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    Aux portes de l'au-delà
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    Fred E
    Fred E

    10 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    Le début n'est pas très captivant mais on se laisse peu à peu gagner par cette intrigue farfelue. Les effets spéciaux paraissent complètement désuets aujourd'hui avec ces monstres "en chewing-gum". Néanmoins, il y a pas mal de scènes gores qui raviront les amateurs du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 août 2024
    Amatrice du cinéma de genre, je me demande comment j'ai pu passer à côté de ce film pendant aussi longtemps. Les effets de spéciaux pour l'époque, nous sommes en 1987 sont très bons. Ambitieux et réussi !
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juin 2024
    Sèlectionnè au Festival d'Avoriaz, le culte "From Beyond" (1986) n'est autre que l'èquivalent du tout aussi culte "Re-Animator" (1985) du même Stuart Gordon, ne serait dèjà que par l'univers de H.P. Lovecraft et par le couple vedette Jeffrey Combs / Barbara Crampton qui se lance pied au plancher dans cette adaptation un peu folle! Le dèlire de cette histoire de l'au-delà, les F / X dans leur conception et les maquillages hallucinants constituent certainement l'intèrêt majeur de ce classique du genre...mais pas que, car avouons que Barbara Crampton nous règale et n'a pas peur de dèvoiler à nouveau ses charmes! Les portes de l'horreur sont donc ouvertes cher aficionado! Ce serait dommage de ne pas les franchir pour dècouvrir cette troublante invention qui prend possession de votre cerveau, laissant pas mal de place à la crèativitè, à l'humour et à l'èrotisme...
    Jean Ingalls
    Jean Ingalls

    1 abonné 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2023
    Un film que j'ai pas mal visionné plus jeune, pas revu depuis plus de 15 ans, il se revoit gentiment, pour les néophytes ça peut-être balot mais il garde ceci dit une certaine force notamment dans sa deuxième partie où Stuart Gordon se fait plaisir et se lâche grave avec des scènes bien salaces, il faut voir Barbara Crampton sentir le plaisir montée avec un Jeffrey Combs inerte, le passage est chaud mais drôle à la fois car il reste de marbre par contre dès que le rézonateur se met en marche il se réveille directement.
    Le casting est sympa, avec trois des acteurs de Re-Animator plus Ken Foree. Les amateurs du genre étaient en extase à sa sortie, car Stuart Gordon et Brian Yuzna forment une sacrée équipe. Jeffrey Combs et Barbara Crampton resteront les acteurs fétiches de Stuart Gordon et par la suite Brian Yuzna fera également appel à Jeffrey Combs pour ses différents films comme le WTF Beyond Re-Animator.

    Aux Portes de l'Au-Delà est un film d'estime pour de nombreux fans du genre, il faut reconnaître qu'il possède une atmosphère malsaine où se côtoient le fantastique, l'épouvante et l'érotisme. D'ailleurs le résonateur est une sacrée métaphore sexuelle au prétexte justifiant les quelques passages chauds surtout celui où Barbara Crampton hypnotise l'écran tout de cuir et ficelle vêtue. La première partie du film n'est pas très prenante - celà dit l'ambiance est déjà là - même si on se demande ce qui va se passer mais dès lors que le Docteur Pretorious refait surface le film prend tout son sens. Les effets visuels ne sont pas minables malgré les années, le film regorge de grands moments, dont une jolie folie engloble le film à réserver aux spectateurs avisés, ce qui paraît soft au début se transforme par la suite en cauchemar phallique avec des allusions bien portées sur le sexe tout le long du film. Après Re-Animator, le duo a su recréer une certaine ambiance pour un film tout aussi important que leur première collaboration.
    Nous n'arrivons même plus à compter les débordements comme les quelques énucléations très graphiques, et surtout les passages écoeurants où la glande pinéale surgît. C'est du lourd, rares sont les films de ce calibre aussi barré sans être neuneu. Là où Re-Animator possédait malgré tout des petites notes d'humour, Aux Portes de l'Au-Delà est nettement plus sérieux, à aucun moment nous ne voyons un seul des personnages rire ou occasionner des petites blagues voir même des clins d'oeil. Non, ici le film porte bien son nom. Et dire qu'à l'époque le film ne fût interdit en France qu'aux moins de 13 ans, la censure était bien veillante. ^^

