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Votre avis sur Braquage à l'italienne ?
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Remake d'un classique de 1969 ( " L'or se barre " avec Michael Caine ) , célèbre pour sa délirante poursuite en Mini Cooper, ce braquage emmené par une sympathique équipe de voleurs se veut plus moderne en utilisant à fond la technologie. Les acteurs ont l'air de beaucoup s'amuser ( Charlize Theron, Jason Statham en costaud attachant, Ed Norton en ignoble escroc ), et les scènes de poursuites qui ont été reprises en hommage à L'Or se barre, sont spectaculaires (sur les canaux de Venise, et les SuperMini Austin au coeur de L.A.).
Beaucoup d'action et de fantaisie ( mais aussi d' invraisemblances : vous n' y échappez pas ! ) dans ce film distrayant à l'élégante ironie, où le réalisateur transforme une intrigue basique assez convenue en un mélange emballant d'actions, de suspense et de comédie. Un divertissement au rythme enlevé qui ne manque pas de surprises et de rebondissements bien orchestrés.
Beaucoup d'action et de fantaisie ( mais aussi d' invraisemblances : vous n' y échappez pas ! ) dans ce film distrayant à l'élégante ironie, où le réalisateur transforme une intrigue basique assez convenue en un mélange emballant d'actions, de suspense et de comédie. Un divertissement au rythme enlevé qui ne manque pas de surprises et de rebondissements bien orchestrés.
Film inintéressant, il se passe pas grand chose, tout est déjà vu et le film accumule les clichés sur les films de ce genre. A éviter !
Remake de L’Or se barre de Peter Collinson (1969), The Italian Job reprend le même titre original avec la peur que le projet tombe à l’eau, une bonne raison pour jeter l’ancre à Venise dans une scène d’introduction justifiant tout juste la partie « Italian ». Comme quoi, il faut se mouiller pour connaître le succès.
On aurait aimé des plans plus aérés des scènes motorisés, qui auraient donné plus d’espace à la jubilation graphique, d’autant que F. Gary Gray (au secours, quelle partie est le prénom ?) n’a pas à avoir honte des cascades réalisées par les acteurs eux-mêmes, bel hommage à Remy Julienne, bien qu’il doive se jouer sous les notes de Money au nom de Roger Waters plutôt que de Pink Flood. Pardon, Floyd. C’est l’intro vénitienne dont je ne reviens encore pas de la mesquinerie.
Profitant de la vague de braquages cinématographique menée par Ocean’s, F. Gary arrive à bien placer son affection pour l’automobile, atout dans un jeu de cartes joué avec parcimonie et recul (!). Il ne faudra pas chercher le goût du premier Italian Job, ni espérer rire d’autre chose que le clin d’œil direct que lui fait Gary Gray.
L’histoire fait bien un peu teu-teu sous les grands airs de Mark Wahlberg et Edward Norton empêtrés dans leurs copies de Matt Damon et John Cusack, mais de même que F. aime à faire traverser diverses matières à sa caméra dans des transitions bien lisses, c’est un film qui pénètre juste ce qu’il faut de notre intérêt. Il souffre avant tout, finalement, de l’effet de mode de son genre et de son côté remake un peu fade.
septiemeartetdemi.com
On aurait aimé des plans plus aérés des scènes motorisés, qui auraient donné plus d’espace à la jubilation graphique, d’autant que F. Gary Gray (au secours, quelle partie est le prénom ?) n’a pas à avoir honte des cascades réalisées par les acteurs eux-mêmes, bel hommage à Remy Julienne, bien qu’il doive se jouer sous les notes de Money au nom de Roger Waters plutôt que de Pink Flood. Pardon, Floyd. C’est l’intro vénitienne dont je ne reviens encore pas de la mesquinerie.
Profitant de la vague de braquages cinématographique menée par Ocean’s, F. Gary arrive à bien placer son affection pour l’automobile, atout dans un jeu de cartes joué avec parcimonie et recul (!). Il ne faudra pas chercher le goût du premier Italian Job, ni espérer rire d’autre chose que le clin d’œil direct que lui fait Gary Gray.
L’histoire fait bien un peu teu-teu sous les grands airs de Mark Wahlberg et Edward Norton empêtrés dans leurs copies de Matt Damon et John Cusack, mais de même que F. aime à faire traverser diverses matières à sa caméra dans des transitions bien lisses, c’est un film qui pénètre juste ce qu’il faut de notre intérêt. Il souffre avant tout, finalement, de l’effet de mode de son genre et de son côté remake un peu fade.
septiemeartetdemi.com
Un braquage sous forme de vengeance avec la lumineuse C. Theron. Tout ne tient pas la route question réalisme mais cependant on passe un bon moment sans prise de tête.
Un braquage et un double-braquage qui se tient encore, 15 ans plus tard. Charlize est fabuleuse comme d'habitude. Braquage de lingots d'or d'une banque. Un des braqueurs trahit ses comparses pour tout prendre et la suite est le braquage du traitre. Bien pensé et de bonnes poursuites.
Un excellent film passé complètement inaperçu du fait du succès d’Ocean’s Eleven et des similitudes entre les deux scénarios. Pourtant, il s’avère que Braquage à l'italienne offre un spectacle de bonne facture et tient assez bien la comparaison avec le film de Soderbergh. Tout d’abord grâce à son casting impressionnant : de Mark Wahlberg à Jason Statham, en passant par Edward Norton et la très sexy Charlize Theron, tous sont crédibles et offrent quelques beaux face à face. Mais, au delà de la distribution, le film est agréable à regarder car il est très rythmé, ne s’essouffle jamais, allie plutôt habillement action et humour, et sait offrir son lot de rebondissements. On retiendra également la présence des Mini Cooper comme véhicules de braquage, original et efficace !
En résumé, un remake correct de "L’or en barre" qui reprend plus ou moins les mêmes ingrédients, à savoir un ton décalé, de l’action, des courses poursuites en mini et un casting brillant. Bref, du bon divertissement…
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
En résumé, un remake correct de "L’or en barre" qui reprend plus ou moins les mêmes ingrédients, à savoir un ton décalé, de l’action, des courses poursuites en mini et un casting brillant. Bref, du bon divertissement…
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Une bonne histoire de gangsters bien ficelé, avec bien sûr des scènes d'actions qui en jettent, mais rien de génial non plus. Sa n'est pas trop mon genre de film, mais pour les fans du genre, je dirait que c'est plutôt c'est très bon.
Malin, rythmé, spectaculaire, second degré et émouvant, un divertissement tout simplement génial avec casting et musique top niveau. Ne changera ni la face du monde, ni le cinéma, mais permet de se dire "Yes! Pur bonheur ce film!" et c'est cool!😉
De l'humour, de bonnes punchlines, une belle distribution qui fait le boulot. Ce film est endiablé, enjoué, avec de belles courses poursuites de toutes sortes (voiture vs voiture, voiture vs avion, bateau vs bateau) et une grande ingéniosité. Un bon divertissement de soirée même si prévisible et sans originalité !
Super film d'action rythmé et indémodable.
Les superbes scènes dans Venise ou Las Vegas.
Une scène incroyable à la fin comme au début !
Les superbes scènes dans Venise ou Las Vegas.
Une scène incroyable à la fin comme au début !
Un déjà vu ennuyant ! Et le rôles répétés de femmes insensibles qui veulent se comporter comm des hommes, bof ! Aucune originalité. Un happé end un peu trop gentil.
Un excellent film de braquage. Un très bon casting : Mark Walhberg , Edward Norton et Charlize Theron.
Voici donc le fameux de remake de « L'or se barre ». Autant le dire de suite, j'ai largement préféré cette nouvelle version. Me sentant autrement plus concerné par ce qui m'était proposé. Même s'il y a de nombreuses divergences par rapport au film d'origine. Le braquage ne se fait plus dans le même lieu, on ajoute un traître parmi les braqueurs, on dit adieu aux minis cooper et enfin, la fin est entièrement revue. Mais je m'en balance, j'ai largement préféré. Ici, s'il y a bien quelques temps faibles, il y a quand même un minimum de rythme. Une réalisation acceptable (on ne se rend pas compte à quel point ça pèse dans la balance) et on ne s'ennuie pas. Ce qui était le cas (trop souvent) dans le film remis au goût du jour. L'ensemble ne va pas chercher bien loin, mais remplit son cahier des charges correctement. Je n'en demande pas plus. Et si Michael Caine et Noël Coward ne sont plus là, le dernier cité était déjà mort depuis un moment hélas, on a tout de même une belle brochette d'acteurs dans laquelle seul Edward Norton, pas à son avantage dans le rôle du méchant de service, ne semble pas trop à sa place. Les autres, que ce soit Statham, Wahlberg, Theron (mama mia quel canon), Mos Def et Green assurent. Si l'ensemble n'a pas de génie, il permet cependant de passer un bon moment. Pas besoin d'aller chercher plus loin.
Un film de braquage sympathique mais pas très original : on a vraiment l'impression de regarder un sous - Ocean's Eleven.
Le premier sentiment qui me vient à l'esprit en repensant à ce film, c'est que c'est un film "bon enfant" : en effet, le gros plus de ce film, c'est que, sur une histoire de "casse" assez classique, viennent se greffer de nombreuses scènes en flash-back assez drôles expliquant le passé des personnages principaux. On assiste ainsi à une foule d'anecdotes drôles où la fiction se mêle à la réalité (Napster, Wired). Un film, donc, qui ne se prend jamais au sérieux. Par cette ambiance détendue, c'est un film que l'on regarde avec plaisir, qui relaxe et qui peut chasser les idées noires du spectateur. Cependant, au niveau du scénario, on ne peut s'empêcher de faire une comparaison avec le récent "Ocean's Eleven" à la construction similaire (préparation et exécution du "casse" parfait) : pour moi, "Ocean's Eleven" est un ton au dessus de ""Braquage à l'Italienne" (The Italian Job). Le hold-up en lui-même était plus compliqué, plus subtil et surtout l'interprétation du "méchant" par Andy Garcia est vraiment largement supérieure à celle du "méchant" joué ici par Edward Norton. Une petite remarque pour finir : on sent à Hollywood un côté "tendance" des quartiers coréens pour les scènes de face à face des films d'action : ainsi pour "Heat", LE face à face entre Al Pacino et Robert De Niro se passait dans un café du quartier coréen de Los Angeles. Ici, le face à face entre Mark Wahlberg et son indic' hors-norme se passe dans un club de golf coréen, toujours à Los Angeles. Étonnant, non ?
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