Un bon western, avec des gentils, des méchants mais pas d'indiens et surtout pas de ces magnifiques paysages américains mis en lumière par le genremais il y a John Wayne en cow boy Nousours actif. On paase un bon moment malgré quelques lcunes du scénario et des bagarres pas trop bien simulées...Au final, on a l'impression d'avoir passé un bon moment
C'est un western avec tous les stéréotypes du genre ; mais avec un scénario simpliste, sans subtilité narrative, un décor qui sent le carton pâte et des scènes peu crédible. Cela dit, les personnages principaux ont des rôles plaisants. Bref, un western décontracte, pour occuper le temps ... Ma foi, pourquoi pas.
Un film étonnant qui commence comme un film d’attaque et qui se poursuit comme un film de Benny Hill..... Humour bas de gamme et personnages ridicules. On a de l’aventure et des paysages mais c’est parfois assez navrant. Ça manque de consistance....
Scénario bâclé, mauvais acteurs, dialogues et humour sénile : on est bien loin de Rio Bravo...Il reste le vieux John Wayne et sa moumoute pour rester regarder...
Sans égaler Rio Bravo, le film est plaisant et le début de scénario original. Comme toujours c'est bien réalisé, John est charismatique et les femmes, pour l'époque, sont fortes. Evidemment il y a des passages qui copient vraiment ses grands succès précédents mais c'est un bon film à voir.
Le dernier film du réalisateur sonne aussi le cinquième rendez-vous avec son acteur.Je ne contredirais personne et rejoins les nombreuses critiques sur ce western encore classique aux accents vintage. Une valeur sûre oui mais voilà, le Duke semble fatigué de monter à cheval et la maladie est déjà installée. Malgré une scène d'ouverture presque anthologique, l'action retombe rapidement et les dialogues entre les différents acteurs restent d'une certaine monotonie. Quelques traits d'humour ponctuent tout de même l'ensemble ainsi que les seconds rôles comme J.Elam qui apporte sa touche désinvolte. Le final est vite expédié dans un gunfight général comme une copie de son spoiler: Rio Bravo mais sans les applaudissements de conséquence. Un Western correct mais sans panache sur la fin.
Alors qu'il est chargé de réceptionner un fonds important via un train, le colonel nordiste Cord McNally ne verra jamais cet argent qui a été intercepté par une troupe de Sudistes durant le trajet. Une fois la guerre fini, il va se mettre à chercher les traîtres qui ont vendu les informations...
C'est en 1970 que sort "Rio Lobo", dernier film d'Howard Hawks et ultime volet de sa trilogie commencée avec "Rio Bravo" et continuée avec "El Dorado", qui décédera sept ans plus tard. Hawks s'attarde d'abord sur le vol de l'argent puis le rapport entre John Wayne et la façon dont il veut retrouver les traîtres. À ce titre-là, la première partie est vraiment une réussite, où Hawks rend ses personnages intéressants, dominé par la présence d'un John Wayne vieillissant mais jouant bien avec ce côté-là. C'est plutôt calme, Hawks prend son temps de bien dépeindre ce personnage et les enjeux et c'est alors vraiment plaisant à suivre.
Néanmoins, plus on avance dans le récit, moins ça va, notamment à partir du moment où ils arrivent dans la dernière ville. L'ensemble manque alors de tensions et d'intérêt, tombant dans un scénario un peu trop répétitif qui peine à vraiment explorer les relations entre les personnages et les rancœurs des uns et des autres. Si l'humour est parfois réussi (notamment lorsqu'on dit à John Wayne qu'il est un bien mauvais acteur !), il est par moments trop insignifiant et n'apportant pas grand-chose au récit.
Mais dans cette Amérique où la marquante guerre de sécession aura déboussolé quelques âmes, les femmes ont un rôle important et ça Hawks l'exploite bien, comme il l'a déjà fait dans plusieurs de ses précédents films où le rapport homme-femme est traité avec subtilité et intelligence. Loin de se laisser faire par des hommes parfois odieux, elles apportant leur contribution au récit et notamment celle incarnée par la belle Jennifer O'Neil, à qui Hawks arrive à donner de la consistance et de l'intérêt, tout comme pour Jack Elam.
Chant du cygne pour l'immense Howard Hawks qui clôt en 1970 une carrière de metteur en scène commencée en 1926 où il aura brassé multiples genres avec brio, génie et intelligence et poser son emprunte dans l'histoire du cinéma.
