu dans tout Blockbuster, un précurseur en somme. Ron Perlman est un acteur génial, il amène avec lui sa stature mais c'est dans l'émotion que Hellboy trouve et prouve sa sensibilité. J'ai une pensée là de suite pour John Hurt, un immense comédien depuis partit.
Ce troisième visionnage m'a donc réconcilié avec ce long-métrage. Je n'en suis toujours pas son plus grand fan mais je lui reconnais toute de même des qualités qui lui son propre. Un film avec un développement et une idée bien spécifique, Del Toro n'est clairement pas un réalisateur cynique qui enfile les films selon sa commande, il y met du sien. On ne peu que féliciter une telle démarche.
Del Toro veut lui aussi une reconnaissance internationale pour son travail, il rompt donc avec la tradition de réaliser des films plus personnels, et marque sa volonté de toucher un public plus large, conséquence : un avis partagé en ce qui me concerne.
Le réalisateur mexicain fait subsister un justicier nocturne à peau rouge (Ron Perlman) dans un univers urbain, soumis à l'intervention de bribes d'héroïc fantasy et de légendes cher à Guillermo. Ce choc entre ces 2 mondes profite d'une mise en scène fantaisiste et d'un esthétisme gothique utiliser avec brio, Del Toro nous fait partager sa passion, la qualité du film est de ce côté-ci ressenti, on sent qu'il est dans son domaine de prédilection. C'est du côté des relations entre les protagonistes que le réalisateur piétine : la relation ennuyeuse entre Liz et Helboy (et assez improbable) en résulte une inégalité des scènes; les combats, l'ambiance, les décors envoutant et certains échanges verbaux amusant d'un côté, des scènes d'amour, de morale et des dialogues parfois immatures agaçant de l'autre. Regrettable au vue d'un tel potentiel créatif.
Le réalisateur mexicain fait subsister un justicier nocturne à peau rouge (Ron Perlman) dans un univers urbain, soumis à l'intervention de bribes d'héroïc fantasy et de légendes cher à Guillermo. Ce choc entre ces 2 mondes profite d'une mise en scène fantaisiste et d'un esthétisme gothique utiliser avec brio, Del Toro nous fait partager sa passion, la qualité du film est de ce côté-ci ressenti, on sent qu'il est dans son domaine de prédilection. C'est du côté des relations entre les protagonistes que le réalisateur piétine : la relation ennuyeuse entre Liz et Helboy (et assez improbable) en résulte une inégalité des scènes; les combats, l'ambiance, les décors envoutant et certains échanges verbaux amusant d'un côté, des scènes d'amour, de morale et des dialogues parfois immatures agaçant de l'autre. Regrettable au vue d'un tel potentiel créatif.
Guillermo Del Toro n’a pas son pareil pour donner vie à un univers visuel euphorisant et plastiquement superbe. Cette adaptation de comics constitue un spectacle honnête car exempt de toute prétention. En revanche, il est fort regrettable que l’intrigue soit si confuse.
Lorsque j'ai vu "Hellboy" en 2011, j'ai détesté. Les seules choses que j'avais apprécié, c'était le charisme de Ron Perlman et l'humour du film. Le reste, je trouvais cela déjà daté : les effets spéciaux n'étaient pas très beaux et je trouvais le scénario léger.
Je l'ai revu en 2020 et mon opinion a changé. Elle a changé parce que j'ai vu beaucoup plus de films de Guillermo Del Toro depuis et j'ai relevé beaucoup de choses à côté desquelles j'étais passé à l'époque.
En effet, "Hellboy" est finalement un pur Del Toro contrairement à ce que j'ai pu croire. Il s'inscrit parfaitement dans son univers : il y a un peu du "Labyrinthe de Pan", un peu de "La forme de l'eau" et même un peu de "Crimson Peak".
Bien sûr, je suis conscient que ces films sont sortis après "Hellboy" mais c'est grâce à eux que j'ai pu comprendre à quel point "Hellboy" n'était pas un film de commande mais bien un film éminemment personnel pour Del Toro : on y retrouve tout ce qui fait sa patte.
