Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Du cinéma à grosses ficelles pour consommation de masse. Rien à redire, sinon que (...) c'est Philip Kaufman qui a dû se charger du boulot. Quand on se rappelle qu'il fut l'auteur de L'étoffe des héros et de L'insoutenable légèreté de l'être...
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Petit auteur discret mais toujours vert, Philip Kaufman passe à la case dollar. Produit standard à la Seven, Instincts meurtriers confirme le retour en douceur du cinéaste, valeur montante il y a vingt ans.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
par Philippe Garnier
Instincts meurtriers semble en avoir suscité d'autres chez les critiques américains, à en juger par la férocité avec laquelle ils s'en sont pris à Philipp Kaufman pour ce film de commande, certes pas bien reluisant, mais pas pire que les daubes serial-killer-thrillers qui tombent tous les mois des studios comme des factures.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un polar plutôt classique de Philip Kaufman, dopé par l'ambiguïté de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Benoit Cousin
Sans une once d'originalité, fait et refait mille fois, bourré de clichés et de personnages caricaturaux et grossiers, joué par de solides acteurs de middle list courant ouvertement le cacheton pour arrondir leur fin de mois, ce produit standardisé à l'extrême n'aurait jamais dû voir le jour sur un écran de cinéma, et à peine dans un vidéo club ou sur une chaîne câblée spécialisée dans la série B.
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
par Julien Welter
Cadrage plat, photographie peu inspirée, la chair est sans vie et les étreintes sauvages semblent incroyablement désuètes. Ultime camouflet au réalisateur vieillissant, la psychologie sommaire du personnage principal et celle, improbable, du meurtrier, donnent au film l'allure d'un Basic Instinct de vidéo-club.
L'Obs
par Bernard Achour
Comme la solution nous fait de grands signes de la main au bout de vingt minutes, il reste une bonne heure pour regretter le temps où Philip Kaufman signait "L'étoffe des héros".
Le Monde
par Florence Colombani
Le film tente de compenser sa cruelle absence d'originalité narrative par un message imbécile, qui affirme la primauté des liens du sang sur toute autre forme de filiation. Il flotte dans ce thriller sans suspense un parfum tenace de puritanisme.
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) Malgré un démarrage haletant, la suite ne tient guère ses promesses.
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Les grosses ficelles du film policier sont employées sans vergogne.
MCinéma.com
par Aurélien Allin
Le film de tueur en série est une pente glissante, tant certains bijoux du genre ont posé des bases difficilement oubliables. INSTINCTS MEURTRIERS n'est malheureusement pas à la hauteur et dès le début. (...) Si bien que, si l'on connaît les ficelles éculées du genre, c'est un jeu d'enfant de deviner la fin. Impossible alors de rentrer dans une histoire aussi plate, qui n'a même pas l'avantage d'être divertissante.
Première
par Christian Jauberty
La machine à thriller, qui a si bien servi la Paramount depuis une dizaine d'années, tourne à vide avec ce film bien crade.
Aden
Du cinéma à grosses ficelles pour consommation de masse. Rien à redire, sinon que (...) c'est Philip Kaufman qui a dû se charger du boulot. Quand on se rappelle qu'il fut l'auteur de L'étoffe des héros et de L'insoutenable légèreté de l'être...
Chronic'art.com
Petit auteur discret mais toujours vert, Philip Kaufman passe à la case dollar. Produit standard à la Seven, Instincts meurtriers confirme le retour en douceur du cinéaste, valeur montante il y a vingt ans.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Instincts meurtriers semble en avoir suscité d'autres chez les critiques américains, à en juger par la férocité avec laquelle ils s'en sont pris à Philipp Kaufman pour ce film de commande, certes pas bien reluisant, mais pas pire que les daubes serial-killer-thrillers qui tombent tous les mois des studios comme des factures.
Télérama
Un polar plutôt classique de Philip Kaufman, dopé par l'ambiguïté de son héroïne.
Brazil
Sans une once d'originalité, fait et refait mille fois, bourré de clichés et de personnages caricaturaux et grossiers, joué par de solides acteurs de middle list courant ouvertement le cacheton pour arrondir leur fin de mois, ce produit standardisé à l'extrême n'aurait jamais dû voir le jour sur un écran de cinéma, et à peine dans un vidéo club ou sur une chaîne câblée spécialisée dans la série B.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cinéastes
Cadrage plat, photographie peu inspirée, la chair est sans vie et les étreintes sauvages semblent incroyablement désuètes. Ultime camouflet au réalisateur vieillissant, la psychologie sommaire du personnage principal et celle, improbable, du meurtrier, donnent au film l'allure d'un Basic Instinct de vidéo-club.
L'Obs
Comme la solution nous fait de grands signes de la main au bout de vingt minutes, il reste une bonne heure pour regretter le temps où Philip Kaufman signait "L'étoffe des héros".
Le Monde
Le film tente de compenser sa cruelle absence d'originalité narrative par un message imbécile, qui affirme la primauté des liens du sang sur toute autre forme de filiation. Il flotte dans ce thriller sans suspense un parfum tenace de puritanisme.
Le Parisien
(...) Malgré un démarrage haletant, la suite ne tient guère ses promesses.
Les Inrockuptibles
Les grosses ficelles du film policier sont employées sans vergogne.
MCinéma.com
Le film de tueur en série est une pente glissante, tant certains bijoux du genre ont posé des bases difficilement oubliables. INSTINCTS MEURTRIERS n'est malheureusement pas à la hauteur et dès le début. (...) Si bien que, si l'on connaît les ficelles éculées du genre, c'est un jeu d'enfant de deviner la fin. Impossible alors de rentrer dans une histoire aussi plate, qui n'a même pas l'avantage d'être divertissante.
Première
La machine à thriller, qui a si bien servi la Paramount depuis une dizaine d'années, tourne à vide avec ce film bien crade.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com