    C'est assez étonnant qu'à travers toutes ces années le film n'a pas souffert par rapport à la technique et autres, qu'est-ce que ça fait du bien de visionner un film sans effets ou ajouts numériques, là c'est du cinéma d'artisans, les monstres et autres idées sont faits avec les moyens du bords mais surtout avec un savoir indéniable, voilà pourquoi plus de 27 ans après nous sommes toujours aussi content de revoir pareilles bobines. Les années 80 c'était bien, c'était fun et pour ceux qui pensent que le cinéma de genre à commencer avec Scream et bien faites un petit tour dans la filmographie de Stuart Gordon et Brian Yuzna, des mecs qui n'en ont rien à foutre, en tout cas ils s'en foutaient à l'époque.
    Avec toute cette excitation il va falloir que je me refasse le Beyond Re-Animator où le grand-guignolesque n'a jamais été aussi barge, sans être aussi ultime que Re-Animator premier du nom et Aux Portes de l'Au-Delà.
    Shawn777
    Shawn777

    586 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2022
    Ce film, réalisé par Stuart Gordon et sorti en 1986, n'est vraiment pas mal du tout ! Le film est adapté de la nouvelle "De l'au-delà" de H.P. Lovecraft mais ne l'ayant pas lu, je pourrai pas la comparer au film sur le plan de la fidélité. En tout cas, le film se concentre ici sur un savant fou qui a inventé une machine capable de communiquer, en gros, avec l'au-delà mais meurt suite à l'usage qu'il en fait. Son assistant est alors accusé, à tort, de meurtre et il va, avec une psychologue et un flic, tenter de prouver son innocence en remettant en marche la machine. Ça a l'air un peu bordélique comme ça et le film l'est tout autant ! Mais, ce n'est ici pas vraiment un défaut ! Ce côté un peu bordélique fait finalement le charme du film car d'une part, on ne sait jamais dans quelle direction la trame va aller (et croyez-moi qu'on peut être très surpris de la direction dans laquelle elle part !) et ça participe également énormément à l'aspect un peu amateur du film. Pas amateur dans le sens péjoratif du terme mais dans le sens où les effets spéciaux sont bricolés et réalisés avec les moyens du bord, ce qui est une très bonne chose ! Malgré cet aspect "bricolé", le film reste tout de même très gore et fait toujours son petit effet aujourd'hui ! Le rythme est très bon car l'intrigue peut certes paraitre bordélique mais c'est parce-qu'elle est avant tout très riche ! Ça part en effet dans tous les sens mais ce n'est jamais hasardeux, tout est réfléchi. Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Jeffrey Combs, Barbara Crampton et Ken Foree qui jouent très bien ! "From Beyond : Aux portes de l'au-delà" est donc un film qui est certes particulier mais qui regorge avant tout de bonnes idées !
    Estonius
    Estonius

    3 351 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 novembre 2021
    Tout d'abord je dois dire que le fait de savoir si le film est ou n'est pas fidèle à l'œuvre de Lovecraft est le cadet de mes soucis, Réalisateurs et scénaristes sont libres de leurs adaptations et seul le résultat à l'écran importe. Or qu'en est-il ci ? Nous avons un vrai film d'horreur qui ne résume pas à des moments gore agrémentés de jump scares. Non ici le propos est différent et nous suivons la transformation de la très belle Barbara Crampton, victime consentante de ses ambitions et de sa soif de savoir (un sous-texte un peu moisi sur le thème de l'apprenti sorcier, mais bon…) et cette progression est fantastique incluant même un passage à l'esthétique très sadomaso. C'est vraiment un plaisir de voir jouer ainsi cette actrice, Mais Jeffrey Combs ne démérite pas, loin de là, jouant un personnage complexe et à moitié halluciné. Les trucages sont assez fabuleux et réellement effrayant et le film est maitrisé de bout en bout.
    pierrre s.
    pierrre s.

    429 abonnés 3 305 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2021
    Le début est un peu laborieux mais ensuite le film devient une série B comme on les aime! Les effets spéciaux sont bluffants et mettent vraiment mal à l'aise, et la tension érotique constante fonctionne parfaitement.
    Antonio V
    Antonio V

    7 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2020
    Une expérience Lovecraftienne des plus lubriques et horrifique !!! Quand la science ébranle la frontière entre la perception de l'esprit humain et ce monde "indicible"...
    Effets spéciaux hallucinants, Barbara Crampton sensuelle à mort et un Jeffrey Combs a son meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 février 2020
    Je me retrouve en lisant d'autres avis !
    Ce film aurait été une bombe si Cronenberg avait participé à sa création !
    Mon opinion est qu'il manque une profondeur dans l'ambiance, il aurait presque fallu des séquences pornographique lascives pour me faire rentrer dans le trip !
    L'atmosphère est déjà dérangeante, sexuelle, provocante. Les effets spéciaux sont ou excellents ou horriblement obsolètes.
    C'est cette inégalité qui pèse sur ce film, sans quoi il serait dans le top 10 !
    La censure y est probablement pour quelque-chose...
    Un mix de Crash/Rabid/Les portes de l'au-delà aurait donné assurément un film X experimental excellent !

    A voir, pour se rendre compte que ce genre de film ne sortirai pas de nos jours...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2019
    Par sa prétention de fonctionner en diptyque avec Re-Animator, From Beyond perd en surprise ce qu’il gagne en générosité horrifique : si l’hôpital sert de toile de fond et accueille les protagonistes le temps d’une petite leçon de science – présentation du mal, exposition de la glande pinéale – jusqu’au grand massacre final – ce qui s’avère toujours aussi délectable, l’hôpital étant un lieu où l’on sauve les vies… –, c’est bien le manoir et son laboratoire qui monopolisent l’attention, pour notre plus grand plaisir. Après le vert omniprésent de Re-Animator, on passe au rose-violet, voire au rouge par instants (la pièce sadomasochiste) ; ce contraste pictural renvoie à l’orientation très sexuelle du film, puisque tous les objets dont est constitué le laboratoire se muent en symboles phalliques. Ce faisant, From Beyond déplace sa thématique de l’expérience scientifique vers la recherche de l’extase, la sortie de soi en vue d’acquérir le plus de connaissances possible ; on retrouve là d’ailleurs l’un des enjeux qui occupera Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal, Irina Spalko se sacrifiant dans l’espoir d’acquérir le savoir suprême. Et si les hommes se bousculent pour dominer lourdement en imposant leur virilité corporelle, force est de constater qu’ils échouent. Dès lors, le parcours de Katherine McMichaels peut se lire comme la libération outrancière de la femme qui n’a, pour éprouver la jouissance suprême, guère besoin de l’homme qui finit ici décimé. C’est sur cette attention aux femmes, dont Stuart Gordon s’amuse à détourner les clichés qui prévalent dans ce genre de productions, que le film offre une réflexion plus aboutie que son prédécesseur. Le gore, d’accord, mais il semble être l’apanage du masculin. Derrière les corps visqueux, les têtes éclatées ou ingurgitées, derrière l’obsession de la matière se cache celle qui, seule, s’ouvre au métaphysique et franchit les portes de l’au-delà.
    Wagnar
    Wagnar

    82 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 août 2018
    Après le succès de Re-Animator, Stuart Gordon réunit son équipe pour une nouvelle adaptation de Lovecraft. Et il réussit à nouveau son coup. Si vous avez aimé Re-Animator, vous aimerez From Beyond. Basé sur un scénario original (quoique un assez prévisible), le film dispose de scènes d'horreur que n'aurait pas renié un David Cronenberg, illustrées par des effets spéciaux visqueux du plus bel effet. La ravissante Barbara Crampton est magnifique dans le premier rôle féminin, nous offrant par ailleurs une scène très sexy dans sa tenue de sado-maso. Lovecraft avait une imagination très tordue et Stuart Gordon et Brian Yuzna l'avaient également. De l'histoire aux effets spéciaux, en passant par l'atmosphère, tout se déroule de manière artistique et saisissante. Non seulement, Gordon nous écoeure avec des effets spéciaux répugnants mais nous amène également à une variante satirique du plaisir de la recherche des connaissances interdites. Après, le film n'est pas effrayant comme la Mouche de Cronenberg, mais le talent de Stuart Gordon et de son équipe en font une grande réussite, un des films phares du cinéma d'horreur des années 1980.
    Bijij
    Bijij

    3 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2018
    Bonne adaptation de la nouvelle de Lovecraft, pourtant très courte, en réussissant à en faire un film intéressant à la frontière entre fantastique, science-fiction et épouvante.
    neilseim
    neilseim

    9 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2018
    Parfois on se rappelle d'une scène précise de film, mais sans mettre de nom dessus. Google étant mon ami, une recherche avec quelques mots clés comme verts sortant du front, film des années 80, monstres avec tête qui sort du corps... la sentence tombe et c'est un vieux film fantastique qui remonte de la liste avec de bons souvenirs horrifiques.

    Je m'empresse de l'acheter remastérisé en Bluray, et je me lance tête baissée et dans le noir dans ce "classique".

