Note moyenne
2,8
12 titres de presse
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Aden
Efficacité garantie : on rit souvent. Et même parfois à branchies déployées, à condition d'accepter le principe d'une production qui se préoccupe plus de plaire - et qui y parvient brillamment - que de créer un univers.
L'Humanité
C'est une vision très " dessalée " de l'univers sous-marin, ambiance urbaine et hip-hop, rappeurs contre gangsters, où l'on pousse l'anthropomorphisme jusqu'à donner aux poissons les têtes des acteurs qui leur prêtent leurs voix (en VO évidemment). Bref, ça frétille à donf' !
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Gang de requins ne se distingue que très discrètement du tout-venant de la production hollywoodienne destinée aux familles.
MCinéma.com
Bien sûr, la recette Dreamworks (...) fonctionne et réserve quelques séquences rigolotes (...). Malgré tout, Gang de requins n'a ni le rythme, ni le relief, ni la force comique du Monde de Nemo. Techniquement aussi, le film est un ton en dessous (...). Et puis la pénible bande son R'n'B et l'univers " branchouille " très toc finissent de nous agacer.
Première
Cette nouvelle production 3D-Dreamworks ne brille pas par son originalité. Simple loupé ou premiers signes d'essoufflement d'un secteur jusque-là hyper créatif ?
Score
Surfant sur la mode urbaine et le langage de "nejeu", Gang semble parfois trop opportuniste. Evidemment, le savoir-faire est quand même là et certains passages sont hyper euphorisants. Du côté de l'animation, c'est nettement moins beau que Nemo. Au final on retiendra de ce film un départ en trombe, et une fin en queue de poisson.
Télérama
Le héros (...) est un petit poisson aux couleurs criardes, (mal) relooké à la mode rappeur et entouré de " bimbos " aux branchies trop maquillées. Plutôt moche, ce menu fretin est heureusement confronté aux Dents de la mer version comique, la famiglia des requins. Eux seuls font le sel (marin) de ce nouveau Dreamworks, où la parodie (...) lorgne vers les adultes (...).
Cahiers du Cinéma
Fade parodie du Parrain, (...) Gang de requins confirme, après les deux Shrek, le retard pris par Dreamworks dans la course à la synthèse. (...) Derrière l'irrévérence de façade d'un tel programme, labeur et cynisme liquident toute trace de fantaisie.
Chronic'art.com
Une intrigue rachitique, traitement inexistant de l'élément aquatique (...), personnages insipides et creux. (...) Entre imposture du rêve et neutralité desséchée du quotidien, pas de place pour une quelconque réalité de l'enchantement : le rêve est complètement absent de Gang de requins, atroce contrefaçon des terrains de jeu aux profondeurs infinies de chez Pixar.
TéléCinéObs
Un film logiquement catastrophique, sans doute ce qu'on a vu de moins drôle et de plus moche dans le genre images de synthèse.
aVoir-aLire.com
Gang de requins n'est ni inspiré, ni imaginatif et ne possède finalement aucune âme... Une mauvaise histoire recouverte par un habillage attractif reste une mauvaise histoire et donnera toujours un mauvais film.