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    Lancelot Du Lac
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    2,3
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    24 critiques spectateurs

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    aaber
    aaber

    17 abonnés 372 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mars 2007
    A mille lieues des couleurs chatoyantes des "Chevaliers de la table ronde" de Thorpe, plus proche du carton pâte de "Perceval le Gallois" de Rohmer, le "Lancelot du lac" de Bresson est une belle fresque automnale, faite de châteaux forts en ruine et de couleurs froides, de héros aux armures anachroniques et de chevaux filmés au garrot, mais en partant des sabots, de batailles terminées et d'un nom prononcé, dans un dernier souffle, "Guenièvre" ! Quant au "Monty Python Sacré Graal", datant de la même année, 1974, rien à voir avec la choucroute, Joyce ! Mais, dans les deux cas, il y a des décapités !
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    82 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 septembre 2018
    Dès l’entame du film, Robert Bresson fait usage de trucages de mauvaise qualité sur les scènes introductives de duels armés. La narration prend ensuite rapidement le dessus sur l’action mais reste circonscrite à un court épisode de la conquête du Graal. Lancelot du Lac n’a pas la vocation d’une fresque historique tant sur la forme que sur le fond.
    Bresson centre son récit sur Lancelot du Lac incarné par Luc Simon - ce qui vient justifier le titre du film - et sur la reine Guenièvre interprétée par Laura Duke Condominas. L’interprétation des comédiens et quelques scènes répétitives ont raison d’une intrigue peu captivante.
    Pascal
    Pascal

    126 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2022
    Adaptation d'un moment de la légende arthurienne, celle du retour de Lancelot du lac, le meilleur des chevaliers de la table ronde, sans le graal. Cet échec, Lancelot le sait, vient de sa relation adultère avec Guenièvre la reine, femme d'Arthur. Pour éviter tout malentendu, soulignons que nous sommes chez Bresson et que le film ne s'adresse en rien au grand public. L'oeuvre de Chrétien de Troyes n'est pas ici le prétexte à des aventures à grand spectacle, mais à se resserrer sur le sens de ce moment de la légende Arthurienne. Mon hypothèse est que Bresson se propose ici d'illustrer " le désenchantement du monde". Lancelot revient les mains vide, il n'est pas un chevalier honorable et fidèle, sa relation adultère conduira à la guerre et au massacre entre les chevaliers. Réalisé avec peu de moyens, on retrouve ici la manière de faire et le style fameux du metteur en scène. Austère ( surtout dans sa seconde partie), pratiquant l'ellipse, le film appartient à la dernière période de Bresson. Voisin dans l'esprit, de "Perceval le Gallois" de Rohmer, " lancelot du lac" est un film exigeant qui s'adresse au cinéphile qui apprécie le cinéma d'auteur. Il n'est toutefois, certainement pas la porte d'entrée adéquate pour le néophyte qui souhaiterai explorer la filmographie de cet auteur. On notera la présence de Humbert Balsan, futur fameux producteur de cinéma, qui se donnera la mort plusieurs décennies plus tard, tout juste quinquagénaire.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    234 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juin 2013
    Robert Bresson adaptant les romans de chevalerie de Chrétien de Troyes, ce pourrait être une blague, mais non. Il l'a fait. À sa manière. Autant dire que l'on est à mille lieues des flamboyants Chevaliers de la Table ronde de Richard Thorpe, ou encore d'Excalibur, de John Boorman. On ne pouvait rêver adaptation plus triste. Voix blanche des acteurs, jeu désincarné, décors de misère, austérité narrative... Un film sans passion, sans vie. D'une grande rigueur, certes, mais formidablement ennuyeux. À bas la dimension romanesque et spectaculaire, vive le jansénisme !
    Prix de la critique internationale au festival de Cannes 1974.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 mars 2007
    Euh... Ce film est une VERITABLE catastrophe!! Je ne comprends pas qu'il puisse resortir! Il devrait être oublié depuis longtemps! Je l'ai vu l'autre jour au Champo, dès la première minute, j'ai su qu'il serait vraiment insipide. Je n'ai jamais vu des acteurs aussi mauvais, des décors aussi pauvres, des prises de vues aussi pourries... Seuls les dialogues sont bien, mais dits sans conviction et tête baissée...

    Voilà, j'ai pris la peine d'écrire une critique, car vraiment, rétablir la vérité me tenait à coeur!
    globi C.
    globi C.

    8 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mai 2016
    Scandaleux une comédie pillée par les monty python! Ah ce n'est pas une comédie !!? On voit bien la limite de l'utilisation de comédiens amateurs et malheureusement pour le réalisateur ce défaut va s'amplifier dans la suite de sa filmographie. Le montage n'est pas non plus très judicieux quelques scènes limites les dégats et laissent entrevoir ce qu'aurait pu être le film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 juillet 2007
    j'avoue que j'ai pas vu le film en entier parceque c'est assez mou, assez mal filmé mais surtout un jeu d'acteur qui meriterait un oscar pour leur nullité... depuis the hillside strangler je ne pensais pas un retrouver des aussi nuls, a se demander si c'est pas une parodie. Donc au debut j'etais morte de rire, mais au bout d'une demi heure... stop.
    laurent bourrion
    laurent bourrion

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 avril 2020
    Jamais je me suis aussi chier dans un film, impossible de tenir jusqu'à la fin, jeu d'acteur médiocre, décor, son, costume nul !
    Une purge ! Éventuellement pour un cadeau à quelqu'un que vous détestez ....
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 30 avril 2012
    Cinéaste mallarméen adepte de la pellicule blanche, Bresson aura eu le mérite, avec Godard, de ne pas réussir à tuer le cinéma comme son maître spirituel avait tué la poésie - c'est dans doute un des avantages du cinéma - comme du roman - que d'avoir besoin d'un public nombreux et ayant toute sa tête, afin de ne pas succomber sous les traits des nihilistes modernistes qui ont fini par bousiller tant d'arts (architecture, arts plastiques, poésie, musique...).

    Certes tout n'est pas dénué d'intérêt dans ce film glaçant si l'on ferme les yeux sur certaines situations véritablement grotesques comme ces hennissements de chevaux pré-enregistrés. Il n'était pas ainsi vain de dépouiller la narration car après tout les romans de Chrétiens de Troyes sont eux aussi quelque peu dépouillées : mais ici on dépouille tant qu'à la fin il ne reste vraiment plus grand chose. Car enfin, Chrétien de Troyes ne s'intéressait pas tant que ça aux pattes des chevaux pour meubler le vide et décrivait les combats sans hésiter à recourir aux clichés : ce que refuse avec bêtise anti-spectaculaire le cinéaste. Eh oui... Hollywood est tout de même plus fidèle que Bresson à l'esprit de ces romans. Car malgré tout, chez Bresson, c'est bel et bien le contresens qui l'emporte... et l'attrape-gogo à snobinards distributeurs de subventions.
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