    Déception quand tu me rattrapes, et que tu me rappelles qu'avant c'était mieux :

    Contrairement à un Re-Animator bien gore et marrant à la fois, autant que les Clowns Tueurs venus d'ailleurs bien jouissif, ou encore The Blob, ici on le mate, on se souvient, et voilà !

    De bons souvenirs, ça valait quand même le coup, sans doute plus que certains films fantastiques actuels qui restent plats et décevants.

    La palme revient à l'acteur Jeffrey Combs pour sa tête horrifiée du début à la fin !

    À plus sur aujourdhuichezyoyovideo.blogspot.fr !
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 403 abonnés 4 438 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2016
    Ce film est sûrement un des Stuart Gordon les plus ambitieux sur le fond, et sur la forme, que dire, c’est une des pépites du cinéma d’horreur des années 80 ! En conclusion, chez ce réalisateur talentueux, From Beyond est probablement son chef-d’œuvre !
    En effet l’histoire est indéniablement très riche, peut-être même un peu trop pour un film d’1 heure 30. Abordant des thèmes chers à Lovecraft dont ce film est une adaptation, il est question des capacités particulières du cerveau dont bien des zones sont non utilisées, de dimensions parallèles, avec une vraie richesse et plusieurs niveaux de lecture. From Beyond parait de prime abord assez simple, mais l’intrigue est un vrai méandre labyrinthique, qui pourra déconcerter les moins attentifs qui pourrait se perdre tant le film est, curieusement, cérébral ! Curieusement, car il est aussi un divertissement de tout premier ordre, emmené dès le début par son rythme endiablé, et porté ensuite par une succession de scènes archi-spectaculaires !
    Gordon et son équipe se sont lâchés, c’est le mot ! Effets horrifiques impressionnants et archi-crades, créatures dérangeantes, quelques incrustations laissent un peu à désirer aujourd’hui mais curieusement cela renforce le côté « autre dimension » du film. Réservé à un public très averti, même si on sent parfois une pointe de surenchère second degré, From Beyond distille une ambiance poisseuse du meilleur effet, et bénéficie d’une réalisation très alerte et très plaisante de Gordon, qui continue de me faire une très bonne impression en tant que réalisateur. From Beyond prend parfois des allures de descentes aux Enfers, où on se dit que rien ne peut être pire, et puis si, finalement !
    Au casting des habitués du réalisateur et des pointures du cinéma horrifique : Jeffrey Combs, toujours énorme en scientifique un peu fou, Barbara Crampton, scream-queen qui illumine l’écran de sa beauté, Ken Foree, qui en a fini avec les zombies et vient trimballer sa trogne toujours bien plaisante dans ce métrage, Carolyn Purdy-Gordon, épouse du réalisateur et ici dans un second rôle bien rêche comme son mari se plait à lui confier en général ! Beau casting très estampillé horreur, qui fonctionne vraiment, avec une vraie complicité, et un résultat qui finit de donner la bonne impression générale qui se dégage de From Beyond. Ah, non, j’oubliais, le thème, signé lui aussi d’un récurent du genre, est juste très très bon !
    From Beyond c’est le petit plaisir coupable des amateurs d’horreur rétro. Bourré d’effets horrifiques mécaniques et ultra-gore, From Beyond est un film beaucoup plus intelligent qu’il n’y parait, mais, un soir où l’on est fatigué, il peut aussi remplir parfaitement son rôle de spectacle gore jouissif ! Gordon, le génie de la série B a encore frappé, mais là il a frappé spécialement fort ! 5
    Nicothrash
    Nicothrash

    369 abonnés 3 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    Stuart Gordon, papa de "Re-animator", enchainait avec sa deuxième réalisation avec toujours Jeffrey Combs dans le rôle titre, pas mauvais au demeurant. Après un départ canon, on était en droit d'attendre de la suite qu'elle soit du même acabit, raté ! La mise en place qui s'en suit est extrêmement longue etil faut attendre les 25 dernières minutes pour enfin voir de l'horreur, pour le reste on s'ennuie ferme. Par contre, cette séquence finale vaut largement le coup d'oeil malgré le fait que ça ait bien vieilli, on y retrouve l'univers tordu et crade de Lovecraft, voire un peu celui de Clive Barker. Evidemment l'ensemble est bourré d'incohérences en tous genres et le jeu d'acteur laisse bien souvent à désirer, de plus les SFX font parfois très mal aux yeux ... De fait, ça reste bien moyen avec heureusement ce final qui relève quelque peu le niveau et qui fait office de prétexte à voir ce métrage qui reste tout de même amusant.
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