Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Les Echos
par Isabelle Danel
La dureté du propos, le traitement proche du documentaire, l'impressionnante virtuosité des scènes qui suggèrent plus qu'elles ne montrent et vous laissent pourtant K.-O. tout, dans ce film qui prend sa source dans la "vraie vie", est de l'ordre du grand, du très grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Camille Brun
Cette saga, ce film fleuve sur la vie de gangsters de jeunes d'une favela brésilienne est un véritable choc ! Le premier film de Fernando Meirelles à sortir en France est un coup de maître, mêlant le plaisir de la narration à l'intelligence morale et cinématographique pour raconter une histoire captivante.
Mad Movies
par Fathi Beddiar
Après une telle expérience cinématographique, on ne peut que se réjouir de la découverte de Fernando Meirelles, un grand réalisateur dont l'avenir s'annonce radieux.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Télérama
par Aurélien Férenczi
Après Amours chiennes, du Mexicain Gonzáles Iñárritu, le cinéma sud-américain nous "scotche" à nouveau, en empruntant sa forme au meilleur du cinéma hollywoodien et en l'ancrant dans une réalité locale. Cette mondialisation-là est exemplaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Film coup de poing et saga virtuose, dont la mise en scène évoque la fureur violente de Scorsese et les effets choc de Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Africultures.com
par Olivier Barlet
Cependant, l'évocation des enfances des personnages, la qualité des dialogues et le démontage des engrenages équilibrent cette vision apocalyptique de la vie des favelas et font de ce film un édifiant constat de la montée de la violence et du chaos social qui affecte aujourd'hui le Brésil.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Meirelles réussit, deux heures quinze durant, à tenir un récit arborescent avec un minimum de force documentaire et de foisonnement romanesque, sans la terreur qu'inspire la violence barbare à la Scorsese mais avec une légèreté cinétique toute juvénile.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Conçu à partie de l'enchevêtrement de multiples anecdotes, La Cité de Dieu fourmille de trognes et de silhouettes auxquelles Meirelles parvient à chaque fois à donner vie. On n'est ainsi pas près d'oublier le regard d'un petit garçon dont on ne se souvient même pas du nom, entr'aperçu le temps d'une scène et retrouvé plus tard gisant sur le trottoir, criblé de balles.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film de hors-la-loi est costaud pour mille raisons. Son rythme est une folie pure, une cavalcade, un tir de grenaille. La caméra est partout, sur la terre comme au ciel. Il y a longtemps que le cinéma ne s'était pas montré si fébrile.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
N'empêche, le film, rythmé, agressif, glamour (la période seventies est particulièrement réussie), ne lâche pas prise facilement et ne se laisse pas dévorer par ces apparentes faiblesses. Entre la Haine version brésilienne et un Gangs of Rio scorsésien, ni film d'auteur au sens classique ni adaptation sans âme d'un best-seller, c'est un outsider percutant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Pour autant que la mise en scène apparaisse maladroite, elle ne s'écarte pas de son sujet. De ses sujets même, tous ces formidables acteurs amateurs triés sur le volet, dont la spontanéité et le vécu transparaissent avec une rare vérité à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
D'une brutalité terrifiante orchestrée avec un sens de la mise en scène chevillé à la caméra, le film du Latino-Américain Fernando Meirelles est une révélation majuscule.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Charlotte Lipinska
Car s'il émane des enfants un réalisme effrayant (ce sont tous des amateurs dont les histoires personnelles ont enrichi le scénario), Meirelles ne se prive d'aucun procédé cinématographique pour une réalisation nerveuse et percutante. Flash-backs, voix off ou ralentis, la lumière et le traitement de l'image changent selon les époques. Alliée à l'authenticité du propos, cette richesse visuelle impressionne. Et achève de nous clouer au fauteuil.
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Une réalisation un peu trop tendance, rythmée façon clip, et une violence tarantinesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Un film clipesque sur la vie d'une favela : le rapport sujet/esthétique est discutable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
La mise en scène, entre les tics hystériques du clip, de la publicité et la mauvaise digestion d'une rhétorique virtuose venue du cinéma américain, relève d'un espéranto filmique discutable et jette un doute sur la sincérité d'une entreprise qui fleure l'opportunisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
La dureté du propos, le traitement proche du documentaire, l'impressionnante virtuosité des scènes qui suggèrent plus qu'elles ne montrent et vous laissent pourtant K.-O. tout, dans ce film qui prend sa source dans la "vraie vie", est de l'ordre du grand, du très grand cinéma.
