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Avec Open Range, ode à l'esprit d'indépendance, invite à la révolte contre l'injustice, film d'avant le doute, l'Amérique retrouve ses valeurs fondamentales. Que ce soit à travers l'évocation d'un mode de vie disparu n'est pas insignifiant.
Les personnages se croisent, se regardent, s'aiment, se tuent : il y a dans Open range, un bonheur d'artisan. En 135 minutes, Kevin Costner réinvente l'horizon, retrouve le grand ciel qui planait au-dessus de la tête de Gary Cooper.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) c'est une belle histoire d'aventure, d'amour et d'amitié, avec de vrais personnages de légende, des grands espaces magnifiquement filmés et un souffle épique indéniable. Kevin Costner a incontestablement le sens du récit et de la mise en scène. De plus, il a su s'entourer d'acteurs exceptionnels, Robert Duvall au jeu si subtil et Annette Benning au charme raffiné.
Comment continuer à filmer des histoires de cow-boys sans revenir au péché d'angélisme, sans risquer de chausser des bottes trop petites par rapport à celles des maîtres du genre, et sans effets spéciaux ? Mal-aimé depuis l'échec de sa dernière réalisation (...), Kevin Costner relève le pari avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cinéma de la civilité et western d'une beauté rare, Open range évoque une époque fondatrice où tout s'est joué, où réside encore l'espoir de ne pas se soumettre au pouvoir de la cupidité.
(...) il (Kevin Costner) reste sobre, et ne cherche pas non plus les effets en tant que metteur en scène. Ressenti et retenu à la fois, son western garde une modestie honnête pour nous dire, à la manière de Simone de Beauvoir, que même chez les cow-boys, on ne naît pas homme, on le devient.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
En dépit de ce penchant manichéen (...), Open range emporte souvent l'adhésion grâce à cette croyance indéfectible dans le pouvoir immémorial d'un paysage, d'un visage de femme, d'une amitié soudée dans le silence, autant de caractéristique "brutes" qui font parfois remonter à la surface le cinéma des origines.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) western qui parvient à renouer avec une tradition que l'on croyait perdue (...) tout en apportant l'indispensable nouveauté (le respect de la vérité historique, matérielle et sociale, comme enjeu spectaculaire) sans laquelle le film n'aurait été qu'une pièce de musée.
(...) son (Kevin Costner) film tient non seulement la route, mais il est également prenant et traversé de très belles scènes. (...) Avec Open range, que les fans du genre apprécieront encore plus que les autres, Kevin Costner nous fait oublier son ratage de Postman et nous rappelle tout le bien qu'on pensait de Danse avec les loups...
Le film qui aurait pu être tourné il y a vingt ans, se voit avec plaisir, mais perplexité : à aucun moment il n'arrive à faire oublier que ce qu'il raconte a déjà été dit avant, et mieux.
Kevin Costner s'applique à reconstruire, sans aucun décalage, le western des familles, avec échanges de coups de feu, bons sentiments et morale chrétienne (...). C'est beau comme une image d'Epinal, une caricature du genre, un revival John Wayne.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Kevin Costner réalise un western bourré de références à ceux du passé, un film néoclassique jusqu'à l'académisme, beaucoup moins excitant que le Blueberry de Jan Kounen.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Avec Open Range, ode à l'esprit d'indépendance, invite à la révolte contre l'injustice, film d'avant le doute, l'Amérique retrouve ses valeurs fondamentales. Que ce soit à travers l'évocation d'un mode de vie disparu n'est pas insignifiant.
L'Obs
Les personnages se croisent, se regardent, s'aiment, se tuent : il y a dans Open range, un bonheur d'artisan. En 135 minutes, Kevin Costner réinvente l'horizon, retrouve le grand ciel qui planait au-dessus de la tête de Gary Cooper.
Le Figaroscope
(...) c'est une belle histoire d'aventure, d'amour et d'amitié, avec de vrais personnages de légende, des grands espaces magnifiquement filmés et un souffle épique indéniable. Kevin Costner a incontestablement le sens du récit et de la mise en scène. De plus, il a su s'entourer d'acteurs exceptionnels, Robert Duvall au jeu si subtil et Annette Benning au charme raffiné.
Le Monde
Comment continuer à filmer des histoires de cow-boys sans revenir au péché d'angélisme, sans risquer de chausser des bottes trop petites par rapport à celles des maîtres du genre, et sans effets spéciaux ? Mal-aimé depuis l'échec de sa dernière réalisation (...), Kevin Costner relève le pari avec brio.
Le Parisien
Open Range (...) a tout d'un grand classique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
Cinéma de la civilité et western d'une beauté rare, Open range évoque une époque fondatrice où tout s'est joué, où réside encore l'espoir de ne pas se soumettre au pouvoir de la cupidité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) il (Kevin Costner) reste sobre, et ne cherche pas non plus les effets en tant que metteur en scène. Ressenti et retenu à la fois, son western garde une modestie honnête pour nous dire, à la manière de Simone de Beauvoir, que même chez les cow-boys, on ne naît pas homme, on le devient.
Chronic'art.com
En dépit de ce penchant manichéen (...), Open range emporte souvent l'adhésion grâce à cette croyance indéfectible dans le pouvoir immémorial d'un paysage, d'un visage de femme, d'une amitié soudée dans le silence, autant de caractéristique "brutes" qui font parfois remonter à la surface le cinéma des origines.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
(...) western qui parvient à renouer avec une tradition que l'on croyait perdue (...) tout en apportant l'indispensable nouveauté (le respect de la vérité historique, matérielle et sociale, comme enjeu spectaculaire) sans laquelle le film n'aurait été qu'une pièce de musée.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
(...) son (Kevin Costner) film tient non seulement la route, mais il est également prenant et traversé de très belles scènes. (...) Avec Open range, que les fans du genre apprécieront encore plus que les autres, Kevin Costner nous fait oublier son ratage de Postman et nous rappelle tout le bien qu'on pensait de Danse avec les loups...
Première
Le film qui aurait pu être tourné il y a vingt ans, se voit avec plaisir, mais perplexité : à aucun moment il n'arrive à faire oublier que ce qu'il raconte a déjà été dit avant, et mieux.
Aden
Kevin Costner s'applique à reconstruire, sans aucun décalage, le western des familles, avec échanges de coups de feu, bons sentiments et morale chrétienne (...). C'est beau comme une image d'Epinal, une caricature du genre, un revival John Wayne.
Les Inrockuptibles
Kevin Costner réalise un western bourré de références à ceux du passé, un film néoclassique jusqu'à l'académisme, beaucoup moins excitant que le Blueberry de Jan Kounen.
Libération
Un western digne qui, comme la plupart de ses modèles déposés, a la bonne idée d'aborder la question sous un angle crépusculaire.