La dernière œuvre d'une série de plus de 150 films laissera Hawks sur une mauvaise note. Il dira lui même quelques temps après sa sortie "ce film ne vaut rien!". Des complications de tournages en particulier d'un point de vue du jeu d'acteur, une période du cinéma en plein renouveau. Ce Western classique ne se différencie en rien de tous les précédents. Mise à part l'attaque de la locomotive magistralement effectuée. Hawks peinera cruellement d'originalité du haut des ses 70ans passés. Un film conventionné, calibré, sans aucune magie qui opère. Sans rancune, une retraite bien méritée.
Il ne faut pas se voiler la face: "Rio lobo" n'est pas un bon western - à part la première partie - surtout pour un faiseur comme Howard Hawks ou un acteur comme John Wayne. En même temps, son image iconique de dernier film de l'un des plus grands réalisateurs de tous les temps associée à la fin d'une époque dans ce genre de cinéma hollywoodien, en fait un film à regarder de manière nostalgique genre: "c'était le bon temps"...
Superbe, l’ouverture de ce film doit absolument être vue, c’est une des plus belles qui soient .Tout est parfait, c’est du Hawks à son meilleur niveau, cette séquence fait partie intégrante de l’histoire du western. Une fois la paix signée entre les deux camps, l’attention baissera un peu car le réalisateur retombera dans sa manie de vouloir absolument y introduire de l’humour. Il n’avait pourtant rien à prouver tant il excelle dans la comédie. La deuxième partie est donc un peu trop bavarde et décontractée, elle est bien tenue cependant par ses acteurs dont les démarches singulières sont étudiées pas par pas, John Wayne traité ici de confortable, est conforme à ce qu’il sait faire quand il ne tourne pas pour Ford, Jack Elam est à la hauteur de Arthur Hunnicutt ou de Walter Brenan et le second fils de Mitchum se remarque,Mike Henry faisant un excellent méchant. Cette deuxième partie est surtout originale par la présence de 3 femmes dont la splendide Amélita interprétée par une femme exceptionnelle: Sherry Lansing qui, partie de peu, fit une carrière hors du commun à la tête de la Paramount , elle est devenu une des femmes dont les états unis peuvent, légitimement cette fois, être fiers. La mise en scène est superbe, Hawks, certes plus à l’aise dans les scènes nocturnes ou intérieurs, nous montre aussi ce qu’il sait faire dehors sous le soleil: c’est un western lumineux dont on garde les couleurs en mémoire. Tout ce qui est montré est constamment du beau cinéma.
Rio Lobo démarre avec une attaque de train enlevée,une fois passée le rythme ce dissous pour tomber mollement dans le western classique. Rio Lobol semble tout de même désuet par rapport aux films de Leone et Peckinpah qui ont redéfinit le code du western. Il reste le coté humoristique de Hawks c'est ce qui emporte le tout,car le schémas du film reste tout de même trop plan plan pour être génial,comme l'est Rio Bravo. Le film reste plaisant à suivre mais il n'est pas au niveau des meilleurs productions de Hawks.
Le dernier film d'un des plus grands réalisateus américains de tous les temps, qui, à l'exception du fantastique, a été absolument brillant dans tous les genres... Que dire de ce dernier Howard Hawks ??? Ben qu'à la vue de la première demi-heure avec une attaque de train par des sudistes fauchés mais rusés avant la réponse des nordistes loin d'être bêtes aussi mais surtout plus forts en nombre, le père Hawks avait encore de beaux restes. Avec tout ça, on retrouve le style du réalisateur avec des hommes qui ont du mal à cacher une part de féminité et des femmes qui ne cherchent même pas à cacher leur part de masculinité, John Wayne même avec un peu de bide est toujours un bulldozer de charisme à côté duquel seuls la très belle Jennifer O'Neill et Jack Elam parviennent à se faire remarquer. Le scénario n'est hélas pas à la hauteur d'un début très réussi et d'un acteur principal formidable, le réalisateur se contentant de reprendre dans le reste du film des vieux trucs déjà utilisés dans "Rio Bravo" et dans "El Dorado", de donner à Jack Elam un personnage qui ressemble trop à celui savoureux de Walter Brennan dans le même "Rio Bravo" pour qu'on ne le remarque pas. Ce qui fait que le dernier film de l'immense réalisateur qu'était Howard Hawks est en demi-teinte, mais "Rio lobo" reste agréable à regarder tout de même.
"Rio Lobo" constitue sans nul doute une valeur sûre du western américain. Guerre de sécession, sheriff corrompu, propriétaire terrain véreux, femmes fortes, scènes de fusillade… Howard Hawks a tout réuni pour nous livrer ce grand film, admirablement bien servi par un John Wayne toujours au top quand il s’agit de jouer les cow-boys. Seul bémol : le film ne fait pas dans l’originalité et de nombreux éléments de "Rio Lobo" semblent directement repris de "Rio Bravo" sortit 10 ans plus tôt…