MCinéma.com
Cette saga, ce film fleuve sur la vie de gangsters de jeunes d'une favela brésilienne est un véritable choc ! Le premier film de Fernando Meirelles à sortir en France est un coup de maître, mêlant le plaisir de la narration à l'intelligence morale et cinématographique pour raconter une histoire captivante.
Mad Movies
Après une telle expérience cinématographique, on ne peut que se réjouir de la découverte de Fernando Meirelles, un grand réalisateur dont l'avenir s'annonce radieux.
Télérama
Après Amours chiennes, du Mexicain Gonzáles Iñárritu, le cinéma sud-américain nous "scotche" à nouveau, en empruntant sa forme au meilleur du cinéma hollywoodien et en l'ancrant dans une réalité locale. Cette mondialisation-là est exemplaire.
Aden
Film coup de poing et saga virtuose, dont la mise en scène évoque la fureur violente de Scorsese et les effets choc de Tarantino.
Africultures.com
Cependant, l'évocation des enfances des personnages, la qualité des dialogues et le démontage des engrenages équilibrent cette vision apocalyptique de la vie des favelas et font de ce film un édifiant constat de la montée de la violence et du chaos social qui affecte aujourd'hui le Brésil.
Cahiers du Cinéma
Meirelles réussit, deux heures quinze durant, à tenir un récit arborescent avec un minimum de force documentaire et de foisonnement romanesque, sans la terreur qu'inspire la violence barbare à la Scorsese mais avec une légèreté cinétique toute juvénile.
Chronic'art.com
Conçu à partie de l'enchevêtrement de multiples anecdotes, La Cité de Dieu fourmille de trognes et de silhouettes auxquelles Meirelles parvient à chaque fois à donner vie. On n'est ainsi pas près d'oublier le regard d'un petit garçon dont on ne se souvient même pas du nom, entr'aperçu le temps d'une scène et retrouvé plus tard gisant sur le trottoir, criblé de balles.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Ce film de hors-la-loi est costaud pour mille raisons. Son rythme est une folie pure, une cavalcade, un tir de grenaille. La caméra est partout, sur la terre comme au ciel. Il y a longtemps que le cinéma ne s'était pas montré si fébrile.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
N'empêche, le film, rythmé, agressif, glamour (la période seventies est particulièrement réussie), ne lâche pas prise facilement et ne se laisse pas dévorer par ces apparentes faiblesses. Entre la Haine version brésilienne et un Gangs of Rio scorsésien, ni film d'auteur au sens classique ni adaptation sans âme d'un best-seller, c'est un outsider percutant.
Première
Pour autant que la mise en scène apparaisse maladroite, elle ne s'écarte pas de son sujet. De ses sujets même, tous ces formidables acteurs amateurs triés sur le volet, dont la spontanéité et le vécu transparaissent avec une rare vérité à l'écran.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
D'une brutalité terrifiante orchestrée avec un sens de la mise en scène chevillé à la caméra, le film du Latino-Américain Fernando Meirelles est une révélation majuscule.
Zurban
Car s'il émane des enfants un réalisme effrayant (ce sont tous des amateurs dont les histoires personnelles ont enrichi le scénario), Meirelles ne se prive d'aucun procédé cinématographique pour une réalisation nerveuse et percutante. Flash-backs, voix off ou ralentis, la lumière et le traitement de l'image changent selon les époques. Alliée à l'authenticité du propos, cette richesse visuelle impressionne. Et achève de nous clouer au fauteuil.
Le Figaroscope
Une réalisation un peu trop tendance, rythmée façon clip, et une violence tarantinesque.
Les Inrockuptibles
Un film clipesque sur la vie d'une favela : le rapport sujet/esthétique est discutable.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
La mise en scène, entre les tics hystériques du clip, de la publicité et la mauvaise digestion d'une rhétorique virtuose venue du cinéma américain, relève d'un espéranto filmique discutable et jette un doute sur la sincérité d'une entreprise qui fleure l'opportunisme.