Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
Avec Open Range, ode à l'esprit d'indépendance, invite à la révolte contre l'injustice, film d'avant le doute, l'Amérique retrouve ses valeurs fondamentales. Que ce soit à travers l'évocation d'un mode de vie disparu n'est pas insignifiant.
L'Obs
par François Forestier
Les personnages se croisent, se regardent, s'aiment, se tuent : il y a dans Open range, un bonheur d'artisan. En 135 minutes, Kevin Costner réinvente l'horizon, retrouve le grand ciel qui planait au-dessus de la tête de Gary Cooper.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
(...) c'est une belle histoire d'aventure, d'amour et d'amitié, avec de vrais personnages de légende, des grands espaces magnifiquement filmés et un souffle épique indéniable. Kevin Costner a incontestablement le sens du récit et de la mise en scène. De plus, il a su s'entourer d'acteurs exceptionnels, Robert Duvall au jeu si subtil et Annette Benning au charme raffiné.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Comment continuer à filmer des histoires de cow-boys sans revenir au péché d'angélisme, sans risquer de chausser des bottes trop petites par rapport à celles des maîtres du genre, et sans effets spéciaux ? Mal-aimé depuis l'échec de sa dernière réalisation (...), Kevin Costner relève le pari avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La rédaction
Open Range (...) a tout d'un grand classique.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Yannick Dahan
Cinéma de la civilité et western d'une beauté rare, Open range évoque une époque fondatrice où tout s'est joué, où réside encore l'espoir de ne pas se soumettre au pouvoir de la cupidité.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
(...) il (Kevin Costner) reste sobre, et ne cherche pas non plus les effets en tant que metteur en scène. Ressenti et retenu à la fois, son western garde une modestie honnête pour nous dire, à la manière de Simone de Beauvoir, que même chez les cow-boys, on ne naît pas homme, on le devient.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
En dépit de ce penchant manichéen (...), Open range emporte souvent l'adhésion grâce à cette croyance indéfectible dans le pouvoir immémorial d'un paysage, d'un visage de femme, d'une amitié soudée dans le silence, autant de caractéristique "brutes" qui font parfois remonter à la surface le cinéma des origines.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Emmanuel Vincenot
(...) western qui parvient à renouer avec une tradition que l'on croyait perdue (...) tout en apportant l'indispensable nouveauté (le respect de la vérité historique, matérielle et sociale, comme enjeu spectaculaire) sans laquelle le film n'aurait été qu'une pièce de musée.
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par Camille Brun
(...) son (Kevin Costner) film tient non seulement la route, mais il est également prenant et traversé de très belles scènes. (...) Avec Open range, que les fans du genre apprécieront encore plus que les autres, Kevin Costner nous fait oublier son ratage de Postman et nous rappelle tout le bien qu'on pensait de Danse avec les loups...
Première
par Gérard Delorme
Le film qui aurait pu être tourné il y a vingt ans, se voit avec plaisir, mais perplexité : à aucun moment il n'arrive à faire oublier que ce qu'il raconte a déjà été dit avant, et mieux.
Aden
par La rédaction
Kevin Costner s'applique à reconstruire, sans aucun décalage, le western des familles, avec échanges de coups de feu, bons sentiments et morale chrétienne (...). C'est beau comme une image d'Epinal, une caricature du genre, un revival John Wayne.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Kevin Costner réalise un western bourré de références à ceux du passé, un film néoclassique jusqu'à l'académisme, beaucoup moins excitant que le Blueberry de Jan Kounen.
Libération
par Gilles Renault
Un western digne qui, comme la plupart de ses modèles déposés, a la bonne idée d'aborder la question sous un angle crépusculaire.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Avec Open Range, ode à l'esprit d'indépendance, invite à la révolte contre l'injustice, film d'avant le doute, l'Amérique retrouve ses valeurs fondamentales. Que ce soit à travers l'évocation d'un mode de vie disparu n'est pas insignifiant.
L'Obs
Les personnages se croisent, se regardent, s'aiment, se tuent : il y a dans Open range, un bonheur d'artisan. En 135 minutes, Kevin Costner réinvente l'horizon, retrouve le grand ciel qui planait au-dessus de la tête de Gary Cooper.
Le Figaroscope
(...) c'est une belle histoire d'aventure, d'amour et d'amitié, avec de vrais personnages de légende, des grands espaces magnifiquement filmés et un souffle épique indéniable. Kevin Costner a incontestablement le sens du récit et de la mise en scène. De plus, il a su s'entourer d'acteurs exceptionnels, Robert Duvall au jeu si subtil et Annette Benning au charme raffiné.
Le Monde
Comment continuer à filmer des histoires de cow-boys sans revenir au péché d'angélisme, sans risquer de chausser des bottes trop petites par rapport à celles des maîtres du genre, et sans effets spéciaux ? Mal-aimé depuis l'échec de sa dernière réalisation (...), Kevin Costner relève le pari avec brio.
Le Parisien
Open Range (...) a tout d'un grand classique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
Cinéma de la civilité et western d'une beauté rare, Open range évoque une époque fondatrice où tout s'est joué, où réside encore l'espoir de ne pas se soumettre au pouvoir de la cupidité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) il (Kevin Costner) reste sobre, et ne cherche pas non plus les effets en tant que metteur en scène. Ressenti et retenu à la fois, son western garde une modestie honnête pour nous dire, à la manière de Simone de Beauvoir, que même chez les cow-boys, on ne naît pas homme, on le devient.
Chronic'art.com
En dépit de ce penchant manichéen (...), Open range emporte souvent l'adhésion grâce à cette croyance indéfectible dans le pouvoir immémorial d'un paysage, d'un visage de femme, d'une amitié soudée dans le silence, autant de caractéristique "brutes" qui font parfois remonter à la surface le cinéma des origines.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
(...) western qui parvient à renouer avec une tradition que l'on croyait perdue (...) tout en apportant l'indispensable nouveauté (le respect de la vérité historique, matérielle et sociale, comme enjeu spectaculaire) sans laquelle le film n'aurait été qu'une pièce de musée.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
(...) son (Kevin Costner) film tient non seulement la route, mais il est également prenant et traversé de très belles scènes. (...) Avec Open range, que les fans du genre apprécieront encore plus que les autres, Kevin Costner nous fait oublier son ratage de Postman et nous rappelle tout le bien qu'on pensait de Danse avec les loups...
Première
Le film qui aurait pu être tourné il y a vingt ans, se voit avec plaisir, mais perplexité : à aucun moment il n'arrive à faire oublier que ce qu'il raconte a déjà été dit avant, et mieux.
Aden
Kevin Costner s'applique à reconstruire, sans aucun décalage, le western des familles, avec échanges de coups de feu, bons sentiments et morale chrétienne (...). C'est beau comme une image d'Epinal, une caricature du genre, un revival John Wayne.
Les Inrockuptibles
Kevin Costner réalise un western bourré de références à ceux du passé, un film néoclassique jusqu'à l'académisme, beaucoup moins excitant que le Blueberry de Jan Kounen.
Libération
Un western digne qui, comme la plupart de ses modèles déposés, a la bonne idée d'aborder la question sous un angle crépusculaire.