Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Marie Mongard
Au final, ce film-somme offre une visite dans l'un des plus riches musées du monde, la possibilité de contempler de magnifiques tableaux mais aussi, plus sérieusement, une plongée dans trois cents ans d'histoire russe, des personnages diaphanes et intrigants. A voir et à revoir.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Les mille acteurs et figurants convoqués pour cet incroyable happening se succèdent sans temps mort, avec une grâce déconcertante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une déambulation au musée de l'Ermitage, donc au coeur de l'histoire russe, filmée dans le souffle ample et flottant d'un unique plan-séquence. Elégiaque et magistral.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Sébastien Bénédict
(...) belle insomnie qui nous cueille à froid dans le jour naissant du cinéma retrouvé, dont on sait à présent, que fantôme ou non, pénétré de mémoire ou d'oubli, de deuil ou de promesses, est lui aussi sans fond, sans trêve, d'un souffle, sans fin.
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Tourné vers le passé, L'Arche russe n'en demeure pas moins déterminant pour le futur du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Emile Breton
On voit bien dès lors que ce n'est pas l'exploit technique qui est important, mais ce au service de quoi il est mis : un projet tout à la fois artistique d'approfondissement des connaissances. Parce qu'il est, lui Sokourov, derrière sa caméra furtive qui se glisse partout, le film ne se contente pas de montrer ces fastes d'un empire enterré, il dialogue avec ce passé. Un passé qu'il aime, le cinéaste, c'est assez évident dans ce mouvement comme de caresse amoureuse par lequel la " machine enregistreuse " s'approche de ses interlocuteurs morts, mais un passé dont il n'est pas dupe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
On se balade dans la nostalgie et le passé comme les astronautes se propulsent dans l'espace : en apesanteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Aden
par Philippe Piazzo
Sokourov explore le cinéma à la façon d'un artiste contemporain cherchant dans le matériau le sens même de l'oeuvre. Ce plan unique, exaspérant et fascinant à la fois, provoque ainsi le spectateur, l'obligeant à se laisser gagner par une poésie à laquelle sa propre rêverie devra beaucoup, ou l'amenant à se poser, inquiet, les mêmes questions que le "réalisateur-caméra" au tout début du film : "Où suis-je ? Qui sont ces gens ?"...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Les Echos
par Annie Coppermann
Ce tournage en un jour a nécessité un an de préparation, un nouvel accrochage des tableaux du musée (...), réunit des centaines de figurants, tous en somptueux costumes, et impressionne, incontestablement, par la folie a priori de son pari, et le spectaculaire du résultat. Il donne, aussi, le vertige. Car il faut bien connaître l'histoire de la Russie pour ne pas perdre pied et prêter une attention soutenue à l'image tournoyante, sans donc une coupure, sans un instant de pause.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Mais, malgré l'originalité de l'histoire et sa manière de nous la conter à travers le personnage-guide du marquis, le récit ne passionne guère. En revanche, on reste littéralement scotché par la performance technique que représente ce film hors-norme.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Mais la dimension pionnière du film n'occulte pas la nostagie réactionnaire qu'il véhicule.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par N. T. Binh
Le film est un plan ininterrompu de plus d'une heure trente, le tout tourné en vidéo haute définition. Une performance qui force l'admiration d'un point de vue technique, d'autant plus que les cadrages ainsi que la lumière sont d'une vertigineuse beauté plastique. Toutefois, le propos sur la grandeur de la Russie passée reste plutôt flou, et les tableaux de maître, accompagnés de quelques considérations laconiques, sont trop brièvement aperçus au passage.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Antoine de Baecque
(...) la première impression est confirmée, celle d'un ennui aussi immense que l'exploit technique. Guindé dans sa prouesse, Sokourov fait défiler les scènes pieuses d'une Russie éternelle, et rarement nous intéresse, encore moins nous captive.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier de Bruyn
Douteux sur le fond, irritant sur la forme. Passons.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
On étouffe, on songe au record homologué de la visite la plus rapide du Louvre (dans Bande à part, de Godard), on songe aussi à la visite, clandestine celle-là, nocturne et fantastique, d'un autre musée, par ce même Sokourov, dans son magnifique Elégie de la traversée (2001). Et l'on se dit que non, décidément, les visites guidées obligatoires, ce n'est pas notre tasse de thé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Au final, ce film-somme offre une visite dans l'un des plus riches musées du monde, la possibilité de contempler de magnifiques tableaux mais aussi, plus sérieusement, une plongée dans trois cents ans d'histoire russe, des personnages diaphanes et intrigants. A voir et à revoir.
