Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Dans ce film cinglant qui met en avant avec humour l'exaspération totale des Palestiniens face aux Israéliens, le moindre épisode burlesque prend des allures de manifeste.
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Comme tous les grands films comiques, le poème d'Elia Suleiman provient d'une douleur qui affleure à chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Avec Intervention divine, prix du jury et prix de la critique internationale au dernier Festival de Cannes, Elia Suleiman rencontre enfin l'attention qui lui est due. (...) On avait crié notre enthousiasme à Cannes. Il se confirme à une deuxième vision.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le tout est filmé frontalement, longs plans fixes auxquels leur durée donne signification et force, comme à distance, pour tirer d'un monde qui n'en est pas un, où il est impossible de vivre et où l'on vit pourtant, une succession de scènes qui évoquent le cinéma des premiers temps, burlesque et digne, irrésistible et pas rameneur, mais puisent leur existence même dans la réalité d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Dès les premières images, on est ébloui par l'inventivité et la poésie et du cinéaste. Comme si l'impossibilité de vivre dans des territoires cernés de barbelés obligeait l'évasion par l'imagination, comme si l'esprit, aussi, était la seule arme v&ritable face à la violence.
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Général et soldat de son armée des songes, Elia Suleiman n'a certes pas gagné la guerre – il ne croit pas une seconde cela possible. Mais comme il est fou, il a quand même gagné une bataille, sur le front de l'intelligence et de la beauté, donc de la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Antoine de Baecque
Il n'est pas divin, mais presque. Lorsqu'il traverse l'écran pour la première fois, au bout d'une demi-heure de film, Elia Suleiman sème les noyaux d'abricots comme un dieu : par l'étincelle, il crée un monde ; par sa classe, il fait naître l'émotion ; par le geste, il engendre un film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Si le réalisateur dénonce la présence militaire israélienne, il épingle également les hommes palestiniens... Un film fort, dérangeant.
Première
par Olivier De Bruyn
Intervention divine est sous-titré "Une chronique d'amour et de douleur". Elia Suleiman a oublié d'évoquer l'humour. Mais ce n'est pas grave, sa mise en scène en parle très bien à sa place. Car c'est une excellente nouvelle: Jacques Tati s'est réincarné entre Ramallah, Nazareth et Jérusalem. (...) Le cinéaste ne se contente pas d'être un formaliste inspiré. Avec ses gags claustrophobes, Intervention divine est aussi un film politique et polémique.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
"Intervention Divine" dénonce par l'absurde et avec un humour mordant la situation géopolitique au Proche-Orient. Une réussite absolue.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par François Gorin
Face à la réalité palestinienne, Elia Suleiman prend le parti de l'imaginaire et de la dérision.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Suleiman invente un nouveau terrain de jeu : celui d'un cinéma qui nous emmène de surprises en invraisemblances avec une grâce burlesque, corrosive et bourrée d'humour. Un film qui confirme magistralement les promesses de Chroniques d'une disparition.
Cine Libre
par Philippe Leclercq
Intervention divine est un film engagé qui cultive l'humour à froid, souligné par un style épuré tout en plans fixes et frontaux sur des visages impavides (c'est son côté Keaton). Or, si le film est d'abord poliment burlesque, il devient peu à peu politiquement incorrect sous le poids du désespoir. De plus en plus féroce.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Alain Grasset
Intervention divine est une oeuvre totalement originale. Tantôt mélange de Jacques Tati et de Buster Keaton, tantôt drame romantique digne de Marguerite Duras, il se termine en film de kung-fu transposé au mystère divin. On n'a jamais vu ça.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Drôle ? Sans doute, certains gags mettent en joie. Salubre ? Sans doute. Il est bon de rappeler une situation hélas encore aggravée aujourd'hui. Convaincant ? On a le droit d'être perplexe et de trouver le sujet trop grave pour supporter un traitement burlesque, même s'il est incontestablement inspiré...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Olivier De Bruyn
Mais derrière la placidité, la colère gronde. Le genre d'ambivalence qui font les bons films.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
Dans ce film cinglant qui met en avant avec humour l'exaspération totale des Palestiniens face aux Israéliens, le moindre épisode burlesque prend des allures de manifeste.
