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    La Dolce Vita
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    4,0
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    126 critiques spectateurs

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    nielrowbooks
    nielrowbooks

    24 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2014
    Le specimen le plus abouti de la suite logique du cinéma réaliste italien, à savoir l'interrogation intérieure de l'individu et son choix de vie. On suivra donc ici les pérégrinations d'un journaliste-écrivain dans la société romaine pour ne pas dire italienne, lesquelles pérégrinations nous le montrent observateur, interrogateur vis-à-vis de lui-même, puis décidément jouisseur. Le film est constitué d'une série de sketches enchaînés les uns aux autres par le fil conducteur qu'est le personnage principal. Les quasi trois heures passent vite, car le charme fellinien opère sans faillir. Mastroiani y est aussi pour quelque chose. Accessoirement il s'agit-là d'un document exceptionnel sur l'Italie et la Rome des années de reconstruction. Un des classiques du cinéma mondial.
    maxime ...
    maxime ...

    242 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Une satire d'un milieu abjecte, non pas à cause du sexe, de la fête et de l'alcool car c'est la vie mais de part leurs superficialité et la sensation de supériorité, c'est tellement bien fait qu'on fini parfois par s'ennuyé avec eux. Il y a beaucoup de grâce et la méthode de construction qui je pensais allais me déplaire ma totalement convaincu. Beaucoup de beauté, ces femmes surtout ( Magali Noel, Anouk Aimé ... et surtout Anita Ekberg fascinante dans cette fontaine mais dès son arrivée elle marque les esprits ). Marcello Mastroianni est magnifique et grandiose. Mon premier Fellini, assurément pas le dernier, réussir a filmé la bêtise, le vide et le ridicule aussi incroyablement, il faut être un génie.
    DenbroughX
    DenbroughX

    56 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2013
    Fellini filme ici la décadence et les perspectives d'avenir avec un cynisme et un réalisme implaccable ! 2h40 qu'on ne voit pas, ou presque (l'avant dernière sèquence qui dévoile la dernière fête est un peu longue, mais si précieuse quant à sa capacité à capturer les moments de desespoir et de chaos qu'on accepte finalement qu'elle se traine un peu). La scène finale est bouleversante et clore un film subtile de long en large, filmant le comportement humain avec une vision noire et inquiétante et dressant un film qui reflète de A à Z son époque, et qui a réussit à l'immortaliser sur grand écran. L'authenticité n'a jamais été aussi grande, et c'est pourquoi cette Dolce Vita de Fellini, qui bien sur n'en est pas une, est un des plus grands films italiens de son époque, mais aussi de tout les temps !
    AMCHI
    AMCHI

    5 814 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 novembre 2013
    J'ai toujours entendu tellement de bien sur La Dolce Vita pourtant c'est un film que ne m'a jamais attiré mais après avoir découvert son Casanova qui m'a plu je me suis dit que je devais tout de même regarder ce qui est sans doute considéré comme la chose la plus merveilleuse chose tournée par Fellini. Et malgré le fait que je n'ai pas aimé La Dolce Vita ce n'est pas une déception que j'éprouve mais plutôt le verdict fatal auquel je m'attendais, de l'ennui avant tout pour moi devant La Dolce Vita, quasiment jamais passionné durant les 2 h 40 du métrage (enfin un peu moins dans mon cas) alors certes Marcello Mastroianni a la superbe classe et il y a Anita Ekberg avec la fameuse scène de la fontaine mais rien à y faire ce film trop nouvelle vague pour moi, je l'ai trouvé trop long sans magie particulière et quitte à choquer je n'ai pas trouvé que le N&B se justifiait ici. Un point positif la belle musique de Nino Rota.
    Caine78
    Caine78

    6 712 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 novembre 2013
    Toujours délicat de critiquer un film considéré comme LA référence absolue du cinéma italien, LE chef-d'œuvre à avoir vu absolument sous peine de passer pour un ignare et d'être montré du doigt si vous ne l'avez pas vu, pire : si vous ne l'avez pas aimé. A ce titre, je comprends parfaitement l'adoration de certains : la photo est sublime, la musique de Nino Rota aussi inoubliable que mythique, tandis que Marcello Mastroianni livre une fois de plus une prestation grandiose. D'ailleurs, au début j'étais à 200% concerné : régal de technique, décors somptueux, sans parler de la rencontre avec Anita Ekberg amenant l'une des plus célèbres scènes de l'Histoire du cinéma : le bain de minuit dans la fontaine de Trevi. Oui mais voilà : mon intérêt est à partir de là devenu beaucoup plus inégal, le film se rapprochant souvent d'une dynamique de sketchs, par définition assez inégaux et parfois vraiment trop longs. Après, cela est tellement éblouissant visuellement que même les plus faibles passages gardent un minimum d'intérêt, mais on ne peut s'empêcher d'être frustré de voir après 45 premières minutes extraordinaires quelque chose de moins excitant, fascinant. Maintenant, c'est aussi le but de l'œuvre de nous faire passer par toutes les sensations : après le rêve, le désenchantement, entrecoupé de quelques minutes de pure magie avant de retomber dans les excès sans fin... De ce point de vue, « La Dolce Vita » est réussi, mais l'ennui a trop tendance à venir pointer le bout de son nez pour que l'on apprécie toute la subtilité et l'intelligence de Federico Fellini vis-à-vis de cette peinture désabusée de la société italienne, ce que l'on appelle communément la « fin d'une époque ». Heureusement, toute la partie située dans le château (à ce titre, la conversation entre Mastroianni et Anouk Aimée à travers les murs est un immense moment) ainsi qu'une ultime scène éblouissante permettent de conclure sur une très belle note, et surtout de comprendre l'engouement qu'a pu provoquer une œuvre à laquelle je n'ai pas été totalement sensible, mais dont je garderais de nombreuses images à jamais gravées dans ma mémoire.
    S M.
    S M.

