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Zilog
10 abonnés
161 critiques
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4,0
Publiée le 17 juin 2009
Ah, ça avait quand même une autre gueule, les teenage movies des 80's :) !!! Le blob joue vraiment très bien (même si je n'ai pas compris toutes ses répliques, il parle tout le temps en mangeant!), un incontournable de la série B qui va droit au but...a (re)voir !
chuck russel signe la un bon ptit film fantastico-horreur avec une créature qui meme si n'a pas vraiment de gueule fixe est sympa a voir quand elle engloutit tout sur son passage!
Hi hi ! Bon, commençons par les mauvais points : les personnages sont transparents, surtout l'actrice principale qui joue comme un pied, le décor n'a rien de transcendant, et les ficelles du scénario sont énormes (qui ne se serait pas douté que l'Armée était derrière tout ça ? D'ailleurs, l'Armée surveille peut être Allociné... Chhht !). Mais tout ça, on s'en cogne, car on veut voir un blob qui fait tout fondre. Et de ce côté, on est plutot gâté. On a au moins le plaisir de voir que la plus grosse partie du budget a du passer en effets spéciaux, car les entrées en scènes du blob sont souvant réjouissantes (si votre évier est bouché, réfléchissez avant de faire quoi que ce soit). Rien que pour ça, 4 étoiles !
Le remake du film de science-fiction Danger Planétaire s'éloigne fortement de son prédécesseur pour devenir un pur concentré de gore dont le Planète Terreur de Robert Rodriguez n'arrive même pas à la cheville ! Pourtant le pitch est identique : une bourgade assiégée comme on l'aime, avec ses habitants stupides mais courageux, victimes malgré eux des pires supplices infligés ici par une forme gélatineuse extra-terrestre... Réalisé par un Chuck Russell qui prouve après le visuellement excellent Freddy 3 qu'il est capable de foutre une nouvelle fois la trouille à grands coups d'effets sanglants absolument dégueulasses et complètement irrévérencieux dans la même veine que le cultissime Street Trash, sorti l'année précédente. Clochard acidifié, cuistot littéralement "avalé" par un évier, machiniste en train de fondre scotché au plafond, policier plié en deux, gamin de dix ans liquéfié... Le mauvais goût est indiscutablement de la partie, prêt à satisfaire tous les fans du genre ! Parmi la petite troupe d'acteurs tout à fait convaincants, nous retrouvons le jeune Kevin Dillon (frère moins connu voire moins apprécié de Matt), une Shawnee Smith alors encore débutante (future Amanda dans la saga Saw) ainsi que Candy Clark (Amityville 3D), Jeffrey DeMunn (Hitcher), ici en shérif téméraire et même le chanteur de blues Donovan ! La mise en scène exemplaire de Chuck Russell, les effets spéciaux de qualité et le rythme dynamique du long-métrage en font un remake non seulement supérieur à l'original (on pense à The Thing, qui reprenait le même schéma de refonte de vieux films de S-F des années 50) mais également un film d'horreur crade et décomplexé que l'on savoure sans modération avec un plaisir coupable.
Le blob est un bon petit divertissement qui est sauvé par le gore et les maquillages.Le reste n'est que du pipi de chat que ce soit les acteurs,la mise en scéne ou le scénario,rien n'a pas grand interet.Mis à part le fait qu'on s'amuse devant ce petit spectacle kitsch.
Inoubliable expérience de bissoteux, "Le Blob" version 80's reste l'une des références absolues du nanar décomplexé à la niaiserie non seulement volontaire, mais aussi revendiquée.
Un pur bon film d'horreur à l'ancienne qui je trouve a pas si mal vieilli que cela. Ce film est terrible grâce à une histoire basique et un monstre gélatineux qui permet un large choix de meurtres qui sont vraiment excellents. On ne s'en lasse pas et c'est tant mieux.
Sanglant, marrant, le blob ressemble à une grosse morve rouge; ça sent bon tout ça! Un bon vieux film d'horreur avec des ados, classique, très kitch. C'est un film bien gore qu'on aimerait voir plus souvent.
Le Blob version 1988 fait partie de la liste restreinte des remakes qui surpassent sans mal les originaux. Imprégné de toute la sincérité et la folie du ciné des 80's, ce gros délire sur pellicules (on parle de l'attaque d'une créature gélatineuse quand même) enchaîne les scènes d'agressions visqueuses devenues inoubliables grâce à leur mise en scène et leurs effets spéciaux complètement géniaux (l'évier, la cabine téléphonique, le cinéma et les égouts notamment). En plus, le scénario est simple comme celui de son modèle mais il va droit au but (entendez sans niaiseries ni racolage) et le rythme est soutenu. Un classique de la série B SF.
Le film qui a marqué toute une génération d'ados, moi le premier, KEVIN DILLON et SHAWNEE SMITH(que l'on peut voir dans les SAW) sont tout simplement géniaux dans ce petit bijou fantastique,les effets spéciaux sont hallucinants, la scène où GEORGES essaye de déboucher l'évier est un pur moment de folie, le professeur MEADOWS joue le rôle d'un bien joli fumier, et la fin avec le révérend est bien inquiétante!!!!
Excellent film de la fin des années 80. J'ai personellement adoré, un peu d'humour sur les bords, des effets gores sympatoches, et bizarrement, un Blob super bien foutu .. Pas mal pour une production de 1988. Trés bien réussi pour le genre, j'adhère.
Un film remplit de clichés (compétition entre le joueur de football et le rebel au coat de cuir ). Un film que les jeunes daujourdHui regardent avec le sourire aux lèvres.
C'est super de voir un film comme "Le Blob" tordre le cou des conventions du genre, dans le plus pur esprit série Z.
Le héros bellâtre et courageux, tout comme la bimbo aux gros lolos, se font digérer comme des malpropres au bout de 15 minutes.
Les flics, scientifiques, représentants de l'autorité sont tous plus incompétents les uns que les autres (et seront sanctionnés comme tels).
Le prêtre, destiné à soulager les âmes, est en fait un cinglé total.
Les figurants, cuisinier, voisin, serveuse, se font littéralement absorber en direct de la façon la plus dégueulasse qui soit (le coup de l'évier... oh mon Dieu).
Et pour finir, ce sont 2 "outcasts" (le motard cra-cra et l'étudiante neu-neu) qui finiront par trouver une issue au problème - alors que la dernière scène pré-figure bien la montée de l'intégrisme et le fanatisme.
Bonne pioche, bon délire, super-humour, et du gore comme on en voudrait plus souvent !
Il est assez distrayant de suivre les drolatiques méfaits de ce gros tas de morve puant qu'est le blob. Kevin Dillon assure un max. Le moment le plus décalé et le plus réjouissant est lorsque le blob ingurgite l'insupportable gamin dans les égouts.