Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cine Libre
par Ruth Legrand
Tareque Masud montre la prison échafaudée par les passions brutales, le pouvoir et la force. L'Oiseau d'argile incite à réfléchir sur les attitudes qui permettent d'en ouvrir les portes. Son propos est subtil, ses images sont magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Aden
par Philippe Piazzo
(...) la beauté de L'Oiseau d'argile doit beaucoup à sa philosophie orientale : loin de forcer le regard, il est une invitation à l'éveil de la pensée.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
A la fois sensible et engagé, L'OISEAU D'ARGILE est une oeuvre fragile à découvrir.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Grégoire Leménager
Quelques maladresses, négligeables devant la beauté sensible des images qui éclairent cette page d'histoire de leur réalisme coloré.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Charles Tesson
S'il y a un charme indéniable, une atmosphère, un sens et une tenue, du plan, sans que les personnages soient caricaturés, c'est le propos qui gêne, sur fond de manichéisme (pour être bon, il suffit de ne pas être musulman). Il est permis d'en douter.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Olivier De Bruyn
Pas un grand film, mais un film intéressant. Ce qui n'est déjà pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
Même si sa mise en scène frise parfois l'application, Tareque Masud a l'art de saisir la pureté de l'enfance, rempart contre les dérives adultes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Eric Quéméré
Si l'on peut regretter que certains personnages flirtent un peu avec la caricature, ou que la réalisation manque parfois d'ampleur, il faut reconnaître au film une belle sensibilité, s'exprimant notamment par une photographie remarquable, comme par l'habile intégration au récit de magnifiques chants bengalis.
Positif
par P. E.
Le spectateur ne peut plus éprouver de compassion à l'égard de ces religieux menacés, et cherche encore l'aboutissement humain de cette histoire au ton univoque, pourtant photographiée avec élégance.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cine Libre
Tareque Masud montre la prison échafaudée par les passions brutales, le pouvoir et la force. L'Oiseau d'argile incite à réfléchir sur les attitudes qui permettent d'en ouvrir les portes. Son propos est subtil, ses images sont magnifiques.
Aden
(...) la beauté de L'Oiseau d'argile doit beaucoup à sa philosophie orientale : loin de forcer le regard, il est une invitation à l'éveil de la pensée.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
A la fois sensible et engagé, L'OISEAU D'ARGILE est une oeuvre fragile à découvrir.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Quelques maladresses, négligeables devant la beauté sensible des images qui éclairent cette page d'histoire de leur réalisme coloré.
Cahiers du Cinéma
S'il y a un charme indéniable, une atmosphère, un sens et une tenue, du plan, sans que les personnages soient caricaturés, c'est le propos qui gêne, sur fond de manichéisme (pour être bon, il suffit de ne pas être musulman). Il est permis d'en douter.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Pas un grand film, mais un film intéressant. Ce qui n'est déjà pas si mal.
Télérama
Même si sa mise en scène frise parfois l'application, Tareque Masud a l'art de saisir la pureté de l'enfance, rempart contre les dérives adultes.
Zurban
Si l'on peut regretter que certains personnages flirtent un peu avec la caricature, ou que la réalisation manque parfois d'ampleur, il faut reconnaître au film une belle sensibilité, s'exprimant notamment par une photographie remarquable, comme par l'habile intégration au récit de magnifiques chants bengalis.
Positif
Le spectateur ne peut plus éprouver de compassion à l'égard de ces religieux menacés, et cherche encore l'aboutissement humain de cette histoire au ton univoque, pourtant photographiée avec élégance.