Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Et le film finit par mêler, comme le souligne un chant final, l'art et la vie, avec cette mystérieuse affirmation : " On vit dans un rêve, seule la mort nous réveille. "
La critique complète est disponible sur le site Aden
Brazil
par Caroline Vié
Ces ingrédients habilement dosés dépaysent, instruisent, font rêver : tout ce qu'on aime trouver dans une salle obscure.
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
C'est un monde d'une illusion parfaite qui trouve sa place à l'écran, sans que la caméra d'Im Kwon-taek ait, en apparence, cherché à recréer quoi que ce soit. Cette capacité d'illusion, marque des très grands films, où la notion de vraisemblance ne se pose plus, est, davantage qu'un hommage à la peinture, une exaltation des pouvoirs du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
Im Kwon-taek nous emmène dans ce rêve avec, à la fois, une truculence follement romanesque et une inspiration esthétique d'une vertigineuse maîtrise. Les images, tableaux vivants et tableaux peints, ne sont pas seulement magnifiques : elles crèvent l'écran, elles disent la force et le mystère de la création, elles imposent une personnalité hors du commun. Celle du personnage... et de son biographe. Une perle rare, vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Yannick Lemarié
Ivre de femmes et de peinture est assurément un très grand film.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
On sort émerveillé par la force du propos, par le lyrisme de la forme, par l'habileté d'Im Kwon-Taek à transformer la vie en art, la trivialité en grâce. Enthousiasmé par ce déluge de couleurs, de cris, de larmes, de chair et d'alcool qui aboutit, selon la célèbre expression de Cocteau, à une orgie de pureté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par N. T. Binh
C'est aussi un film politique qui analyse les rapports de l'art et du pouvoir au sein d'une société décadente, à travers les relations du génie ivrogne et de son mécène éclairé, tous deux puissamment incarnés par deux superstars coréennes. Bref, un spectacle inoubliable.
Cahiers du Cinéma
par Sébastien Bénédict
Ivre de femmes et de peinture est la biographie joliment éclatée d'un peintre coréen du XIXe siècle, dont le premier souci est de faire valoir l'image comme écriture, dans la mesure de sa spécificité idéographique.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) un personnage haut en couleurs qu'on a plaisir à fréquenter pendant deux heures.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Sensuel et agité, délicat et trivial, Ivre de femmes et de peintures brosse la vie turbulente d'un fameux peintre coréen du XIXè siècle, à l'art indompté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine De Baecque
L'ivresse lie et réunit Ohwon et Im Kwon-taek : vitalité créatrice, sûreté du trait, ambition épique, mais aussi inspiration suprême, quasi spirituelle, trouvée dans l'éthylisme et l'érotisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Obejctif-Cinema.com
par Lydie Ferran
La caméra, avec sensualité et finesse, plonge au coeur des dessins, fixe le coup de pinceau, vif et précis sur la délicate feuille blanche posée à plat sur le sol, cadre la main sur le pinceau, filme l'observation méticuleuse et patiente de la nature par l'artiste en travail.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Gérard Delorme
Tel un Michel Simon coréen, le monstrueux Choi Min-Sik (...) apporte une dimension adéquate à ce personnage hors normes, dont l'énergie débordante se communique à tous les aspects du film.
La critique complète est disponible sur le site Première
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Une expérience sensible plutôt rare au cinéma. L'acteur Choi Min-sik incarne le peintre avec bonhomie. Cependant, le film aurait mérité de se concentrer davantage sur l'artiste au travail, tant son traitement constitue la face la plus intéressante de l'oeuvre.
Aden
Et le film finit par mêler, comme le souligne un chant final, l'art et la vie, avec cette mystérieuse affirmation : " On vit dans un rêve, seule la mort nous réveille. "
Brazil
Ces ingrédients habilement dosés dépaysent, instruisent, font rêver : tout ce qu'on aime trouver dans une salle obscure.
Le Monde
C'est un monde d'une illusion parfaite qui trouve sa place à l'écran, sans que la caméra d'Im Kwon-taek ait, en apparence, cherché à recréer quoi que ce soit. Cette capacité d'illusion, marque des très grands films, où la notion de vraisemblance ne se pose plus, est, davantage qu'un hommage à la peinture, une exaltation des pouvoirs du cinéma.
Les Echos
Im Kwon-taek nous emmène dans ce rêve avec, à la fois, une truculence follement romanesque et une inspiration esthétique d'une vertigineuse maîtrise. Les images, tableaux vivants et tableaux peints, ne sont pas seulement magnifiques : elles crèvent l'écran, elles disent la force et le mystère de la création, elles imposent une personnalité hors du commun. Celle du personnage... et de son biographe. Une perle rare, vraiment.
Positif
Ivre de femmes et de peinture est assurément un très grand film.
Télérama
On sort émerveillé par la force du propos, par le lyrisme de la forme, par l'habileté d'Im Kwon-Taek à transformer la vie en art, la trivialité en grâce. Enthousiasmé par ce déluge de couleurs, de cris, de larmes, de chair et d'alcool qui aboutit, selon la célèbre expression de Cocteau, à une orgie de pureté.
Zurban
C'est aussi un film politique qui analyse les rapports de l'art et du pouvoir au sein d'une société décadente, à travers les relations du génie ivrogne et de son mécène éclairé, tous deux puissamment incarnés par deux superstars coréennes. Bref, un spectacle inoubliable.
Cahiers du Cinéma
Ivre de femmes et de peinture est la biographie joliment éclatée d'un peintre coréen du XIXe siècle, dont le premier souci est de faire valoir l'image comme écriture, dans la mesure de sa spécificité idéographique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
(...) un personnage haut en couleurs qu'on a plaisir à fréquenter pendant deux heures.
Les Inrockuptibles
Sensuel et agité, délicat et trivial, Ivre de femmes et de peintures brosse la vie turbulente d'un fameux peintre coréen du XIXè siècle, à l'art indompté.
Libération
L'ivresse lie et réunit Ohwon et Im Kwon-taek : vitalité créatrice, sûreté du trait, ambition épique, mais aussi inspiration suprême, quasi spirituelle, trouvée dans l'éthylisme et l'érotisme.
Obejctif-Cinema.com
La caméra, avec sensualité et finesse, plonge au coeur des dessins, fixe le coup de pinceau, vif et précis sur la délicate feuille blanche posée à plat sur le sol, cadre la main sur le pinceau, filme l'observation méticuleuse et patiente de la nature par l'artiste en travail.
Première
Tel un Michel Simon coréen, le monstrueux Choi Min-Sik (...) apporte une dimension adéquate à ce personnage hors normes, dont l'énergie débordante se communique à tous les aspects du film.
MCinéma.com
Une expérience sensible plutôt rare au cinéma. L'acteur Choi Min-sik incarne le peintre avec bonhomie. Cependant, le film aurait mérité de se concentrer davantage sur l'artiste au travail, tant son traitement constitue la face la plus intéressante de l'oeuvre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr