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Un visiteur
4,0
Publiée le 7 octobre 2007
un film qui sent bon les années 1950 , tt le talent de bourvil , super acteur qui nous montre plusieurs facettes de son jeux d'acteur ,inonbrables . La beautée de daniele Darrieux (après des ennuis sur ses activité pendant la guerre) , Arletty , et jean-paul Belmondo . UN BONHEUR . Pas un chef d'oeuvre mais un film sympathique .
mon film préféré avec BOURVIL. Ttès attachant dans son rôle d ex-mari toujours amoureux fou de sa femme (Danielle Darrieux) même si sa logeuse (Arletty) fait tout pour le consoler. Il y a aussi Jean-Paul Belmondo (dans un de ses premiers rôles) Pourquoi ce film n a pas marché alors que l histoire était si belle les acteurs qui jouaient si bien.? IL y a des fois où je ne m explique pas les goùts du public. En tout cas un film que j aime énormément
La direction d'acteurs est plutôt bonne, disons que les acteurs font très bien ce qu'on leur demande de faire et que si on trouve que ce qu'on leur demande est absurde et bien ce n'est pas de leur faute. Non si le film n'est pas bon c'est le que le scénario ne l'est pas et que la réalisation ne peut le sauver. Si le film était resté dans le ton de la comédie, tout ce qui est absurde n'aurait strictement aucune importance, sauf qu'ici on veut se la jouer dramatique et que ça ne fonctionne pas, les ingrédients étant du niveau d'un mauvais roman de la collection Arlequin avec tout le pénible blabla sur l'amour éternel. A noter pour les curieux les mini apparitions de Jean Lefebvre et de de Jean Carmet. Inintéressant mais peut se regarder pour les acteurs.
Hybride maladroit entre le mélodrame intello et le bon petit film comique et familial, Drôle de Dimanche réussit au moins quelques très belles scènes de nostalgie et de mélancolie où Bourvil brille. En-dehors de ça, on file vite dans une amourette voulue profonde mais mal assumée qui dérape dans une jalousie surfaite pour s'étaler dans la catharsis dégoulinante d'un roman de gare. Agréable cependant pour Bourvil et Darrieux qui font tous les efforts du monde pour que leurs personnages fonctionnent, et pour une écriture ponctuellement éclairée, mais surtout éclairante sur un Paris pris entre les souvenirs encore vivaces de la guerre et une économie en pleine mutation.
Après 5 ans de séparation, Jean (Bourvil) revoit par hasard son épouse (Danielle Darrieux) qu'il aime encore et qui le quitta pour une vie plus frivole. Ensemble, ils conviennent de se voir le dimanche suivant pour formaliser leur divorce. Mais Catherine semble désireuse de renouer. Le sujet filmé par Marc Allégret a des arguments pour faire une sympathique comédie sentimentale. Par orgueil, les deux époux feignent l'indifférence l'un pour l'autre; puis afin d'impressionner Catherine, Jean lui fait croire qu'il est devenu le PDG fortuné de sa boîte de publicité. Enfin, quelques intervenants extérieurs (Arletty, Belmondo dans des rôles anecdotiques et superficiels) viennent ajouter leur grain de sel. Allégret croit bon d'intégrer au sujet un sentimentalisme lourdaud grâce auquel, loin de ses rôles de dadais, Bourvil peut se fabriquer la figure pseudo émouvante de mari amoureux. Trop souvent, la mise en scène, complaisante et prosaïque, trahit des éléments intéressants du scénario. Les situations de comédie s'en trouvent diminuées tandis que les contingences sentimentales indiffèrent par manque de sincérité.
Malgré un très bon casting (Darrieux, Arletty, Belmondo), la mayonnaise ne prend pas. Bourvil en amoureux aimé reste improbable. On souffre pour Danièle Darrieux si belle et qui fait ce qu'elle peut. Bourvil incarne un brave type larmoyant, et bien que ce soit voulu par le scénario, on se sent malgré tout mal à l'aise de voir un imbécile à l'écran. Le gentil n'est pas si gentil, et on ne croit pas une seconde que la femme intéressée tombe amoureuse de ce loser. Bref, les protagonistes ne sont pas attachants, et l'action souffre du manque de psychologie des rôles, sans parler de la misogynie ambiante qui s'échappe des dialogues.
Succès d’estime en 1958 (certes plus d’un million et demi de spectateurs, mais pour un Bourvil qui avait l’habitude de faire plus du double d’ordinaire), Un drôle de dimanche a le mérite de proposer un rôle légèrement différent à Bourvil, en passant sans cesse de la comédie pure au drame. Toutefois, si le script n’est pas forcément mauvais – certains gags sont même encore drôles et quelques situations sont vaguement émouvantes – on peut clairement regretter le manque d’implication du réalisateur Marc Allégret qui se trouvait alors en fin de carrière. Sa mise en scène très théâtrale manque de souffle et de nerf pour emballer le tout. On conserve alors en mémoire un casting impérial, dont l’excellente Arletty qui en fait des tonnes, ainsi que les apparitions de quelques futures vedettes comme Carmet, Lefebvre et surtout Belmondo (pas très bon d’ailleurs). Il s’agit donc d’une comédie dramatique facilement oubliable, même si cela demeure regardable. Assez représentative de la production française des années 50, sclérosée et en manque cruel de renouvellement.
S'il me fallait un mauvais film pour parler du rôle des acteurs,je choisirais celui ci. Bourvil une de nos icônes nationales, référence cent fois méritée Danielle Darrieux notre plus grande comédienne avec Gaby Morlay , Arletty qui ne laisse personne indifférent sont ici impeccables. Rien ne peut leur être reproché et pourtant ce film est une catastrophe; rien ne tient la route, tout est invraisemblable, aucune émotion ne s'en dégage et l'ennui apparaît des le premier quart d'heure pour ne faire que s'amplifier. Marc Allegret est totalement responsable de ce film au scénario affligeant certes mais qui aurait pu être sauvé par une autre mise en scène. Nous sommes dans la plus mauvaise période du cinéma français 1950/1960 la nouvelle vague s'annonce et en voyant ''un drôle de dimanche ''il est facile de prévoir son arrivée. Il est inutile que je détaille les séquences, aucune n'est a sauver, j'ai rarement vu cela. Comment peut-on avoir une telle vision de la vie quotidienne en ces temps des trente glorieuses? C'est l'exemple parfait d'un film inodore, insipide que de si grands comédiens auraient pu éviter de tourner. Marcel Martin,Madame de... Garance n'allez pas revoir ce film au paradis.
Un bon vieux classique, entre comédie et gravité, un des rôles les plus surprenants de Bourvil avec Les culottes rouges. Une belle distribution. Le plaisir de se faire un bon vieux noir et blanc.
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4,0
Publiée le 22 juin 2021
Résumé rapide de l'intrigue du film Jean Brévent n'a toujours pas compris le départ de sa femme Danielle Darieux depuis cinq ans pendant lesquels il n'a pas pu l'oublier. Malgré un travail d'écrivain d'origine dans un journal dans lequel il a essayé de s'investir totalement le temps n'a pas fait son œuvre. Un jour par hasard il la rencontre dans un bus. Pour tenter de la reconquérir il veut l'éblouir en remplaçant son patron le président de Publi-Paris une société de publicité. C'est un film avec un super casting français des années 50. Avec Bourvil (Jean Brévent) son ex-femme Danielle Darieux et Roger Hannin qui est son rival Jean-Paul Belmondo et Jean-Paul Lefebvre comme chauffeur. Une autre raison pour laquelle nous devrions regardez ce film est Arletty en professeur d'art dramatique quelle bonne idée mais la séquence est malheureusement trop courte...
Nous voilà devant une jolie comédie dramatique, ou effectivement on oscille entre sourire et larme, mais rassurez vous, tout finit bien. Bourvil est excellent, même dans les scènes dramatiques, et les autres acteurs sont au diapason. Les quelques cènes tournées en extérieur fleurent bons les années 50 et font de ce film un témoignage de cette époque. Belmondo, à ses débuts est très bien sans aucune scène de casse-cou. Étrange, non? Jean Carmet dans un tout petit rôle de pompiste. Donc un bon film à voir pour la culture cinématographique et pour cette pléiade d'acteur.
Une comédie sentimentale pleine de malice menée tambour battant par le duo Bourvil-Darrieux, on peut également y voir Arletty et Belmondo parmi les seconds rôles.
un bon film ma foi un peu plat.une histoire d'amour qui a fini terminer mal et qui somme toute fini bien comme toutes les histoires à l'eau de roses.Un grand Bourvil qui nous sort un grand role d'époux cocu qui veut sa vengeance.La beauté de danielle Darrieux et Jean-Paul Belmondo dans ses débuts qui font le reste. A voir pour les fans du cinéma de papa.
Ce drame signé Marc Allégret partait sur une mise en scène assez rythmée avec un ton humoristique avant de voir ce rythme se ralentir progressivement. Bourvil dans son personnage de romanesque perdu et désespéré apporte à ce film une profondeur et une vrai émotion. Intéressant car on le voit rarement dans ce type de rôles. Un beau film qui a cependant du mal à garder le spectateur concentré sur sa durée malgré une fin de film un peu plus vivante. Le thème du film est le désespoir de l'amour et la folie que cela peut entrainer.