Derniers Avis : La Cité de Dieu - Page 13

Très bon film avec des personnages charismatiques, et un scénario bien pensé.

Un film violent, vulgaire, bouleversant, mais avant tout une œuvre réaliste d'une très grande ampleur.

Film entrainant et poignant. 2h qu'on ne voit pas passer. Très beau film.

Mon dieu ! Ce film est d'une violence, je suis choqué ! Il y a même des enfants avec des fusils...

C'est peut-être le seul film que j'évite de revoir alors que j'ai tellement adoré. Il est si choquant, marquant et réaliste qu'on se croirait au fond de l'action. Bravo F. Meirelles!

Ce film réaliste et choquant est l'un des rares (avec peut être slumdog millonaire ou blood diamond mais qui sont beaucoup moins durs) à mettre en scène des enfants au milieu d'une violence telle, les acteurs sont époustouflants surtout pour leur âge. Zé Pequeño est vraiment chiant.

Je m'attendais à être déçue mais j'ai été très agréablement surprise. captivée dès le début du film jusqu'à la fin. Un film violent certes, mais hélas très réaliste, vu le milieu dans lequel l'action se déroule...

Super film réalisé dans les Favellas de tout lers jours! les acteurs comme Booska-p ou encore Ze-pequeno sont attachant! Film coupe de poing!

Waouh! Ce film inspiré du livre de Paulo Lins est excellent! Je m'en doutais un peu au regard des critiques que j'ai pu lire ici ou là ou à l'écoute de toute les appréciations dithyrambiques parvenues à mes oreilles. Le réalisateur Fernando Meirelles ne fait pas du cinéma par hasard, il a du talent et travaille à l'utiliser pour de nobles causes. Ainsi, ses films montrent pour dénoncer et sa réalisation assène un message puissant et clair. Ici, la saga de la "cidade de Deus" - favela de Rio - démarre par une violence naissante perpétrée par des enfants désœuvrés au cœur des années 60'. Le second chapitre du film s’installe dans les seventies où les adolescents voyous de la favela grandissent avec l’influence grandissante de la culture américaine. Le décor, lui, ne change pas. La favela demeure la même, le progrès a déménagé depuis longtemps vers des cieux plus tranquilles, plus aisés. Les histoires de gang se répètent au fil des années avec une violence croissante. Le film s’achève avec les années 80’ dans un déluge de balles tirées par des armes de guerre payées par le trafic de drogue.

Les personnages sont subtils, les acteurs magnifiques et la réalisation percutante. A voir absolument. 16/20

Adaptation de Citade de deus du bresilien Paulo Lins et remarquable film "coup de poing" Peut etre surévalué vous diront certains mais meme s'il est clair que la Cité de Dieu n'est pas un chef d'oeuvre il n'en reste pas moins un film très agréable voire meme très bien. Car l'approche filmique sur le sujet de la favela en mode documentaire a travers les yeux de Buscapé qui se veut photographe a l'avenir reste surement la meilleure approche que l'on pouvait attendre. La censure est quand bien meme dégueulasse par chez nous ( interdit aux -16 ans ) alors que si les morts sont nombreux le sang ne l'es pas et les scenes droles elles le sont, "la drogue c'est pas bien" vous dira la commission... Car très franchement, malgré une VF bien pourrave de chez pourrave les personnages sont vraiment attachants, qu'il sagisse Zepequeno qui agite son fling pendant tout le film comme un caid d'un clip de rap de MCM , qui fait son petit business qui donne envie dans tout le ghetto ou encore de Buscapé qui se ballade innocemment en total electron libre durant tout le film alors que tout ses collègues sont prets a prendre les armes pour defendre leur dernier lopin de terre, et ici au moins rien de larmoyant comme avec les enfants soldats de Blood diamond, tous semblent bien contents quand il ne leur reste que ça pour survivre dans cette favela ou regne une veritable loi de la jungle et ce a travers des scenes assez mémorables et assez droles comme les techniques de drague de Zepequeno veritable antisocial a la gachette facile, ou l'EpicFail de Marecco qui tente de se tirer sans caleçon après avoir baisé la fille de l'indic du village, des dialogues plutot droles , un argot de petits bresiliens mal élevés qui tentent tous de marcher dans les pas de leur grands frères, bref une belle fresque d'un des derniers recoins sur terre des années 60 ou les lois n'ont plus lieu :)

Un film coup de poing ! là on peut dire que c'est vrai. Très bon film, très réaliste, violent, à voir au moins une fois.

Un constat édifiant de la criminalité qui règne dans la favelas de la "cité de dieu". Cette fiction peut être considérée comme un documentaire tant le sujet est aprofondi. Le scénario est réfléchi et la réalisation originale. Certaines scènes sont d'une rare cruauté morale. Le tout me laisse cependant dubitatif avec le sentiment d'avoir vu un film intéressant mais qui ne m'a pas non plus envouté. Peut être suis-je plus réceptif à des productions hollywoodiennes avec tout les ingrédients d'un film à grand spectacle.

