Merci a Uwe BOLL pour nous avoir fait un navet cinématographique et tellement éducatif des chose qui ne faut pas faire dans un film si on veut faire un chez d'oeuvre...
House of the Dead, c'est une caméra qui aime filmer des murs et des travellings au-dessus d'un lac, c'est une histoire de jeunes aux prises avec des zombies la plus classique possible, avec un méchant tout couturé de la tronche (un coup de Velleda rouge pour faire les coutures, deux lentilles rouges, voilà c'est bon le spectateur n'y verra que du feu), un éclairage réalisé avec une bougie d'anniversaire (certainement pour cacher la nullité absolue des trucages, mais un conseil si vous le regardez sur votre téléviseur : allez directement dans le Menu, pour mettre la luminosité à fond, vous aurez peut-être une chance de voir à qui appartiennent les cris qui sortent de l'écran noir), une BO qui s'est trompée de film, des acteurs qui n'en sont pas (visiblement), des zombies qui courent en sautillant dans les bois (et en paumant la moitié du maquillage) et font des vols planés de dix mètres si un acteur éternue dans leur direction. House of the Dead est donc une expérience (qu'on ne vous recommande pas, subjectivement), réalisée par le futur tâcheron de la filmo bourrine et macho (la saga Rampage surtout) qui accumule les navets irregardables (on ne s'étonne pas de la grande majorité des dialogues qui sont monosyllabiques). Mais si votre but est de voir tout ce qu'il ne faut pas faire en cinéma, de la réalisation au jeu d'acteur, en passant par le maquillage et les dialogues, avec une pensée pour l'éclairagiste (celui qui tient la bougie d'anniversaire) et le dialoguiste (qui peut recycler son texte à une syllabe dans le cinéma pour adultes), absolument tout est le petit Précis d'incompétence filmique. À voir absolument si vous voulez vous lancer dans le cinoche.
Un concentré de nullité absolue ! Même en ayant toute la volonté de faire pire, je sais pas si c'est possible. Uwe Boll semble s'être amusé à tout essayer ; à chercher une originalité qui n'aboutira que sur une intense bêtise dans laquelle le spectateur se retrouvera malgré lui englué. On assiste, impuissant, à l'image de la décadence du cinéma. Le pire est peut-être cet amusement pervers et sadique que nous pouvons encore ressentir.
Amis Zombiephiles des quatre coins du globe, bonjour ou bonsoir. Prenez bien soin de vos âmes heureuses et satisfaites tant que vous le pouvez car bientôt elles se transformeront en pauvres âmes mécontentes, tristes et torturées. La raison de tout ce mal? House of the Dead, qui constitue un insolent et imparable doigt aux fans du jeu vidéo éponyme et une véritable et gigantesque insulte au bon sens et à la logique des chefs-d'oeuvres de George A Romero, précurseur du genre zombiesque. Tout y est mauvais. Attention, ce n'est pas minable, c'est mauvais. Minable signifierait que cela a de l'intérêt, à la manière d'un L'attaque du requin à deux têtes ( se référer à ma critique si nécessaire ), alors que mauvais signifierait justement que ce métrage n'en possède aucun. C'est simple, vous n'avez qu'à observez les premières minutes: l'introduction est bâclée, les dialogues sont à couper le souffle d'amateurisme et de ridicule, les acteurs pensent constamment à leur chèque ( et pas à ce qu'il font ) et la mise en scène paraît être aussi profonde et recherchée qu'une mauvaise vidéo sur Youtube. Et puis, je suis désolé mais tout ces ralentis et autres effets de caméra m'ont donné mal à la tête. Premièrement, Uwe Boll ne sait pas tenir une caméra ( étrange, c'est son job... ) et fait des effets minables tout en ayant la prétention d'imaginer qu'ils sont réussis. Deuxièmement, quand on possède un budget minime, mieux vaut ne pas utiliser d'effets spéciaux et de plans de caméra qui tournent autour d'un seul personnage. D'ailleurs, Boll utilise souvent cette technique que lui seul semble utiliser et ne pas maîtriser. Il en use et abuse tellement qu'au bout d'un moment, on ne souhaite qu'une seule chose : que le film s'arrête...
