Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Michèle Stouvenot
Lune froide est bien ce qu’on attendait : il est provocant, sulfureux, étrange, fou, un film de pleine lune.
Le Monde
par Danièle Heymann
C’est troublant, beau, d’une surprenante pureté. Lune froide n’est pas un film parfait. C’est, mieux que cela, un coup au cœur qui ne s'efface pas.
Libération
par M.L
Beaucoup de scènes sont très réussies (comme celles du café, où Jean-Louis veut se battre avec Bouchitey, (...) et la fin du Lune froide (qui était le court-métrage…) est ce qu’il y a de plus fort.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Sur ce sujet pour le moins scabreux, Bouchitey offre un film ambitieux à l’ambiance déroutante, qui, recrée à la française l’univers allumé de Bukowski. Il montre en tout cas que le cinéma peut tout filmer, même la longue scène de nécrophilie, qui, si elle est prenante, n’en est pas pour autant choquante. La magie du cinéma, sans doute.
Le Figaro
par Emmanuèle Frois
Patrick Bouchitey reçoit en 1990 le césar du court-métrage. L’oeuvre séduit aussi Luc Besson qui décide de coproduire avec Bouchitey son futur long-métrage en noir et blanc, beau et glacé, comme la lune.
Première
par Jean-Jacques Bernard
Les deux loustics étaient filmé avec une intelligence formidable, et leur acte parvenait à ne jamais paraître sordide grâce, entre autres, à la photo en noir et blanc du génial opérateur Jean-Jacques Bouhon.
Le Journal du Dimanche
Lune froide est bien ce qu’on attendait : il est provocant, sulfureux, étrange, fou, un film de pleine lune.
Le Monde
C’est troublant, beau, d’une surprenante pureté. Lune froide n’est pas un film parfait. C’est, mieux que cela, un coup au cœur qui ne s'efface pas.
Libération
Beaucoup de scènes sont très réussies (comme celles du café, où Jean-Louis veut se battre avec Bouchitey, (...) et la fin du Lune froide (qui était le court-métrage…) est ce qu’il y a de plus fort.
Le Dauphiné Libéré
Sur ce sujet pour le moins scabreux, Bouchitey offre un film ambitieux à l’ambiance déroutante, qui, recrée à la française l’univers allumé de Bukowski. Il montre en tout cas que le cinéma peut tout filmer, même la longue scène de nécrophilie, qui, si elle est prenante, n’en est pas pour autant choquante. La magie du cinéma, sans doute.
Le Figaro
Patrick Bouchitey reçoit en 1990 le césar du court-métrage. L’oeuvre séduit aussi Luc Besson qui décide de coproduire avec Bouchitey son futur long-métrage en noir et blanc, beau et glacé, comme la lune.
Première
Les deux loustics étaient filmé avec une intelligence formidable, et leur acte parvenait à ne jamais paraître sordide grâce, entre autres, à la photo en noir et blanc du génial opérateur Jean-Jacques Bouhon.