¡Oh misère! do Brazil o São Paulo, Rio de Janeiro, Copacabana, Brasilia, São Tomé e Macapa do Acapa, que de virulence faites à ce pays immense en superficie, populeuse densité, comprenant la forêt vaste poumon essentiel dissimulée.
Où côtoie une guerre interne relevant de la fracture sociale, depuis l’origine de la source au plus haute sphère de la vie réelle, cette bataille anti-guérilla style année 70, rappelant les excellents chef-d’œuvre troupe d’Elite 1 et 2 : BOPE unité de police militaire au sigle insigne logo fils de dictateur.
Americano vas-y mollo Brasileiro boys, l’épouvantail agité descente extrême dans les favelas seigneurs de la guerre, délinquance juvénile fiévreuse, cambrioleurs, dealeurs trafiquants du plus gros narcotique au monde, l’Amérique du Sud dépassée par la situation incontrôlable.
Débordée submergée montée paroxysme anxiogène, la criminalité brésilienne embrase une histoire-géographie politique avec effroi devant tant de violence à l’eau de rouge, nul ne vit dans le monde de bisounours au pays de la république fédérale du Brésil 🇧🇷......
Actuellement en hiatus puis sous les feux des projecteurs pour s’expliquer sur l’état actuel critique, corruption sur corruption pour sujet mal payé, laissé sans encadrement par la tentation délaissée, police Brésilienne tout pouvoir absolu......
Mais pas tout blanc dans l’affaire, une histoire répressive impunité magouille sur leur population encore et encore plus armée, ça circule bien les routes en libre échange dans ses faubourgs bidonvilles banlieues populaires.
Continuelle guérilla ethno-sociale pan américaine, pauvres vs riches, fournisseurs de came et leurs clientélismes d’élite, cette histoire vraie de la violence, sous l’œil d’un photographe professionnel, autrefois enfant de ce milieu.
Le chef-d’œuvre se laisse tenter sans raison particulière de s'abstenir par la bonne morale, distribution enthousiaste pour le cinéma brésilien, beau soleil en vue météorologique prévision, ça tire larmes inondées abondamment forcément aux yeux.
Le final dans l’ordre des choses en équation, par construction logique, du calcul symbolique pensée dans ce film, la tempête œil du cyclone est passé, enfin dissipée les restes, l'injuste condition imposée par cette société inégalitaire partialité, prenne dans le tas de masse et les tripes de bœufs, bon appétit bon bon !