Au moins un point positif pour cette adaptation inqualifiable du jeu vidéo d'horreur : il surpasse largement Alone in the Dark, qui n'était rien qu'un film d'action nullissime. Uwe Boll est bien pour moi le successeur de Ed Wood en terme de réalisateur de navets, mais encore mieux, il a fait pire que lui ! Il a fabriqué de toutes pièces cette chose en rassemblant les pires clichés du cinéma : filles bien faites, mecs bien faits ( et tous ont un grain dans la tête de surcroit, surtout la blondasse qui n'arrête pas de rire comme une pétasse, c'est TRES énervant ), intrigue mauvaise, prévisible et remplie d'incohérences. Uwe Boll a tout fait pour que son travail ressemble à une daube de pure série Z. Il y a tellement de points négatifs que je voudrais évoquer : rien que le début est affligeant : on nous raconte que le héros a le béguin pour une de ses copines, mais y a son ex qui est jalouse parce que c'est sa meilleure amie . . . On s'en fout ! Puis après, le bateau transportant les ados vers l'île seme 2 policiers qui voulaient les arrêter. Peut-être que ça aurait été plus crédible si ils étaient une dizaine. Les zombies qui entendent une branche cassée à 2 kilomètres alors qu'ils font du bruit en courant dans la forêt. Les acteurs surjouent, les attitudes et réactions sont ridicules : le garçon qui apprend la mort de sa copine n'a pas l'air attristé du tout, puis de la fille qui a assisté à sa mort mais qui ne s'en rend compte que 3 heures après, sans parler des dialogues qui font qu'on regrette parfois les films muets d'atant. Et le comble reste l'assaut des gentils contre les méchants au manoir : travellings autour des personnages inutiles, extraits du jeu vidéo inutiles ( peut-être que Boll a voulu faire une comparaison entre son film et la source au spectateur, comme s'il lui demandait : lequel préféres-tu ? ), ralentis absurdes et calqués sur Matrix. Même les monstres ne sauvent pas la mise ! En somme toute, une vision du jeu par Boll absolument désastreuse dans tous les domaines.
Naissance d'un nouveau Ed Wood, j'ai nommé Uwe Boll, " réalisateur " allemand qui saccage tout ce qu'il touche, et en partie les jeux vidéos qui ont fait les beaux jours des consoles de jeux. Le premier à passer à la moulinette est House of the Dead. Accablant de médiocrité, n'ayant aucune qualité de mise en scène, le film est un véritable condensé de déchèteries. Le pire arrive.
(Mauvais film d'horreur) arrête c'était trop bien ! (tu déconne la ?) non je dit sa sérieusement , (Pff !!! le scénario est vraiment bidon , les acteurs jouent très bien leur rôles , et le scénario complétement pourrie ) bon allez je me le rematte ( remets ce film encore une fois et je te flingue ) ( par contre j'aime la petite référence a George Andrew Romero ) !!
L-A-M-E-N-T-A-B-L-E !!! The House Of The Dead ressemble plus à un film TV qu'autre chose. La mise en scène est mauvaise, les dialogues ridicules, les acteurs plus nuls que jamais, les scènes d'action montées sur de la techno sont molles, les scènes gores ridicules (sang en images de synthèse par exemple...),... Il ne suffit pas de coller un panneau SEGA dans le film, de faire des transitions et un générique avec des images du jeu-vidéo et des effets de caméra identiques à quand un personnage meurt dans le jeu pour se permettre d'appeller une merde The House Of The Dead.
