Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Sous les dehors d'une fiction de gauche rigoureuse et feutrée, Le Sourire de ma mère tient davantage du voyage dans l'ombre, de la rêverie soyeuse et inquiétante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Voici un film habité par une véritable rage. Un film comme il est devenu exceptionnel d'en rencontrer sur les écrans. Elégant, complexe, subtil, et pourtant porté d'un seul élan par une fureur sans appel contre l'obscurantisme, la compromission, la veulerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
Une sorte d'ange blond mystérieux et maléfique, un fou blasphématoire, une famille à l'étouffante hypocrisie, un miracle improbable, et un enfant à préserver, éveiller et aimer : le film est riche, austère, parfois confus, féroce aussi contre les certitudes obscurantistes. Beau, aussi, plastiquement. Hors normes, ce qui devient rare !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Isabelle Potel
A partir d'une scène de duel anachronique, il dévoile sa méthode : faire de la désuétude de combats qu'on croyait périmés le sésame d'une vigueur nouvelle. Homme et cinéaste désarmé, Bellocchio a repris les armes. C'est sacrément beau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Sergio Castellitto, fabuleux, promène son visage fatigué et abasourdi dans un monde qui, soudain, se délite et se dérobe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
La scène la plus forte du film est celle où Ernesto est reçu par le cardinal Piumini, parmi les déshérités qu'il accueille à sa table.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Une oeuvre exigeante, austère mais d'une qualité exceptionnelle.
Le Parisien
par Alain Grasset
Le Sourire de ma mère est aussi un beau film et une mise en scène au rasoir, et le charisme de Sergio Castellito emmène avec une formidable tendresse, un voile de mélancolie et une très légère pincée d'humour au paradis des films intimistes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Marco Bellocchio poursuit sa critique d'une société italienne marquée par la famille et les relations troubles entre religion, pouvoir et Mafia. Et livre un film d'un beau classicisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gérard Delorme
Avec une puissance picturale dont on ne le croyait plus capable, Bellocchio met en images la séduction toujours vivace du cérémonial religieux auquel il oppose l'univers plus simple mais plus personnel du peintre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Le film dénonce de façon habile le retour inquiétant de l'irrationnel face auquel l'art resterait le seul refuge possible.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Charlotte Lipinska
Désarmé mais résistant, Sergio Castellitto traîne sa mélancolie dans des cadres somptueux et baignés d'une lumière picturale. Austère mais élégant.
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
C'est une oeuvre grise et austère qui pâtit du mauvais côté du classicisme, à savoir une rigidité qui provoque l'ennui. Cependant, Sergio Castellitto est excellent dans le rôle d'Ernesto.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le cinéaste a beau malmener la chronologie du récit, le style est extrêmement classique, voire daté. Cela pousse à se demander s'il ne serait pas question ici d'un monde disparu, fantomatique. Jadis contestataire et provocateur, Bellocchio n'est-il pas lui-même devenu un académicien soixante-huitard ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Chronic'art.com
Sous les dehors d'une fiction de gauche rigoureuse et feutrée, Le Sourire de ma mère tient davantage du voyage dans l'ombre, de la rêverie soyeuse et inquiétante.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Voici un film habité par une véritable rage. Un film comme il est devenu exceptionnel d'en rencontrer sur les écrans. Elégant, complexe, subtil, et pourtant porté d'un seul élan par une fureur sans appel contre l'obscurantisme, la compromission, la veulerie.
Les Echos
Une sorte d'ange blond mystérieux et maléfique, un fou blasphématoire, une famille à l'étouffante hypocrisie, un miracle improbable, et un enfant à préserver, éveiller et aimer : le film est riche, austère, parfois confus, féroce aussi contre les certitudes obscurantistes. Beau, aussi, plastiquement. Hors normes, ce qui devient rare !
Libération
A partir d'une scène de duel anachronique, il dévoile sa méthode : faire de la désuétude de combats qu'on croyait périmés le sésame d'une vigueur nouvelle. Homme et cinéaste désarmé, Bellocchio a repris les armes. C'est sacrément beau.
Télérama
Sergio Castellitto, fabuleux, promène son visage fatigué et abasourdi dans un monde qui, soudain, se délite et se dérobe.
Cahiers du Cinéma
La scène la plus forte du film est celle où Ernesto est reçu par le cardinal Piumini, parmi les déshérités qu'il accueille à sa table.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Une oeuvre exigeante, austère mais d'une qualité exceptionnelle.
Le Parisien
Le Sourire de ma mère est aussi un beau film et une mise en scène au rasoir, et le charisme de Sergio Castellito emmène avec une formidable tendresse, un voile de mélancolie et une très légère pincée d'humour au paradis des films intimistes.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Marco Bellocchio poursuit sa critique d'une société italienne marquée par la famille et les relations troubles entre religion, pouvoir et Mafia. Et livre un film d'un beau classicisme.
Première
Avec une puissance picturale dont on ne le croyait plus capable, Bellocchio met en images la séduction toujours vivace du cérémonial religieux auquel il oppose l'univers plus simple mais plus personnel du peintre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le film dénonce de façon habile le retour inquiétant de l'irrationnel face auquel l'art resterait le seul refuge possible.
Zurban
Désarmé mais résistant, Sergio Castellitto traîne sa mélancolie dans des cadres somptueux et baignés d'une lumière picturale. Austère mais élégant.
MCinéma.com
C'est une oeuvre grise et austère qui pâtit du mauvais côté du classicisme, à savoir une rigidité qui provoque l'ennui. Cependant, Sergio Castellitto est excellent dans le rôle d'Ernesto.
L'Humanité
Le cinéaste a beau malmener la chronologie du récit, le style est extrêmement classique, voire daté. Cela pousse à se demander s'il ne serait pas question ici d'un monde disparu, fantomatique. Jadis contestataire et provocateur, Bellocchio n'est-il pas lui-même devenu un académicien soixante-huitard ?