Un très bon film, un film choc et réaliste avec des acteurs crédible tout au long du film. Ce film montre la dureté de la vie au Brésil dans les années 60, un film coup de poing, triste mais réaliste.

La Cité De Dieu est une favela située à Rio De Janeiro au Brésil, où s'est déroulé conquêtes ultra-violentes de territoires, trafics de drogues ou encore guerre de gangs. Sur le sujet était déjà sorti un livre, dont ce film peut être considéré comme l'adaptation car suivant à peu près le même schéma de narration, à savoir l'étendue des événements importants de l'histoire à travers le portrait d'une petite vingtaines de personnages (trois cent dans le livre), dressés dans le film avec tout de même un fil rouge constant et sous une voix-off très appréciable du personne principal qui magnifie la qualité de la réalisation, qui est elle moderne, arrive à faire sortir le film des sentiers du documentaire et on suit sans relâche l'histoire de cette Cité (qui porte assez mal son nom dans les circonstances que nous montrent sans cesse le film (ces circonstances oscillant très souvent entre meurtres et violences extrèmes)) dominées par des voyous en tout genre qui n'ont comme seul point commun leur brutalité extrèmement violente. Car, et c'est bien quelque chose qu'il faut avertir (même si je pense que si vous avez lu ma critique jusque là vous devez sérieusement comprendre pourquoi), s'il y a bien quelque chose de prépondérant dans le film, c'est la violence, qu'elle soit implicite ou graphique, même si elle commence à devenir souvent explicites après la prise du pouvoir de Pékinio, personnage très important dans l'histoire. Et puisqu'on en vient aux personnages, autant vous rassurer : il y a bien un personnage central, Fusée, qui est d'ailleurs la voix-off qu'on entendra durant le film, et même si c'est surement celui-la qui a le plus de personnalité (et le plus de moralité aussi) et auquel on s'attache le plus facilement, normal après tout parce qu'il est un des seuls à essayer de ne pas s'empièter dans des affaires trop sales, mais les autres personnages sont tout aussi intéressants par le fait qu'ils ont presque tous une histoire, et on arrive (pour certains bien plus que d'autres bien entendu) à presque leur éprouver de la sympathie. L'autre force du film, c'est un réalisme poignant qui fait quasi-documentaire, et rend encore plus intense les scènes d'ultra-violence (encore une fois, âmes sensibles s'abstenir (un avertissement qui devient routinier)), car on sait que cette violence, autant chez les enfants que chez les grands voyous est réelle (ou du moins l'était à ce point vers les années 70/80, sachant qu'heureusement aujourd'hui on peut marcher trentes mètres au Brésil sans voir un cadavre par terre), et peut-être même pire dans cette dure réalité qu'illustre le film. Au niveau des acteurs, tous inconnus du grand public, ils servent bien la dureté du film en même temps que ses quelques petits moments joyeux où on sait que le personnage principal peut s'en sortir et qu'il peut avoir une belle vie à hors de ce territoire de violence et d'argent facile. D'ailleurs, au niveau des mélanges des genres, on vogue entre un documentaire très réaliste et bercé par une violence sans retenue, un drame éprouvant et intense, un film sur le destin d'un homme avec un point de vue sur le monde bloqué dans un cercle vicieux dont il ne pourra peut-être pas sortir ("Dans La Cité De Dieu, tu restes, tu crèves, tu pars, tu crèves"), et même sur un thriller à la Scorsese avec lequel il partage la même violence crue, l'ambiance malsaine des débuts et surtout un véritable effort dans la narration, sans laquelle La Cité De Dieu serait devenu au fil du temps un simple documentaire que personne n'oserait voir à cause de sa violence et de sa crudité et n'aurait pas eu sa renommée (et son succès puisqu'il s'agit du film le plus vu au Brésil (nous avons Titanic, film grand publicet qui prône l'émotion, ils ont La Cité De Dieu, film interdit aux moins de 16 ans sans concession qui prône la crudité...)) qu'il mérite amplement puisque La Cité De Dieu est surement le meilleur film brésilien des années 2000 (en même temps direz-vous que c'est le seul film Brésilien des années 2000 que j'ai vu, ce qui n'est pas faux...). Conclusion : Cru, réaliste, poignant, captivant, éprouvant, violent, mais qui ne manque pas de travailler des personnages, des situations, un scénario, une photographie, bref, du culte pur et très dur.

J'ai adoré simplement , j'appréhendais un peu mais pour rien au final. 2h et pas une seconde on s'ennuie. Après je ne connais pas trop les favelas donc je ne m'avancerais pas sur le sujet :)