Chronic'art.com
Comme tous les grands films comiques, le poème d'Elia Suleiman provient d'une douleur qui affleure à chaque plan.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Avec Intervention divine, prix du jury et prix de la critique internationale au dernier Festival de Cannes, Elia Suleiman rencontre enfin l'attention qui lui est due. (...) On avait crié notre enthousiasme à Cannes. Il se confirme à une deuxième vision.
L'Obs
Le tout est filmé frontalement, longs plans fixes auxquels leur durée donne signification et force, comme à distance, pour tirer d'un monde qui n'en est pas un, où il est impossible de vivre et où l'on vit pourtant, une succession de scènes qui évoquent le cinéma des premiers temps, burlesque et digne, irrésistible et pas rameneur, mais puisent leur existence même dans la réalité d'aujourd'hui.
Le Figaroscope
Dès les premières images, on est ébloui par l'inventivité et la poésie et du cinéaste. Comme si l'impossibilité de vivre dans des territoires cernés de barbelés obligeait l'évasion par l'imagination, comme si l'esprit, aussi, était la seule arme v&ritable face à la violence.
Le Monde
Général et soldat de son armée des songes, Elia Suleiman n'a certes pas gagné la guerre – il ne croit pas une seconde cela possible. Mais comme il est fou, il a quand même gagné une bataille, sur le front de l'intelligence et de la beauté, donc de la liberté.
Libération
Il n'est pas divin, mais presque. Lorsqu'il traverse l'écran pour la première fois, au bout d'une demi-heure de film, Elia Suleiman sème les noyaux d'abricots comme un dieu : par l'étincelle, il crée un monde ; par sa classe, il fait naître l'émotion ; par le geste, il engendre un film.
MCinéma.com
Si le réalisateur dénonce la présence militaire israélienne, il épingle également les hommes palestiniens... Un film fort, dérangeant.
Première
Intervention divine est sous-titré "Une chronique d'amour et de douleur". Elia Suleiman a oublié d'évoquer l'humour. Mais ce n'est pas grave, sa mise en scène en parle très bien à sa place. Car c'est une excellente nouvelle: Jacques Tati s'est réincarné entre Ramallah, Nazareth et Jérusalem. (...) Le cinéaste ne se contente pas d'être un formaliste inspiré. Avec ses gags claustrophobes, Intervention divine est aussi un film politique et polémique.
TéléCinéObs
"Intervention Divine" dénonce par l'absurde et avec un humour mordant la situation géopolitique au Proche-Orient. Une réussite absolue.
Télérama
Face à la réalité palestinienne, Elia Suleiman prend le parti de l'imaginaire et de la dérision.
Zurban
Suleiman invente un nouveau terrain de jeu : celui d'un cinéma qui nous emmène de surprises en invraisemblances avec une grâce burlesque, corrosive et bourrée d'humour. Un film qui confirme magistralement les promesses de Chroniques d'une disparition.
Cine Libre
Intervention divine est un film engagé qui cultive l'humour à froid, souligné par un style épuré tout en plans fixes et frontaux sur des visages impavides (c'est son côté Keaton). Or, si le film est d'abord poliment burlesque, il devient peu à peu politiquement incorrect sous le poids du désespoir. De plus en plus féroce.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Intervention divine est une oeuvre totalement originale. Tantôt mélange de Jacques Tati et de Buster Keaton, tantôt drame romantique digne de Marguerite Duras, il se termine en film de kung-fu transposé au mystère divin. On n'a jamais vu ça.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Drôle ? Sans doute, certains gags mettent en joie. Salubre ? Sans doute. Il est bon de rappeler une situation hélas encore aggravée aujourd'hui. Convaincant ? On a le droit d'être perplexe et de trouver le sujet trop grave pour supporter un traitement burlesque, même s'il est incontestablement inspiré...
Première
Mais derrière la placidité, la colère gronde. Le genre d'ambivalence qui font les bons films.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com