Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Chronic'art.com
par Alex Masson
Cette odyssée oscille régulièrement entre exercice de style et tonalité très personnelle.[...] Calvaire dissimule sous une écorce de provoc' un discours social. [...] DuWelz rejoint [...] une frange de cinéastes, Gaspar Noe, en tête, qui utilisent l'alibi du film de genre et de la contre-culture pour dissimuler sous une certaine arrogance une profonde inquiétude face au dérives comportementales de leurs congénères.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Mad Movies
par Alexandre Bustillo
aura que dégage un film aux multiples visages. Magnifié par la lumière diaphane de Benoît Debie. [...] Calvaire se mue progressivement en une sorte de conte dégénéré. Un conte noir prenant directement racine dans ce que le genre a donné de meilleur jusqu'ici. [...] Fabrice du Welz, premier film, premier chef-d'oeuvre. Difficile de faire plus belle entrée.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Rolling Stone
par Grégory Alexandre
Entre Psychose, Délivrance et La Passion du Christ, [...] Calvaire trace l'air de rien le long chemin vers la régression animale de l'homme moderne, et s'impose dans le créneau de la série Z trash hard-gore - magnifiquement bien filmée comme il se doit - mais dont les atours psychanalytiques surréalistes donnent aussi à réfléchir.
Score
par Miguelito
Laurent Lucas, Jackie Berroyer et Philippe Nahon sont excellents, donnant à leurs rôles une véritable puissance physique. Le premier film de Fabrice du Welz est donc un petit chef-d'oeuvre, dépouillé, violent et bouleversant. Et définitivement le choc de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site Score
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Un premier film dérangeant et romantique, drôle et excitant qui ne cherche pas à plaire et court-circuite les conventions du Survival. Une petite bombe ! [...] Le jeune réalisateur belge retors et doué suscite la sympathie, provoque le rire, pointe les failles de ses personnages avant de choquer ou de retourner les tripes.
L'Ecran Fantastique
par Rurik Sallé
Jusqu'au-boutiste dans sa description d'individus en marge se complaisant dans la fange, Calvaire est un aller simple pour l'enfer. [...] Un conte de noël pour grands enfants tristes.
Paris Match
par Alain Spira
Cette farce sur le manque d'amour rappelle l'humanité malade croisée dans "Irréversible", avec une même violence, inconfortable, mais jamais complaisante. Dans un univers qui intègre le fantastique au réel, la férocité est sublimée par la photo de Benoît Debie.[...] Pour ce premier film, Fabrice Du Weltz fait scandale, mais révèle un talent singulier.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Calvaire n'est pas une copie ou un excercice de style. Il innove et surprend par ses décalages répétés. [...] Jackie Berroyer, dans ce qui est certainement son meilleur rôle au cinéma, joue ce tortionnaire avec une jubilation féroce.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
relecture belge et contemporaine du film style "Massacre à la tronçonneuse". [...] Jackie Berroyer [...] s'avère à la fois très drôle, terrifiant, émouvant. Prix très spécial 2004, label garanti hors norme, un Calvaire à réserver, bien sûr, à un public averti.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
TéléCinéObs
par Bernard Achour
A voir, ne serait-ce que pour LE plan-séquence du film qui rappelle autant le Brian De Palma de la grande époque que le Gaspar Noé du très contemporrain "Irréversible".
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Hélas, tous ces excès, toute cette violence théâtrale sont systématiques et gratuits. [...]L'angoisse laisse vite place à la mascarade. Cela n'empêche pas les sous-bois au crépuscule d'être formidablement cadrés, ni l'image d'être très soignée. Mais est-ce suffisant ?
Ouest France
par La Rédaction
Un générique très typé pour ce premier long-métrage d'un cinéaste belge dopé à l'humour pour raconter l'horreur. Mais il aurait pu forcer un peu plus sur la dose, pour contourner un propos glauque et délirant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Charlotte Lipinska
Fabrice Du Welz réussit à instaurer un climat franchement dérangeant, mais on regrette que le malaise ne s'installe qu'après une longue exposition. D'autant que le réalisateur fait preuve, par instants, d'une mise en scène inventive et d'idées farfelues. Ames sensibles s'abstenir.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Exercice de style sans profondeur, lorgnant avec prétention vers le cinéma de genre. [...] Tout ça n'a pas d'épaisseur. Fabrice du Welz n'a qu'un avenir : grossir les rangs des faiseurs hollywoodiens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Alexis Bernier et Samuel Douhaire
Cet hommage auteurisant au survival de série Z (...) n'est jamais inquiétant ou dérangeant, simplement embarrassant. La manière d'en rajouter dans le glauque et le malsain désamorce le malaise. Dès la première scène, tout est si souligné que le film en devient tragiquement prévisible. Et vain, à l'image des nombreuses allusions au martyre du Christ qui ponctuent Calvaire sans dépasser le gimmick visuel.
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Calvaire est un film de genre. Si vous aimez les ambiances bizarres, malsaines, où la folie rôde, vous serez en terrain conquis. Mais ce qui manque, même pour un amateur, c'est une dimension en plus. Le film ici se contente de suivre des sillons bien balisés provoquant au mieux l'assoupissement du spectateur, au pire un ennui profond.
