Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
(...) si le nouveau film de Sokourov impressionne tant (...) c'est qu'il semble constamment vulnérable (...) Mais le plus beau est la façon immédiate qu'a le cinéaste de transmettre ces labyrinthes par le jeu des corps et des mouvements. Images suggestrices, évocatrices, où l'amour et la mort se rejoignent intimement (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Didier Péron
Père, fils donne une fois encore ce sentiment d'oeuvre habitée par quelque chose qui n'est plus tout à fait humain, un hédonisme démoniaque, où l'amour porté aux créatures et aux choses d'ici-bas se double d'une volupté morbide, le désir de pénétrer en tremblant les entrailles rouges de la mort.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Tout n'est que sensations et atmosphère dans ce film qui n'est qu'esthétisme. On peut rester totalement hermétique à ce parti pris. Mais pour peu qu'on joue le jeu, on s'en trouve grandement récompensé.
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un trip mystérieux suspendu entre ciel et terre, rêve et réalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
L'obsession se traduit par l'intensité avec laquelle passion et dilution sont mises en scène, portées par une composition fuguée, jaillissant de l'instant, faisant fi de psychologisme, de propos échangés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Poursuivant, après Mère et fils, une oeuvre dédiée à l'étude des relations humaines, le cinéaste russe signe ici un film d'une beauté plastique éblouissante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Par sa mise en scène froide et esthétisante, PERE ET FILS s'adresse a priori à un public restreint et déjà initié au cinéma de Sokourov.
Première
par Olivier de Bruyn
Les partis pris formels de Sokourov (...) restent fidèles à sa pose artiste de toujours et peuvent gravement indisposer. Mais, pour peu que l'on accepte de plonger dans son grand bain formel, Père, fils fait preuve d'un curieux pouvoir hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par François Gorin
Qu'est-ce qui nous paraissait si poignant, si réussi dans Mère et fils et qui échoue ici ? (...) Quelque chose de plus volontariste se dégage en tout cas de ce film, et l'insidieux ennui qui en découle n'est pas racheté par la contemplation des tableaux ocre et roux que Sokourov compose avec le soin qui lui est habituel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Carlat
Un conte original, parfaitement maîtrisé, et profondément poignant malgré quelques distorsions dans le récit.
Aden
(...) si le nouveau film de Sokourov impressionne tant (...) c'est qu'il semble constamment vulnérable (...) Mais le plus beau est la façon immédiate qu'a le cinéaste de transmettre ces labyrinthes par le jeu des corps et des mouvements. Images suggestrices, évocatrices, où l'amour et la mort se rejoignent intimement (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
Père, fils donne une fois encore ce sentiment d'oeuvre habitée par quelque chose qui n'est plus tout à fait humain, un hédonisme démoniaque, où l'amour porté aux créatures et aux choses d'ici-bas se double d'une volupté morbide, le désir de pénétrer en tremblant les entrailles rouges de la mort.
Le Figaroscope
Tout n'est que sensations et atmosphère dans ce film qui n'est qu'esthétisme. On peut rester totalement hermétique à ce parti pris. Mais pour peu qu'on joue le jeu, on s'en trouve grandement récompensé.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un trip mystérieux suspendu entre ciel et terre, rêve et réalité.
Positif
L'obsession se traduit par l'intensité avec laquelle passion et dilution sont mises en scène, portées par une composition fuguée, jaillissant de l'instant, faisant fi de psychologisme, de propos échangés.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Poursuivant, après Mère et fils, une oeuvre dédiée à l'étude des relations humaines, le cinéaste russe signe ici un film d'une beauté plastique éblouissante.
MCinéma.com
Par sa mise en scène froide et esthétisante, PERE ET FILS s'adresse a priori à un public restreint et déjà initié au cinéma de Sokourov.
Première
Les partis pris formels de Sokourov (...) restent fidèles à sa pose artiste de toujours et peuvent gravement indisposer. Mais, pour peu que l'on accepte de plonger dans son grand bain formel, Père, fils fait preuve d'un curieux pouvoir hypnotique.
Télérama
Qu'est-ce qui nous paraissait si poignant, si réussi dans Mère et fils et qui échoue ici ? (...) Quelque chose de plus volontariste se dégage en tout cas de ce film, et l'insidieux ennui qui en découle n'est pas racheté par la contemplation des tableaux ocre et roux que Sokourov compose avec le soin qui lui est habituel.
aVoir-aLire.com
Un conte original, parfaitement maîtrisé, et profondément poignant malgré quelques distorsions dans le récit.