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Un visiteur
2,0
Publiée le 23 octobre 2010
Le film qui m'a traumatisé... je suis peut-être trop sensible, mais il y a une ambiance glauque, malsaine et irréelle aussi, (dans le village) j'ai failli hurler dans le cinéma. Pauvres Zanimos... :) à l'époque, j'ai du me faire une deuxième séance car j'étais trop déprimée. (T_T)
Nul, inintéressant, soporifique. Ce que le cinéma a pu produire de plus mauvais dans son histoire est réunit dans ce film: de mauvais acteurs, une réalisation de cour d'école et un scénario qui n'a rien à envier à celui que pourrait écrire un pédophile ivre et sociopathe sous héroine. A ne surtout pas voir même si l'on vous menace d'une arme (préférez la mort c'est un conseil). En bref, un calvaire!!!
Un film réussi est pour moi un film qui fait réagir. Un film qui fait "ressentir", un film où on ne peut pas rester indifférent. Et bien ici, c'est le cas. Calvaire est vraiment un film incroyable, mais incroyable tant sa puissance à nous faire ressentir des sentiments d'amertume, de mépris, de répugnance voire d'effroi est forte. Parce que ce film choque, des scènes obscènes et des idées perverses y sont exposées. Je crois que c'est LE film qui m'a le plus marqué. Irréversible à côté, c'est de la rigolade. Je suis sortie de la salle avec une impression vraiment étrange. A la fois dépitée, voire dégoûtée par l'histoire; et à la fois éblouie par cette surprenante intensité émotive et cette réalisation qui nous met mal à l'aise et qui nous angoisse. C'est pour cela que je comprends tout à fait les personnes qui n'ont pas aimé ce film, elles ont retenu uniquement les scènes chocs, et les ressentis néfastes qu'il dégage. Pourtant ce film est un chef-d'oeuvre. Il est à voir, mais les chochottes, s'abstenir.
un survival Franco-belge sans véritable saveur, malgré une distribution de qualité et une image soignée. Ce qui m'a tout d'abord dérangé, c'est que j'ai trouvé Laurent Lucas, la victime, plus inquiétant que Jacky Berroyer, son bourreau (mais ça, c'est personnel, j'avais en tête l'étrange "qui a tué bambi ?" et pour tout dire je trouve Berroyer un peu en dessous de ce qu'exige un rôle comme le sien). Le ton décalé prête à rire et on rit, je pense, avec le réalisateur, mais lorsque le film bascule, on n'accroche pas, trop soucieux de savoir où ce dernier souhaite nous emmener... au final, pas bien loin, selon moi. Tobbe Hooper et son leatherface sont passés par là, il y a de cela 40 ans. Rien de nouveau sous les étoiles... et dans les forêts obscures !
Une descente aux enfers magistrale! Des acteurs parfaits, des rebondissements à foison, je n'ai pas vu l'heure et demie passer. Un chef d'oeuvre de l'horreur!
On salue l'initiative, car c'est un film belge. D'ordinaire, les productions belges s'en tirent pas trop mal, du moins mieux que les françaises (avis personnel), avec quelques fois d'heureuses surprises (La merditude des choses...). Calvaire, on me l'avait conseillé sinon je ne l'aurais certainement jamais regardé. On a déja vu beaucoup trop de film d'horreur, on pourrait croire que pour un film belge (donc sélectionné au vu du peu de production belges qui voient le jour), on aurait tenter de se renouveller. Mais non... Un étrange air de déja vu... Le scénario est beaucoup trop conventionnel et quand le "gros" du scénar' arrive, on essaye même pas d'être surpris (Bien dosé par contre puisque ça arrive pile à la moitié du métrage). Sérieusement, on y croit même pas, genre "oh Bartel est fou", génial... Ca aurait mérité plus de profondeur. En plus le maquillage est assé raté et les péripéties ne sont même pas passionantes. SPOIL On y croit un peu quand Marc parvient à s'échapper, mais non, le scénario a préféré les classiques et la recapture. FIN DE SPOIL. Une étoile pour la scène du bar, qui elle, est par contre très réussie. De manière générale, avec les villageois, on verse un peu dans Détour Mortel et ça n'a aucun réalisme (la Belgique c'est pas la brousse hein les gars, faut pas croire ça...), mais cette scène là est particulièrement jouissive. Une seconde étoile par-ce que c'est une initiative belge et que les paysages nous changes un peu, et la troisième parce que on ne s'ennyue pas trop tout de même. On se laisse donc entraîner par le film mais, comme dit, le générique est salvateur parce que c'est enfin fini... Sauf que non, parce que le générique est raté et on ne prend même pas de plaisir à le regarder... Une expérience a tenté donc, mais averti...
Depuis quand le 7ème Art a-t-il pour but de faire ressurgir l'esprit malsain et frustré du réalisateur? Quand on regarde Calvaire on a l'impression que lorsqu'on a des envies de tortures il sufit de prendre un caméra pour les assouvir. N'ayons pas peur de le dire: Calvaire ce n'est pas du cinéma!
Calvaire c'est vraiment le mot ! Ce que je retiens de ce film, c'est cette formidable progression vers la peur qui nous gagne. On a envie d'aider ce pauvre homme à en sortir.. Ce "calvaire" est une réussite car l'intrigue est bien dosée.
Objet film qui laissera sur le coté bon nombre de cinéphile non-averti, Calvaire réussit l'exploit d'être le plus dur psychologiquement des films de genre français (bien hardcore pour la plupart). La raison en est aux obsessions du réal' Du Welz (sexe, amour, solitude, folie) assez dérangeantes mixé dans un survival qui en devient plus hard que Délivrance. Si le film est une leçon de mise en scène, d'acting, de jeux de lumière, il éprouve grandement la limite au glauque du spectateur. Pour moi, c'était limite, mais très bon film.
Dérangeant ce film difficile à classer. Dans le ciné américain, on dirait un survival. Pas trop de scènes gore mais une ambiance lourde et malsaine. Des acteurs excellents et une intrigue intéressante même si on comprend assez rapidement vers où l'on va. A découvrir sans hésiter.
Film d'horreur et survival belge, c'est déjà une curiosité en soi. Des situations hallucinantes et une mise en scène qui rend bien l'atmosphère d'effroi. Les acteurs sont très typés (Philippe Nahon est là évidemment). A voir pour les amateurs de ce genre d'oeuvre.