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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 avril 2009
Calvaire comme dise beaucoup de speactateur de ce film c'est exatement ce que j'ai vecu en visionan ce film. Ce film est a mes yeux une veritable insulte au film du genre (hostel, martyr, frontiere(s)...ect) la fin est minable si vous voulez passez un moment a regarde un film d'horeur ne regardez pas celui la sa sera 1H30 de perdu
C’est tellement barré qu’on a l’impression que c’est un film 100 % Belge (ben oui, apparemment les Français ont participé…). C’est comme ça que le cinéma fantastique devrait être au lieu de se parodier sans arrêt lui-même – je pense en particulier aux productions US où le manque d’imagination est tellement abyssal qu’ils en viennent à ne faire que des remakes… Quant aux Français qui veulent se lancer dans le genre, ils se prennent tellement au sérieux en voulant concurrencer les Américains que le résultat est souvent pathétique. Ici au contraire, on a affaire à quelque chose d’unique, de presque artisanal, un OVNI cinématographique…Dès le début, on nage dans le bizarre, puis très vite, l’ambiance tourne au glauque, bienvenue chez les bouseux, le piège se referme sur « Marc Stevens » et on sait d’avance qu’il va passer un sale long quart d’heure… Lucas est excellent dans le rôle de la victime idéale, quant à Jackie Berroyer il est tout simplement hallucinant en aubergiste veuf et détraqué, on sent en plus qu’il a pris un plaisir pervers à jouer…. pour le nôtre aussi d’ailleurs (Il y a du « Annie Wilkes » dans « Bartel »…) Le summum du film est atteint avec la scène du café où un des types se met à jouer une sorte de danse funèbre au piano et là… terrible ce qui peut sortir du cerveau malade d’un cinéaste belge ! Hélas, c’est ensuite que tout part en eau de boudin (le terme me semble on ne peut plus approprié), très exactement à partir de la scène où les chasseurs déboulent pour une petite « partie de tir au pigeon »… Comme une impression de bâclé, un vague flottement non ressenti jusqu’alors… mais tout de même, cela reste un très bon moment de cinéma. Certains seront probablement mal à l’aise face à une telle bestialité et c’est tant mieux. Certes, c’est malsain, tordu, morbide et tout ce qu’on veut, mais la réalité est-elle plus rose ? Pas le temps de faire une thèse, parcourir les faits divers devrait suffire…
Un croisement entre "Barracuda", pour le face à face tendu, et "Sheitan", pour les consanguins enculeurs de poules. Au final, c'est bien flippant, l'ambiance est pesante. Mais les temps morts sont trop nombreux. Surtout, on a du mal à comprendre comment ce microcosme s'est formé car faut bien que ce petit monde ait de quoi vivre, bref c'est un peu vaseux. Moralité de l'histoire, attention aux culs-terreux, à force de vire entre eux ils deviennent parfois de grands malades.
Une claque ! C'est certainement le moment de terreur que j'attendais depuis des années... Calvaire est un véritable coup de maître, un film qui vous glace le sang, un chef d'oeuvre ! Fabrice Du Welz s'impose comme le digne héritier de Gaspar Noé ( on retrouve d'ailleurs Philippe Nahon et Jo Prestia dans deux rôles significatifs ) et parsème son bijou de nombreuses références ( une délectation pour les cinéphiles : on songe à Deliverance, à Straw Dogs ou encore à Misery et Psychose ). Calvaire prend pour décor une campagne hostile voire effrayante, représentation percutante de la dégénérescence humaine. Passées les dix premières minutes ( introduction musicale alléchante ), nous sommes embarqués dans ce paysage malsain et profondément perturbant qui ne nous lâchera pas jusqu'au générique final. Laurent Lucas confirme son talent ; Jackie Berroyer l'affirme en campant un aubergiste particulièrement dérangé. Ce qui est assez extraordinaire dans Calvaire, c'est le traitement de la violence : peu ou prou d'hémoglobine au final, mais énormément de perversité psychologique. C'est peut-être en cela que le film est éprouvant. On saluera par ailleurs le travail de Benoit Debie, l'un des chefs opérateurs les plus impressionnants du cinéma francophone actuel. Il y avait longtemps qu'un film ne m'avait pas autant foutu la trouille... Excellent !
Laurent Lucas me fait toujours marrer avec sa tête de pseudo victime innocente, mais je le préfère dans Harry... ou dans Tiresia. Là, il morfle décidément trop à mon goût.
En tout cas, il reste un acteur fabuleux mais malheureusement trop rare, qu'il soit victime ou tortionnaire. Quant à Jacky Beroyer, je le crois encore meilleur même dans cette prestation.
Un film assez spécial dans le genre, décalé et dérangeant, même si je le trouve doté de bonnes idées ça reste globalement très moyen, assez prévisible et le scénario traine un peu en longueur. Et il n'y a rien de bien terrifiant pour le genre épouvante-horreur. Bref, rien d'exceptionnel dans ce film.
L'idée de départ est bonne et l'acteur principal (dont j'ai oublié le nom ) fait une bonne prestation quoique un peu surjoué. Cependant j'ai finalement était un peu déçu par la facilité dans laquelle est tombé le réalisateur et me suis ennuyée quasiment tout le long du film. Le cinéma français a fait beaucoup mieux .
Un "Misery" à la Française, moins rythmé, moins angoissant mais aussi plus noir et moins causant. Dommage que les scènes intéressantes soient essentiellement concentrées dans les 20 dernières minutes.
Le genre de film d'horreur chiant et mou dont la fin est 100 fois prévisible, en plus le début se fait attendre! On se croirais dans un Drame qui tourne au cauchemard (et a l'ennuie)
C'est la présence de Berroyer qui m'a fait regardé le film, de ce coté là je n'ai pas été déçu. Après pour le film c'est plus mitigé, il y a une bonne entame et des belles images mais on sent bien que le budget est limité, par exemple j'aurai bien vu la scène final dans l'auberge plus musclée.
Excellent survival, qui prend son temps pour bien poser les personnages et nous mettre dans l'ambiance, les acteurs sont géniales, le métrage contient pas mal de scènes de fous furieux, dont une fusillade apocalyptique dans une auberge, puis grâce à ce film j'ai en partie eu droit à mon adaptation cinématographique de "Resident Evil 4".