Le Monde
Les mille acteurs et figurants convoqués pour cet incroyable happening se succèdent sans temps mort, avec une grâce déconcertante.
Les Inrockuptibles
Une déambulation au musée de l'Ermitage, donc au coeur de l'histoire russe, filmée dans le souffle ample et flottant d'un unique plan-séquence. Elégiaque et magistral.
Cahiers du Cinéma
(...) belle insomnie qui nous cueille à froid dans le jour naissant du cinéma retrouvé, dont on sait à présent, que fantôme ou non, pénétré de mémoire ou d'oubli, de deuil ou de promesses, est lui aussi sans fond, sans trêve, d'un souffle, sans fin.
Chronic'art.com
Tourné vers le passé, L'Arche russe n'en demeure pas moins déterminant pour le futur du cinéma.
L'Humanité
On voit bien dès lors que ce n'est pas l'exploit technique qui est important, mais ce au service de quoi il est mis : un projet tout à la fois artistique d'approfondissement des connaissances. Parce qu'il est, lui Sokourov, derrière sa caméra furtive qui se glisse partout, le film ne se contente pas de montrer ces fastes d'un empire enterré, il dialogue avec ce passé. Un passé qu'il aime, le cinéaste, c'est assez évident dans ce mouvement comme de caresse amoureuse par lequel la " machine enregistreuse " s'approche de ses interlocuteurs morts, mais un passé dont il n'est pas dupe.
Le Figaroscope
On se balade dans la nostalgie et le passé comme les astronautes se propulsent dans l'espace : en apesanteur.
Aden
Sokourov explore le cinéma à la façon d'un artiste contemporain cherchant dans le matériau le sens même de l'oeuvre. Ce plan unique, exaspérant et fascinant à la fois, provoque ainsi le spectateur, l'obligeant à se laisser gagner par une poésie à laquelle sa propre rêverie devra beaucoup, ou l'amenant à se poser, inquiet, les mêmes questions que le "réalisateur-caméra" au tout début du film : "Où suis-je ? Qui sont ces gens ?"...
Les Echos
Ce tournage en un jour a nécessité un an de préparation, un nouvel accrochage des tableaux du musée (...), réunit des centaines de figurants, tous en somptueux costumes, et impressionne, incontestablement, par la folie a priori de son pari, et le spectaculaire du résultat. Il donne, aussi, le vertige. Car il faut bien connaître l'histoire de la Russie pour ne pas perdre pied et prêter une attention soutenue à l'image tournoyante, sans donc une coupure, sans un instant de pause.
MCinéma.com
Mais, malgré l'originalité de l'histoire et sa manière de nous la conter à travers le personnage-guide du marquis, le récit ne passionne guère. En revanche, on reste littéralement scotché par la performance technique que représente ce film hors-norme.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Mais la dimension pionnière du film n'occulte pas la nostagie réactionnaire qu'il véhicule.
Zurban
Le film est un plan ininterrompu de plus d'une heure trente, le tout tourné en vidéo haute définition. Une performance qui force l'admiration d'un point de vue technique, d'autant plus que les cadrages ainsi que la lumière sont d'une vertigineuse beauté plastique. Toutefois, le propos sur la grandeur de la Russie passée reste plutôt flou, et les tableaux de maître, accompagnés de quelques considérations laconiques, sont trop brièvement aperçus au passage.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
(...) la première impression est confirmée, celle d'un ennui aussi immense que l'exploit technique. Guindé dans sa prouesse, Sokourov fait défiler les scènes pieuses d'une Russie éternelle, et rarement nous intéresse, encore moins nous captive.
Première
Douteux sur le fond, irritant sur la forme. Passons.
Télérama
On étouffe, on songe au record homologué de la visite la plus rapide du Louvre (dans Bande à part, de Godard), on songe aussi à la visite, clandestine celle-là, nocturne et fantastique, d'un autre musée, par ce même Sokourov, dans son magnifique Elégie de la traversée (2001). Et l'on se dit que non, décidément, les visites guidées obligatoires, ce n'est pas notre tasse de thé.