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Un visiteur
5,0
Publiée le 17 mars 2007
quel film étrange... on se sent vraiment témoin de toute l'horreur que subit cette homme :s on aurait envie de l'aider mais on ne peux pas...on aurait envie de tuer le méchant mais on peux pas...on ne peux dire qu'une seule chose: "cours!"
Un films legerement osé, anticonformiste, provocateur qui donne bocoup de profondeur .La fragilté de laurent lucas donne un sens o film , basculé dans l horreur simpliste il n a d autre choix que de se morfondre et de subir . Mais hélas quelques maladresse sur la maîtrise et la connaissance du cinéma de Fabrice du Welz , qui nhésite pas à assumer ses choix techniques .Style très monotone et aussi pauvre en scénario .Les scènes semi-gore s'enchaînent sans rythme et, malgré des acteurs magistraux, d'évolution il n'y a pas .Ce film n est pas aussi percutant que voudrai faire croire le réalisateur hormis le bouquet final .Mais ne le boudons pas , ce film fait parti des trés peu de drame psychologique francais.
Un film froid et malsain. La façon de filmé rappelle les bons vieux documentaires belges "Strip Tease" et ça donne une certaine nausée. C'est super déboussolant. Les acteurs sont remarquables en particulier Laurent Lucas qui joue très bien, très naturel. L'histoire demeure réellement horrible lorsqu'on en prend réellement conscience et la façon dont elle est contée ou illustré est remarquable. Et de mettre en scène des dégénérés congénitaux de cette façon demeure angoissante. Ca reste tellement réel qu'on se dit qu'on vit vraiment dans un monde de merde. Sans être forcément gore ce film choque... Mais le film s'essoufle au final ce qui est vraiment dommage.
Calvaire est une expérience que l'on vit intensément, que l'on subit, et dont on ne sort pas indemne. On s'identifie très vite à Marc Stevens, on se sent humilié, et on lutte, on se débat, on suffoque, on essaie avec lui de se sortir de ce calvaire... Mais l'ambiance poisseuse et glauque colle à la peau, elle nous gagne petit à petit, on est comme englué dans un marécage de vase épaisse et nauséabonde, où chaque mouvement, chaque tentative d'en sortir nous enfonce un peu plus, inéluctablement... Calvaire traite de thèmes "simples" ou plutôt "classiques" (la perte de l'être aimé), mais traités ici de façon extrême. Sur la forme, le film n'est pas en reste. La séquence sur la fuite (l'errance ?) de Marc Stevens a travers la campagne enneigée est tout simplement sublime. Calvaire est un film d'un désespoir et d'une noirceur extrêmes. Il n'empêche qu'il en émane une certaine grâce.
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu... Ça vole pas haut... D'accord, l'ambiance est oppressante, d'accord l'ambiance est surréaliste ( pour ne pas dire psychédélique... ) Mais à par ça, c'est tout ! Je précise d'abord que les scènes de zoophilie, de viol et autre ne m'ont absolument pas choqué ( j'aime les trucs sans complaisance et j'ai vu tellement de truc gores que je suis immunisé... ) Mais de là à interdire au moins de 16 ans !! Tout est suggeré à mort ( j'ai vu des films tout public bien plus choquants ! ) Et l'histoire, complètement bizarre et frôlant parfois le ridicule ! La seule scène potable ( enfin, pour être précis, qui m'a plu ) c'est la scène de la danse des pinguouins qui me faisait rire encore le lendemain. Et en plus c'est looooong !! Enfin bref, un navet à dormir debout, malgré l'ambiance de folie des habitants...