Et voici mon premier Uwe Boll... Je me demande sincèrement comment on peut en arriver là. Peut-on faire plus nul/ridicule/répétitif/inutile? Je pense que la réponse est non... En tout cas je me suis bien marré pendant près de 40 minutes, prenant le film largement au second degré, car il n'y a que comme ça qu'on peut le prendre de toute manière. Mais ensuite ce fût un calvaire sans nom. J'ai bien ri (à la base je ne pense pas que ce soit le but du film!) mais c'est tellement toujours pareil et toujours aussi moche et inintéressant que je m'en suis vite lassé. Uwe Boll n'est certes pas un réalisateur comme les autres, ça c'est sûr. Mais je me demande bien comment ils arrivent à financer ses films, qui coûtent en plus de cela extrêmement chers... c'est vraiment drôle car à la base le type doit écrire son truc de manière sérieuse, en pensant que ça va prendre. Puis en fait c'est juste pété de mauvaises idées tout du long. Y a vraiment rien à sauver quoi. Même les paires de nichons bordel, une sur deux est refaite et est donc par définition toute moche. Bref, ça va bien une demie-heure trois quart d'heure pour se marrer, mais ça devient vite chiant quand même. Un bon nanar comme il faut en somme.
De maladresse en maladresse (les inserts du jeu vidéo en flash sont à hurler de rire, de situations risibles en retournements délirants(le sacrifice inutile et injustifiable de certaines personnages sauf pour les scénaristes... lexplication de lexistence des morts-vivants), House of the Dead est un naufrage total...
"House of the Dead" est certainement une des pires adaptation du jeu video, une réalisation completement médiocre constitué de personnages encore plus prétencieux qu'ils en ont l'air et qui surtout arrivent à se servir d'une arme comme un pro en un rien de temps...est-ce une blague ? La reponse est que c'est tout simplement un gros navet à eviter. Une atmosphère loin d'etre angoissante, des zombies franchement mal fait avec des maquillage et des effets speciaux à nous faire pleurer de honte. Et je tiens à dire qu'ici l'action ne sauve rien car elle est elle-meme ridicule à voir. Uwe Boll a du voir Matrix avant de réaliser les scènes d'action pour en faire un copie baclée et sans interet (autant que le film lui-meme). Mon plus grand conseil sera donc que les fans d'horreur et de zombie evite à tout prix ce navet grotesque. 0.5/5
Uwe Boll fait entrer le nanar dans une nouvelle ère en lui apportant de gros moyens pour un maximum de mauvais goût : effets de caméra imondes, explosions à tout va, kung fu et gunfight contre des zombies, BO à chier... Avec, en guest, un Jurgen Prochnow en roue libre, livrant une performance affligeante pour un personnage culte : le capitaine Kirk !
Uwe Boll est un réalisateur mauvais, soit. Mais cela n'excuse en rien le fait que cette adaptation du célèbre jeu vidéo ultra-flippant "House of the Dead" soit un tel navet... Des acteurs bidons en roue libre, des dialogues niais au possible, un scénario vide et ahurissant de débilité, des effets spéciaux anémiques, des zombies aussi crédibles que des balais-brosses... Ça fait déjà beaucoup pour une adaptation ciné. Mais si on pouvait s'arrêter là ! Une musique techno incessante et inappropriée, une mise en scène nanardesque, des ralentis foireux façon bullet-time, des incohérences multiples, un combat final absolument hilarant, des décors de parc d'attraction... House of the Dead est un ramassis de défauts rarement collectés dans un même film, le réalisateur allemand Uwe Boll réussissant l'exploit pour sa première adaptation de jeu vidéo (une longue liste suivra) de couler son film quasi-volontairement. Parsemant d'extraits du jeu vidéo original, ses scènes d'action deviennent les passages les plus drôles du film tant elles sont ridicules. Multipliant les effets de style amateurs pour donner un souffle jeune à son "bébé", Boll ne fait que s'enfoncer à chaque plan. Bref, sans continuer à énumérer les merveilleux défauts du film, sachez simplement que House of the Dead est un film hautement soporifique, très mal interprété, visuellement hideux et en rien fidèle au jeu vidéo original. Une bouse en somme.