Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Avec ce " sujet impossible ", le film ne cesse, calmement, de déjouer les conventions. Il déploie un sens aigu de la critique sociale (...) Et il traite avec un certain humour, et beaucoup de poésie, de situations qui, autrement, seraient choquantes. Un très grand film (d'amour fou ?), totalement rebelle aux étiquettes.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Fluctuat.net
par Jérôme Dittmar
Film ambitieux et rare, à l'interprétation sidérante (...) Oasis est sans doute l'un des plus beaux mélodrames de cette année. Pleurer ou simplement s'émouvoir devant des choses aussi naïves devenant maintenant si difficile au cinéma, on ne va pas s'en plaindre.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) une maîtrise très exceptionnelle (...) Les deux acteurs sont incroyables, qui aident le cinéaste à ne rien taire, rien cacher de cette histoire d'amour fou dont on sort transformé et ébloui. Il ne fait guère de doute en effet que ceux qui verront "Oasis" se déclarent conquis (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Zurban
par Eric Quéméré
(...) un film aussi dérangeant que bouleversant sur une romance hors normes, servi par deux comédiens exceptionnels (...)
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) une poignante histoire d'amour entre les deux déshérités, un Roméo et Juliette contemporain sur fond naturaliste, émaillé de scènes oniriques illustrant la beauté intérieure des personnages et la profondeur de leur relation. Le plus beau film d'amour de l'année.
Le Figaro
par Emmanuèle Frois
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Une oeuvre dérangeante, qui fait appel au merveilleux et échappe aux clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Certes, Lee Chang-dong n'est pas un cinéaste aussi doué que Hong Sang-Soo, maître de la raréfaction, du non-dit et de l'ellipse. Lee Chang Donc est plus littéral, mais il excelle pour mettre en place des situations quotidiennes sans jamais forcer ni donner dans la thèse. C'est bien un film sur la tolérance, mais c'est avant tout une sublime histoire d'amour impossible, un Roméo et Juliette ancré dans un monde contemporain. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Agnès Catherine Poirier
Lee Chang-dong étudie avec minutie les préjugés sociaux et l'indifférence méfiante auxquels la société condamne les handicapés. Imperceptiblement, le réalisme des détails et des comportements laisse place à la poésie et au lyrisme.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Manifeste touchant pour la tolérance et l'amour universel, ce drame évite cependant tous les clichés et ne verse jamais dans le misérabilisme.
Première
par Gérard Delorme
(...) passé l'effort initial, le spectateur est gratifié d'une étude de caractères âpre et profonde sur les retombées des imperfections humaines. L'auteur, appuyé sur ses considérables capacités capacités de romancier, s'en tire d'autant mieux qu'il avance en perpétuel équilibre entre deux ornières majeures : la mélodramatisation excessive et l'indignation et l'indignation facile.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) en orchestrant un va-et-vient entre fiction et réalité, c'est également notre rapport au voyeurisme qu'il finit par questionner. Sujet et analyse sont ainsi confrontés dans un film audacieux, superbement interprété.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
(...) Lee Chang-Dong parvient, dans Oasis, à placer le spectateur au coeur même des événements, dans l'espace physique de la scène, tout en recréant une distance qui prend la forme du doute.
Télérama
par Louis Guichard
Il faut accepter l'arbitraire d'une attirance mutuelle qui ne va pas de soi et la performance très spectaculaire de l'actrice qui joue le rôle de Gong-ju (...) Dès lors, Oasis atteint à une vraie réussite, multipliant les scènes casse-gueule avec bravoure, carburant à l'énergie de Jong-du
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Avec ce " sujet impossible ", le film ne cesse, calmement, de déjouer les conventions. Il déploie un sens aigu de la critique sociale (...) Et il traite avec un certain humour, et beaucoup de poésie, de situations qui, autrement, seraient choquantes. Un très grand film (d'amour fou ?), totalement rebelle aux étiquettes.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Film ambitieux et rare, à l'interprétation sidérante (...) Oasis est sans doute l'un des plus beaux mélodrames de cette année. Pleurer ou simplement s'émouvoir devant des choses aussi naïves devenant maintenant si difficile au cinéma, on ne va pas s'en plaindre.
L'Obs
(...) une maîtrise très exceptionnelle (...) Les deux acteurs sont incroyables, qui aident le cinéaste à ne rien taire, rien cacher de cette histoire d'amour fou dont on sort transformé et ébloui. Il ne fait guère de doute en effet que ceux qui verront "Oasis" se déclarent conquis (...)
Zurban
(...) un film aussi dérangeant que bouleversant sur une romance hors normes, servi par deux comédiens exceptionnels (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) une poignante histoire d'amour entre les deux déshérités, un Roméo et Juliette contemporain sur fond naturaliste, émaillé de scènes oniriques illustrant la beauté intérieure des personnages et la profondeur de leur relation. Le plus beau film d'amour de l'année.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Une oeuvre dérangeante, qui fait appel au merveilleux et échappe aux clichés.
Les Inrockuptibles
Certes, Lee Chang-dong n'est pas un cinéaste aussi doué que Hong Sang-Soo, maître de la raréfaction, du non-dit et de l'ellipse. Lee Chang Donc est plus littéral, mais il excelle pour mettre en place des situations quotidiennes sans jamais forcer ni donner dans la thèse. C'est bien un film sur la tolérance, mais c'est avant tout une sublime histoire d'amour impossible, un Roméo et Juliette ancré dans un monde contemporain. Bouleversant.
Libération
Lee Chang-dong étudie avec minutie les préjugés sociaux et l'indifférence méfiante auxquels la société condamne les handicapés. Imperceptiblement, le réalisme des détails et des comportements laisse place à la poésie et au lyrisme.
MCinéma.com
Manifeste touchant pour la tolérance et l'amour universel, ce drame évite cependant tous les clichés et ne verse jamais dans le misérabilisme.
Première
(...) passé l'effort initial, le spectateur est gratifié d'une étude de caractères âpre et profonde sur les retombées des imperfections humaines. L'auteur, appuyé sur ses considérables capacités capacités de romancier, s'en tire d'autant mieux qu'il avance en perpétuel équilibre entre deux ornières majeures : la mélodramatisation excessive et l'indignation et l'indignation facile.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) en orchestrant un va-et-vient entre fiction et réalité, c'est également notre rapport au voyeurisme qu'il finit par questionner. Sujet et analyse sont ainsi confrontés dans un film audacieux, superbement interprété.
Cahiers du Cinéma
(...) Lee Chang-Dong parvient, dans Oasis, à placer le spectateur au coeur même des événements, dans l'espace physique de la scène, tout en recréant une distance qui prend la forme du doute.
Télérama
Il faut accepter l'arbitraire d'une attirance mutuelle qui ne va pas de soi et la performance très spectaculaire de l'actrice qui joue le rôle de Gong-ju (...) Dès lors, Oasis atteint à une vraie réussite, multipliant les scènes casse-gueule avec bravoure, carburant à l'énergie de Jong-du