Film hors normes, singulier, macabre, dérangeant et d'une drôlerie décalée, à voir absolument mais à éviter cependant si vous comptez sur un film d'action. Ici, toute l'intrigue, et l'intérêt par la même occasion, du film repose sur la psychologie délirante des personnages gravitant autour de Marc Stevens (Laurent Lucas). Etant le seul à être sein d'esprit, ou du moins neutre il va être victime de cette normalité presque dérangeante pour le spectateur, qui l'amène en proie à son entourage étrange et malsain qui va projeter sa folie sur lui. Dès le départ, l'intrigue est enclenchée avec l'enthousiasme anormal et l'humanité faussement gratuite de l'aubergiste dont chaque minutes du film donne corps progressivement à sa transformation délirante et dégénérative, nous plongeant au cur d'un climat angoissant. Cible malgré lui, Marc Stevens va être l'attraction d'un amour pervers et malsain : des octogénaires au début du film aux alcooliques dérangés du village où le "faux hasard" le fera s'égarer. L'amour, en effet, est utilisé subtilement comme la ligne directrice du film, l'amour comme base de la dégénérescence tournant facilement à la perversion puis à l'hystérie, s'acharnant sur Marc Stevens sans repos, qui se retrouve prisonnier de cet univers hostile. Une atmosphère glauque règne du début à la fin, où le viol, la zoophilie, la crucifixion... parachève le décor de la folie collective des villageois.
Jackie Berroyer est étrangement fascinant. A part ça le film est plus "glauque" que "gore". La fin du film est bâclée comme la description des villageois qui tiennent une place importante dans le film. Qui sont'ils ? En plus, Bartel qui prend Marc Stevens pour sa femme ok, que ce soit tout le village voisin, là il y a un pas... ils prennent même tous un veau pour un chien ! Et c'est qu'un exemple, je ne vous parle pas de la scène dans le bar avec le piano... A voir une fois pour la prestation des acteurs.
Mais quelle surprise ! Imaginez un film d'horreur belge avec la sauce des classiques américains du genre et filmé par un admirateur de Gaspar Noé. Réjouissant, n'est-ce pas ?
Un film dont l'histoire est très étranges, on peut pas dire qu'il y est énormement d'action dans ce film mais il y a une certaines atmosphère qui nous tiens en suspense durant ce film qui est très interessante, fallait oser un tel film et c'est une réussite a mon gout...
C'est tout simplement la renaissance du genre en France, digne d'un Massacre à la tronçonneuse. Une ambiance pesante, angoissante et pourtant passionnante. Du très grand cinéma ! Une révélation.
Ce sont des films comme ça qui me font réellement vibrer et frissoner. Voiçi pour moi un chef d'oeuvre du genre. Son prix très spécial acquis en 2004 est amplement mérité. Un film qui dérange et qui est superbement bien joué et surtout bien trouvé. Ne vous attendez pas un film d'action mais plutot à un film qui touche l'aspect psychologique et troublant. L'affiche nous annonce bien la couleur, même le titre qui nous rentre directement dans le sujet. Laurent Lucas, habitué aux films du genre, joue à merveille. Et que dire de Jackie Berroyer, qui joue tellement bien qu'on croierait le voir en vrai. Tout est dérangeant et c'est justement ça qui est bon. Du début à la fin, on est tenu en haleine sans lâcher l'écran d'une seconde. On en ressort presque choqué. Alors là il est certain que c'est pour un public réduit, mais ceux qui pensent pourvoir le voir, alors jettez vous dessus sans perdre de temps. A noter la présence de Phillipe Nahon, qui est le maître du genre. Les villageois sont bizarres et vous en verrez l'aspect par vous même, vous ne saurez pas déçu. Bref, je ne souhaite vraiment à personne se qui est arrivé à Laurent Lucas dans le film, vous me comprendrez. Allez faîtes vous plaisir, à bientôt !
Il ne se passe strictement rien à part la scène de zoophilie avec un cochon qui n'a rien demandé à personne.Malgré l'incroyable prestation de laurant Lucas ,ce film n'accroche pas.Il manque d'intensité et surtout d'intérêt.A éviter surtout que le climat est très malsain.
Ce film est un vrai choc!Ame sensible s abstenir. Berroyer est super, laurent lucas excellent. C est une sorte de Kafka (tout semble normal mais rien ne l est).L ambiance du film est malsaine du debut a la fin. L univers est tres glauque (superbement filmé). Nous sombrons dans cette atmosphere etrange...et on aime ca...