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Note moyenne
4,2
19 titres de presse
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Aden
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Chronic'art.com
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L'Express
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Le Point
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TéléCinéObs
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Télérama
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Zurban
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Cahiers du Cinéma
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Ciné Live
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Le Figaroscope
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Le Monde
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Le Parisien
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MCinéma.com
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Positif
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Première
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Cine Libre
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Fluctuat.net
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Les Echos
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Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Aden
C'est joyeux, ça ressemble à une blague - on se dit, parfois, que les cadrages sont ratés volontairement, mais les fous rires, quoi qu'il arrive, sont authentiques. Canular ou vérité ? Fiction ou réalité ? Cette indécision ajoute au plaisir de voir une poignée de quinquagénaires rigolards jouer les redresseurs de torts, dans un film à la fois militant et potache. Une pure réussite.
Chronic'art.com
D'une pierre deux coup, avec Une Pure coïncidence, Romain Goupil s'engage politiquement avec subtilité et offre de grands moments de cinéma. Grâce un jeu de miroirs permanent entre fiction et réalité, sans jamais savoir exactement où se trouve la frontière qui sépare l'une de l'autre, le cinéaste bouleverse le cadre du sempiternel docu-fiction. Car ici c'est le documentaire qui invente de toutes pièces une fiction pour mieux se réaliser.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
TéléCinéObs
(...) un acte de "terrorisme citoyen" affolant d'espièglerie, d'intelligence et de témérité dont il nous livre ici le compte rendu documentaire (...).
Télérama
Romain Goupil part en chasse contre les fabriquants de faux papiers. Une vraie fausse enquête jubilatoire.
Zurban
Dans une croisade engagée mais tout aussi familiale et amicale, Romain Goupil nous embarque dans un docu-fiction-témoignage brillant et déroutant où l'on ne parvient pas à distinguer le vrai du faux.
Cahiers du Cinéma
Dans ce bricolage maison se combinent assez génialement les différents soucis du metteur en scène : la part de l'intime et la visée politique, l'action directe et la mémoire cinématographique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Un film militant mais joyeux qui ressemble à son auteur.
Le Monde
C'est au sein de cette masse qu'il a ensuite construit l'assemblage singulier qui s'intitule aujourd'hui Une pure coïncidence. Il s'agit incontestablement d'un bon film de cinéma.
Le Parisien
Romain Goupil laisse sa mélancolie de côté pour nous donner un film plein d'énergie, d'amitié et d'espoir en des jours meilleurs.
MCinéma.com
UNE PURE COINCIDENCE mélange enquête efficace et émouvante réflexion sur l'évolution de l'engagement et de la conscience politique. Le dernier film de Romain Goupil est un véritable moment de bonheur qui ne doit rien au hasard.
Positif
En assumant son rôle de faiseur d'images, en jouant au redresseur de tort par le film, même en déconnant, Romain Goupil dépasse l'anodin. Il ne transforme pas la réalité, il la fictionne pour qu'elle ressemble à la fable dont il rêve.
Première
(...) le flm de Goupil est excessivement drôle, haletant et signifiant (...), en bon polar, il s'achève sur une pirouette inattendue (...).
Cine Libre
Il serait aisé d'élever Une pure coïncidence au statut de manifeste pour film militant, cependant cela lui serait aussi dangereux, car rédhibitoire, que restrictif. Par contre l'appréhender comme une oeuvre cinématographique posant les fondements du militantisme par l'image serait plus judicieux. A méditer.
Fluctuat.net
Vrai ou faux, politique ou pur divertissement, rien n'est tranché. Rien n'est pleinement assumé. Le cinéaste de Mourir à trente ans et de Lettre pour L... coupe les ponts avec un cinéma militant auquel il avait été souvent rattaché par le passé. C'est son choix. (...) Néanmoins l'alternative que propose Goupil, purement agissante, nous semble aller droit dans une impasse.
Les Echos
(...) vous aurez peut-être plaisir à le découvrir si vous vous sentez, vous-même, d'humeur canulardesque gauchiste. Mais vous risquez aussi de trouver l'ensemble bien mince, et bien peu sérieux.
Libération
On pourra être désorienté par le mélange des genres. Ou séduit. Au moins, le spectateur aura-t-il le loisir d'organiser ces fragments selon le canevas qui lui convient.