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Attigus R. Rosh
197 abonnés
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1,0
Publiée le 9 février 2020
Johnny English ne m'a malheureusement pas du tout touché. N'étant de base pas du tout fan de l'humour Mister Bean (ça me fait plus lever les yeux qu'autre chose), ce film ne m'a pas réconcilié avec ce dernier. Mais j'imagine que le film, comme l'humour de l'acteur principal, doit être particulièrement clivant et soit on aime, soit on déteste. Pour ma part, j'ai trouvé que les gags faisaient plus lourdingues qu'autre chose. La parodie du film d'espionnage James Bondien est finalement très classique et assez prévisible. À peu de gags près, rien n'a marché sur moi. L'histoire n'est pas vraiment mieux, elle fait vraiment souffler. La faute n'est pas aux acteurs ni même en particulier à Rowan Atkinson, qui incarne ici le genre de personnage avec lequel il est le plus à l'aise. Natalie Umbriglia est plutôt bien elle aussi. Par contre, John Malkovitch m'a pas mal déçu. Sans être absolument mauvais, j'ai eu l'impression qu'il était moins investi et qu'il surjouait (mais peut-être est-ce plus le rôle qui m'a déplu qu'autre chose). Ce n'est clairement pas sa meilleur prestation. A voir si vous êtes fan de Rowan Atkinson, à fuir si c'est l'inverse.
Une parodie sans prétention. Le scénario ne tient pas du chef d’œuvre et l'humour n'est pas des plus modernes ni des plus recherchés mais les situations les plus absurdes nous emportent parfois. Quoique échouant à se renouveler ce Rowan Atkinson est un bon cru emmené avec suffisamment de bonne humeur et de rythme pour nous faire passer 1H30 agréable. Sympathique.
Dans mes souvenirs liés à l'enfance, Johnny English me paraissait plus satisfaisant. Finalement, avec l'âge, la déception se fait immense. Pourtant, je reste encore un éternel fan de Rowan Atkinson qui propose, certes, toujours un registre identique à son personnage mythique de Mr Bean mais qui semble vraiment s'éclater. Sa joie, son énergie et son honnêteté (en comparaison avec certains acteurs français dont je ne cite ici pas le nom mais qui jouent dans des comédies de boulevard uniquement pour le fric) séduit le spectateur dans une comédie potache autour de l'univers des James Bond et plus largement de l'espionnage. Alors, oui, certains gags sont éculés, on ne rigole rarement à défaut de sourire et certains passages s'inscrivent pleinement dans ce qu'on nomme "le malaise" (par exemple, la discussion très crue entre le personnage de Rowan Atkinson et la chanteuse Natalie Imbruglia lors d'un séjour en France). Côté casting, du très classique même si la présence de Malkovich est plaisante. En 2018, nous reverrons dans un troisième le personnage de Ben Miller qui manque cruellement au second volet et qui se voit totalement éclipsé à la fin du second acte. Quel dommage ! Du côté de la technique, cela reste honnête. Ce n'est pas folichon. On ne vient pas regarder English pour s'extasier devant la photographie ou des plans de caméra imaginatifs. Néanmoins, l'acolyte de Rowan Atkinson, Peter Howitt réalise parfaitement le job même si j trouve que le film a particulièrement mal vieilli. Déjà à l'époque, en 2003 (ça nous rajeunit pas ! 15 ans !), le film s'inscrivait dans la lignée des Bean (années 90). Un héritage qui semble lucratif et qui perdure avec un nouveau volet prochainement. D'ailleurs, à un horizon proche, je compte me faire la suite de Johnny English qui m'avait plus conquis lors de mon premier visionnage. Nous verrons bien !
Rowan Atkinson dans une parodie de James Bond ?! Oui mais non, car en fait ce personnage est un héros de publicités (pour cartes bancaires Barclay) créé par l'acteur pour des spots diffusés entre 1992 et 1997. Evidemment le rapprochement avec 007 n'en demeure pas moins flagrant, en témoigne les scénaristes engagés, Neal Purvis et Robert Wade, co-scénaristes des deux opus "Le monde ne suffit pas" et "Meurs un autre jour". Le scénario est d 'ailleurs clairement semblable aux trames habituels des Bond. Donc oui Johnny English est le mixte quasi parfait entre "Mr Bean" et James Bond au détail près qu'il est peu moins con que Bean et qu'il se rapproche un peu plus d'un Pierre Richard. Côté casting on note évidemment la présence de la chanteuse australienne Nathalie Imbruglia ("Torn") et surtout un John Malkovitch survitaminé et explosif mais aussi hyper cabotineur et peu subtil (manque de direction d'acteur ?!). Le véritable problème réside en son paramètre premier, soit le rire. En effet l'humour est souvent peu convaincant, repose surtout sur les nuances (subtiles) de jeu de Rowan Atkinson plutôt que sur l'effet bulldozer du méchant français (Malkovitch). L'humour tourne vite en rond, associé à un manque de rythme on frôle souvent l'ennui. On se dit qu'on préfèrerait revoir un bon "Austin Powers" malgré toute l'empathie qu'on peut avoir au préalable.
