Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
(...) la beauté du film de Grandrieux est à la fois sublime et douteuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) un film comme un amas de matières, de lumières et de sons, un émetteur d'ondes d'intensité variable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
LA VIE NOUVELLE est ainsi fait de blocs de sensations et d'émotion sur lesquels on pourrait vainement broder des kilomètres d'explications pour tenter de les éclaircir. Mais c'est surtout un rêve, jamais loin du cauchemar, présent pour longtemps dans nos esprits.
Première
par Sophie Grassin
Le film, très expérimental, se perd souvent en coquetteries esthétisantes mais ne ressemble qu'à lui-même. Dans une période de standardisation extrême, il mérite fatalement le détour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Philippe Grandrieux a le sens de la composition. A défaut de comprendre, on peut être sensible aux variations d'intensité et aux effets de présence produits par cette expérience psychosensorielle dont il n'est pas assuré que ce soit un film. On pencherait plutôt pour le contraire en constatant à la fois qu'une force et une beauté émanent de nombre des plans de La Vie nouvelle et que pourtant l'ensemble est bien ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Zurban
par Stéphane Brisset
Mais à trop fouiller sa forme, le cinéaste s'égare et bascule parfois du côté du cliché. Malgré son atypisme dérangeant et utile, La Vie nouvelle ne convainc alors qu'à moitié. On le regrette sincèrement.
Aden
par Philippe Piazzo
C'est un film conceptuel. Et tellement ambitieux qu'il ne se rend pas compte que dans l'élan de sa prétention, le concept s'est pratiquement dissous.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Patrice Blouin
Soit on succombe d'entrée à l'hypnose. Soit on garde les yeux (trop) ouverts et La Vie nouvelle a toutes les chances de ressembler à un son et lumière macabre et grandiloquent.
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mais cet esthétisme brouillé, ce maniérisme de la souffrance, tourne un peu au système après le bien nommé Sombre, premier long métrage de fiction de Grandrieux, dont on ne retrouve pas ici la magie onirique.
Libération
par Philippe Azoury
Grandrieux est un prêtre qui voudrait filmer comme un mystique. A qui on aimerait dire, gentiment, qu'il n'y a pas de compromis lorsqu'on veut faire dans le supplice : on ne se couvre ni ne se signe, ce qui revient dans son cas à suggérer que son cinéma n'a aucun intérêt à s'abriter derrière une armure esthétique (tout en tremblote), une virtuosité enflée, des mouvements de toupie, du flou, et des miettes de bons sentiments coupables.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
Tout est donc réuni pour "fracasser", à défaut de séduire. Mais rien n'y fait : on reste entier et de marbre devant l'expression des visages mangés par les ombres, la (dé)composition sonore, la beauté raphaélique d'Anna Mouglalis, faible lueur émergeant du chaos. Sombre s'ouvrait sur l'imaginaire, La Vie nouvelle, refermée sur elle-même, se complaît dans un culte du "noir, c'est noir" plus prétentieux qu'ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
(...) la beauté du film de Grandrieux est à la fois sublime et douteuse.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) un film comme un amas de matières, de lumières et de sons, un émetteur d'ondes d'intensité variable.
MCinéma.com
LA VIE NOUVELLE est ainsi fait de blocs de sensations et d'émotion sur lesquels on pourrait vainement broder des kilomètres d'explications pour tenter de les éclaircir. Mais c'est surtout un rêve, jamais loin du cauchemar, présent pour longtemps dans nos esprits.
Première
Le film, très expérimental, se perd souvent en coquetteries esthétisantes mais ne ressemble qu'à lui-même. Dans une période de standardisation extrême, il mérite fatalement le détour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Philippe Grandrieux a le sens de la composition. A défaut de comprendre, on peut être sensible aux variations d'intensité et aux effets de présence produits par cette expérience psychosensorielle dont il n'est pas assuré que ce soit un film. On pencherait plutôt pour le contraire en constatant à la fois qu'une force et une beauté émanent de nombre des plans de La Vie nouvelle et que pourtant l'ensemble est bien ennuyeux.
Zurban
Mais à trop fouiller sa forme, le cinéaste s'égare et bascule parfois du côté du cliché. Malgré son atypisme dérangeant et utile, La Vie nouvelle ne convainc alors qu'à moitié. On le regrette sincèrement.
Aden
C'est un film conceptuel. Et tellement ambitieux qu'il ne se rend pas compte que dans l'élan de sa prétention, le concept s'est pratiquement dissous.
Cahiers du Cinéma
Soit on succombe d'entrée à l'hypnose. Soit on garde les yeux (trop) ouverts et La Vie nouvelle a toutes les chances de ressembler à un son et lumière macabre et grandiloquent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Mais cet esthétisme brouillé, ce maniérisme de la souffrance, tourne un peu au système après le bien nommé Sombre, premier long métrage de fiction de Grandrieux, dont on ne retrouve pas ici la magie onirique.
Libération
Grandrieux est un prêtre qui voudrait filmer comme un mystique. A qui on aimerait dire, gentiment, qu'il n'y a pas de compromis lorsqu'on veut faire dans le supplice : on ne se couvre ni ne se signe, ce qui revient dans son cas à suggérer que son cinéma n'a aucun intérêt à s'abriter derrière une armure esthétique (tout en tremblote), une virtuosité enflée, des mouvements de toupie, du flou, et des miettes de bons sentiments coupables.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Tout est donc réuni pour "fracasser", à défaut de séduire. Mais rien n'y fait : on reste entier et de marbre devant l'expression des visages mangés par les ombres, la (dé)composition sonore, la beauté raphaélique d'Anna Mouglalis, faible lueur émergeant du chaos. Sombre s'ouvrait sur l'imaginaire, La Vie nouvelle, refermée sur elle-même, se complaît dans un culte du "noir, c'est noir" plus prétentieux qu'ambitieux.