Télérama
par Jérémie Couston
Entre deux haut-le-coeur, on pense à Délivrance et aux Chiens de paille, qui, eux, savaient rendre universel le thème choisi - brutalité et misère sexuelle du monde rural.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Cette odyssée oscille régulièrement entre exercice de style et tonalité très personnelle.[...] Calvaire dissimule sous une écorce de provoc' un discours social. [...] DuWelz rejoint [...] une frange de cinéastes, Gaspar Noe, en tête, qui utilisent l'alibi du film de genre et de la contre-culture pour dissimuler sous une certaine arrogance une profonde inquiétude face au dérives comportementales de leurs congénères.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Mad Movies
aura que dégage un film aux multiples visages. Magnifié par la lumière diaphane de Benoît Debie. [...] Calvaire se mue progressivement en une sorte de conte dégénéré. Un conte noir prenant directement racine dans ce que le genre a donné de meilleur jusqu'ici. [...] Fabrice du Welz, premier film, premier chef-d'oeuvre. Difficile de faire plus belle entrée.
Rolling Stone
Entre Psychose, Délivrance et La Passion du Christ, [...] Calvaire trace l'air de rien le long chemin vers la régression animale de l'homme moderne, et s'impose dans le créneau de la série Z trash hard-gore - magnifiquement bien filmée comme il se doit - mais dont les atours psychanalytiques surréalistes donnent aussi à réfléchir.
Score
Laurent Lucas, Jackie Berroyer et Philippe Nahon sont excellents, donnant à leurs rôles une véritable puissance physique. Le premier film de Fabrice du Welz est donc un petit chef-d'oeuvre, dépouillé, violent et bouleversant. Et définitivement le choc de ce début d'année.
aVoir-aLire.com
Un premier film dérangeant et romantique, drôle et excitant qui ne cherche pas à plaire et court-circuite les conventions du Survival. Une petite bombe ! [...] Le jeune réalisateur belge retors et doué suscite la sympathie, provoque le rire, pointe les failles de ses personnages avant de choquer ou de retourner les tripes.
L'Ecran Fantastique
Jusqu'au-boutiste dans sa description d'individus en marge se complaisant dans la fange, Calvaire est un aller simple pour l'enfer. [...] Un conte de noël pour grands enfants tristes.
Paris Match
Cette farce sur le manque d'amour rappelle l'humanité malade croisée dans "Irréversible", avec une même violence, inconfortable, mais jamais complaisante. Dans un univers qui intègre le fantastique au réel, la férocité est sublimée par la photo de Benoît Debie.[...] Pour ce premier film, Fabrice Du Weltz fait scandale, mais révèle un talent singulier.
Première
Calvaire n'est pas une copie ou un excercice de style. Il innove et surprend par ses décalages répétés. [...] Jackie Berroyer, dans ce qui est certainement son meilleur rôle au cinéma, joue ce tortionnaire avec une jubilation féroce.
Télé 7 Jours
relecture belge et contemporaine du film style "Massacre à la tronçonneuse". [...] Jackie Berroyer [...] s'avère à la fois très drôle, terrifiant, émouvant. Prix très spécial 2004, label garanti hors norme, un Calvaire à réserver, bien sûr, à un public averti.
TéléCinéObs
A voir, ne serait-ce que pour LE plan-séquence du film qui rappelle autant le Brian De Palma de la grande époque que le Gaspar Noé du très contemporrain "Irréversible".
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Hélas, tous ces excès, toute cette violence théâtrale sont systématiques et gratuits. [...]L'angoisse laisse vite place à la mascarade. Cela n'empêche pas les sous-bois au crépuscule d'être formidablement cadrés, ni l'image d'être très soignée. Mais est-ce suffisant ?
Ouest France
Un générique très typé pour ce premier long-métrage d'un cinéaste belge dopé à l'humour pour raconter l'horreur. Mais il aurait pu forcer un peu plus sur la dose, pour contourner un propos glauque et délirant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Fabrice Du Welz réussit à instaurer un climat franchement dérangeant, mais on regrette que le malaise ne s'installe qu'après une longue exposition. D'autant que le réalisateur fait preuve, par instants, d'une mise en scène inventive et d'idées farfelues. Ames sensibles s'abstenir.
Les Inrockuptibles
Exercice de style sans profondeur, lorgnant avec prétention vers le cinéma de genre. [...] Tout ça n'a pas d'épaisseur. Fabrice du Welz n'a qu'un avenir : grossir les rangs des faiseurs hollywoodiens.
Libération
Cet hommage auteurisant au survival de série Z (...) n'est jamais inquiétant ou dérangeant, simplement embarrassant. La manière d'en rajouter dans le glauque et le malsain désamorce le malaise. Dès la première scène, tout est si souligné que le film en devient tragiquement prévisible. Et vain, à l'image des nombreuses allusions au martyre du Christ qui ponctuent Calvaire sans dépasser le gimmick visuel.
MCinéma.com
Calvaire est un film de genre. Si vous aimez les ambiances bizarres, malsaines, où la folie rôde, vous serez en terrain conquis. Mais ce qui manque, même pour un amateur, c'est une dimension en plus. Le film ici se contente de suivre des sillons bien balisés provoquant au mieux l'assoupissement du spectateur, au pire un ennui profond.
Télérama
Entre deux haut-le-coeur, on pense à Délivrance et aux Chiens de paille, qui, eux, savaient rendre universel le thème choisi - brutalité et misère sexuelle du monde rural.