Une comédie pour ma part très efficace qui m'a toujours ravie depuis ma jeunesse, car Johnny English est aussi dynamique que drôle ! Tout ici fleure bon l'humour anglais, est surtout la culture anglaise ! Une mention toute particulière à la chanson originale du film, chantée par Robbie Williams, qui est délicieusement comique dans ses paroles : "il laisse les méchants s'en tirer mais frappe les jeunes filles, tellement charismatique sans son automatique... " La pléiade de scènes hilarantes nous reste en mémoire : la course-poursuite en dépanneuse, "Boff, allez chercher la Bla... La Blota...", ou encore le final avec "Does your mother knows" de ABBA, l'apogée du burlesque qui m'aura faite exploser d'un rire franc ! Seule précaution pour apprécier le film pour les "chauvins" : il vaudra mieux regarder le film en version française, car en VO le personnage de Pascal Sauvage est un léger french bashing (dénigrement des français), assez gentil quand on voit certaines productions modernes... Mais l'accent caricatural que Malkovich se force à prendre, les blagues de mauvais "voisinage" entre les deux nations, parfois cela fait un peu exagéré. Ces éléments sont d'ailleurs effacés ou adoucis en VF, donc conviendra davantage au public français. Surtout que de nouveaux gags ont été ajoutés par les doubleurs ! (Johnny English qui hurle "Serial Killer !" à un chauffard, cela n'y est pas en VO !) Merci à l'humour des doubleurs ! Un Rowan Atkinson toujours délicieux, du burlesque et un peps indéniable !
Une comédie tout simplement réussie. On rigole du début à la fin. Rowan Atkinson est génialissime dans le rôle de cet espion maladroit et attachant sans oublier John Malkovich, trés dôle lui aussi en méchant. Cette parodie de films d'espionnage vaut vraiment le détour. Ceux qui aiment Mr Bean et son humour aimeront Johnny English.
Je suis pro Bean, tout comme je suis pro Benny Hill.
Le film est un ratage total, sans saveur, ni odeur, convenu, dont on connait et les tenants et les aboutissants.
De plus, mais MON DIEU pourquoi ont ils changé la doublure par rapport au trailer ???
La voix francaise dénature toute la subtilité de English (qui devient d'ailleurs dans le film ANglish et pas HAINEglish).
Nathalie est belle, mais insipide.
Musicalement, la seule note positive sont les 2 excellents morceaux de Robbie Williams qui ouvrent et ferment ce film qui a bien du mal à trouver ses marques.
2 sourires ont reussi a s'introduire dans ma monotonie.
Allez, il ne reste plus qu'à esperer que l'été ne sera pas qu'une succession de déception ...
Nul !! Déjà le scénario est complètement débile mais en plus on en a marre de la tête de Rowan Atkinson, de ses mimiques et de ses bourdes. On se demande ce que John Malkovitch fait dans ce navet, il n'a jamais été plus mauvais essayant tant bien que mal d'avoir l'accent anglais d'un français et de parler français comme un français, c'est navrant. A oublier illico.
Même si on sort de la salle avec un sentiment de "peut mieux faire", on ne saurait oublier tous ces fous-rires qui émaillent la vision de ce film. Rowan Atkinson est excellent, même si la résurgence de grimaces très beanesques nous laisse sur notre faim. Malkovich est un grand acteur, il s'éclate dans ce rôle et nous transmet son plaisir. Son personnage de français ultra-caricatural nous titille avant de nous entraîner dans ses outrages. Johnny English est donc un excellent film, drôle et divertissant, mais qui n'atteint pas les sommets auxquels il était en droit de prétendre.
Pas inoubliable ce film ou "mister Bean" enchaine les gags plus ou moins droles ,surtout moins d'ailleurs mais on sourit parfois alors restons indulgents ...
C’est bête, facile, mais qu’est-ce qu’on rigole ! Je trouve les moyennes étonnamment basses. Rowan Atkinson, d’habitude horripilant, est ici parfait. Plus le film avance, plus on rigole, jusqu’à la scène de couronnement, au sommet du n’importe quoi. J’aime ce film, je le conseille vivement.
Ce film est un pur régal. J’ai ri à m’en étouffer devant cette comédie. Déjà je suis un grand fan de Rowan Atkinson. J’ai passé des heures hilares devant MR. BEAN, et ici son humour est intact. Je dois bien avouer que cela fait bizarre au départ de le voir parler, mais on si habitude facilement après deux ou trois fous rires. Donc oui ce n’est pas un humour intellectuel, mais de situation où on se bidonne de la stupidité et la maladresse de cet agent secret. Rowan Atkinson est dans son élément et ça se sent. L’apport de son acolyte Ben Miller pour faire l’équilibre est intéressant. Et chapeau à John Malkovich dont la prestation pleine de classe m’aura ravi. On a affaire à une belle parodie de films d’espionnage. On reprend les codes et on les déforme de manière désopilante. Pour ma part, j’ai trouvé ça efficace. J’ai bien aimé l’inspiration prononcer de la saga Y A-T-IL UN FLIC. Plusieurs scènes se ressemblent fortement et l’humour est semblable. À défaut d’avoir le permis de tuer, JOHNNY ENGLISH a obtenu le permis de nous faire marrer
Rowan Atkinson n'est visiblement pas, cela se confirme encore, un acteur de long métrage, et encore moins un acteur de parlant. Le film tourne quasi exclusivement autour de son personnage, c'est bien simple, on voit Mr Bean, et le film, c'est du Mr Bean. Certains gags sont drôles mais pour la pluspart, c'est du vu et revu. D'autant que l'exercice de la parodie de film d'espionnages, on l'a vu et revu, du coup on a les éléments pour comparer. Et par exemple, Johnny English ne vaudra pas un Austin Powers. C'est sympa mais on tourne vite en rond donc bilan pas terrible. Et un mauvais point accordé à John Malkovich, qui est un guignol dans ce film.