Et une fois que l'on a compris cela, l'oeuvre s'éclaire sous un angle nouveau. Elle devient beaucoup plus intéressante pour le cinéphile.
Certes, cela ne va pas effacer les effets spéciaux qui ont mal vieilli ou le scénario un peu bancal mais on va pouvoir y trouver un intérêt et un autre degré de lecture. Et puis, il y a aussi quelque chose d'intéressant : c'est que l'équipe technique a essayé de reproduire la stylisation des comic-book. Un peu comme ce qu'avait réussi à faire Robert Rodriguez avec "Sin City". Cela donne parfois de beaux plans.
Cela dit, je n'irai pas plus loin que la moyenne pour 2 raisons principales : le scénario ne m'a pas véritablement enthousiasmé malgré la création d'un univers assez unique et les personnages secondaires sont fades. Le seul personnage digne d'intérêt, c'est Hellboy lui-même. Tous les autres ne sont pas très complexes.
Je l'ai revu en 2020 et mon opinion a changé. Elle a changé parce que j'ai vu beaucoup plus de films de Guillermo Del Toro depuis et j'ai relevé beaucoup de choses à côté desquelles j'étais passé à l'époque.
En effet, "Hellboy" est finalement un pur Del Toro contrairement à ce que j'ai pu croire. Il s'inscrit parfaitement dans son univers : il y a un peu du "Labyrinthe de Pan", un peu de "La forme de l'eau" et même un peu de "Crimson Peak".
Bien sûr, je suis conscient que ces films sont sortis après "Hellboy" mais c'est grâce à eux que j'ai pu comprendre à quel point "Hellboy" n'était pas un film de commande mais bien un film éminemment personnel pour Del Toro : on y retrouve tout ce qui fait sa patte.
Et une fois que l'on a compris cela, l'oeuvre s'éclaire sous un angle nouveau. Elle devient beaucoup plus intéressante pour le cinéphile.
Certes, cela ne va pas effacer les effets spéciaux qui ont mal vieilli ou le scénario un peu bancal mais on va pouvoir y trouver un intérêt et un autre degré de lecture. Et puis, il y a aussi quelque chose d'intéressant : c'est que l'équipe technique a essayé de reproduire la stylisation des comic-book. Un peu comme ce qu'avait réussi à faire Robert Rodriguez avec "Sin City". Cela donne parfois de beaux plans.
Cela dit, je n'irai pas plus loin que la moyenne pour 2 raisons principales : le scénario ne m'a pas véritablement enthousiasmé malgré la création d'un univers assez unique et les personnages secondaires sont fades. Le seul personnage digne d'intérêt, c'est Hellboy lui-même. Tous les autres ne sont pas très complexes.
Hellboy adapte plutôt de bonne manière le premier tome de la saga, tout en empruntant quelques éléments supplémentaires. Le scénario est donc assez sympa, même si il n'est pas très subtil. Hellboy a toujours la classe, chapeau au maquillage et au jeu de Perlman. Les ennemis sont peu nombreux mais travaillés, surtout Kroenen, dommage que l'on ne voit pas plus Rasputin. Bref, on passe un bon moment.
Hellboy est un héros attachant, très bien rendu par Ron Perlman même si je trouve que son maquillage le vieillit beaucoup trop de face. Cette adaptation a une réelle personnalité et réussit à rallier de nouveaux fans tant elle est crédible. Pas de temps morts, pas de fautes de gouts, énormément d'humour, donc un vrai bon film de fanboy.
De l'action à plein régime , des méchants comme on en voit peux et l'humour légendaire de Hellboy font de ce film un pur divertissement avec aussi des effets spéciaux réussits et des acteurs d'exeption (mention pour John Hurt et Ron Perlman ) .
stallonefan62
globalement decu par ce film ou j'attendais mieu.l'histoire est complexe on a du mal a suivre le film.hormis quelques bons effets spéciaux il n'y a pasgrand chose a conserver
Univers très intéressant dans ce film fantastique. Les effets spéciaux sont pas mal et l'histoire sympa.
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