    34 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 septembre 2013
    Fellini rend une nouvelle fois hommage à "sa Rome chérie" et nous montre en même temps la décadence de la bourgeoisie romaine. On ne peut qu'être émerveillé devant une telle mise en scène et les séquences sublimes qui s'enchaînent. Les acteurs sont formidables, Mr Mastroianni en tête. Anita Ekberg est sublime. Chef-d'oeuvre.
    betty63
    betty63

    22 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 août 2013
    Rester pendant plus de 2h40 à regarder Marcello Mastroianni aux prises avec l'ennui des gens riches et la décadence d'un peuple de coquilles vides, ça c'est de l'exploit ! Franchement, en quoi ce film, réputé être un chef-d'oeuvre, l'est-il vraiment ? Il n'y a aucune histoire, tout est décousu. Ouf que j'ai vu mieux de Federico Fellini !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 août 2013
    Partant d'une histoire un brin banale et sans grand rebondissement, F. Fellini en fait un grand film. Multipliant les récits, il s'en sert pour parler de beaucoup de choses (les rêves, la vie, la sexualité, l'adultère, le journalisme, les bourgeois, les nantis, les stars et le système en général), évidemment le film dure longtemps mais le temps passe très bien quand la critique de tout ce monde est fait avec maestrio, sensualité et grâce. Œuvre érotique pour l'époque, A. Ekberg est tellement charnel, F. Fellini s'offre la pudeur du corps pour l'époque et nous donne le reste avec sa mise en scène. C'est simple, voir un tel film c'est ce dire que le cinéma de maintenant a perdu une certaine magie. Le film ici n'est pas politique et ne traite pas d'un sujet sensible en fil rouge. Le génie du film est de suivre un homme qui désire être écrivain et de broder un ensemble de critiques envers une multitude de sujets autour de cette histoire. Ce qui donne au film une portée universelle et indémodable. Autrement dit, du grand cinéma.
    Kévin Pilastra L
    Kévin Pilastra L

    9 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 juillet 2013
    La dolce vita est de ce genre de film qui sont des chefs d'œuvre, uniquement car ils ont été les premiers, je m'explique : 1er fois où la décadence romaine est montrée (depuis, Paolo Sorrentino a fait ça 1000 fois mieux avec la Grande Bellezza...), première scène avec une actrice ultra pulpeuse qui prend un bain dans une fontaine municipale, etc.... Bref, j'aurais adoré adorer mais malheureusement, de ces 2h40 ne subsistent qu'une bande son mal synchronisée, un scénario qui n'en ai pas un et un goût amer de déception dans la bouche... Ce n'est que mon avis, je n'ai pas la prétention d'être cinéphile....
    Noahdu77
    Noahdu77

    5 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2013
    "La dolce Vita", récompensé à Cannes ( créant une polémique ), et classé 40ème meilleur film de tous les temps.
    le film raconte l'histoire, d'un homme perdue dans ces amours. Il est journaliste, marié, à une maitresse et est amoureux d'une actrice hollywoodienne.
    Une magnifique scène avec cette dernière, la fontaine.
    C'est un film, long certes mais on a pas le temps de s’ennuyé. Il faut certainement le voir plusieurs fois, pour l'apprécié à sa juste valeur...
    SOMPTUEUX !!!
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    60 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2019
    Attention chef d'oeuvre ... ou pas, tout dépend de votre sensibilité et de l'interprétation que vous vous faites du ciné italien décennie 60-70'. Les films de Fellini sont plutôt atypique mais La Dolce Vita est sûrement son oeuvre la plus accessible, la plus appréciable, son meilleur film sans doute. La réalisation est au poil avec quelques plans et quelques scènes de toute beauté, une ou deux scènes ont marqué la mémoire cinéphile, un des dernier grand film en noir et blanc . Le film en fera décrocher plus d'un par son rythme lent et son scénario décousu assez plan-plan, contemplation de la bourgeoisie italienne entre autres. Heureusement Mastroianni est là, il irradie le film de toute sa classe naturelle (les costumes aidant aussi), ne serait-ce que pour Marcello à l'aise en costard derrière ses grande lunettes noires (inspirant toute une génération), il faut voir ce film. Je n'avais pas vu un acteur si beau et charismatique à l'écran depuis Brando dans Sur les quais, De Niro dans Le Parrain 2 ou Gosling dans Drive dans une moindre mesure. Le film se démarque aussi par sa trame inhabituel, supprimant l'un de ses personnage principal au 2/3 du film, imité la même année par deux autres chefs d'oeuvre (L'avventura, Psychose). Pour le reste Anouk aimée est d'une sensualité à toutes épreuves et les autres seconds rôles, quoique peu mis en avant, ne sont pas déplaisant. Très bon film. Ah et j'oubliai la musique tour a tour joyeuse, triste ou dansante mais continuellement géniale, une des plus belle BO du 7ème art signé du grand Nino Rota
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mai 2013
    Film où rien ne se passe et dont le seul intérêt est la mise en avant des formes voluptueuses de la sculpturale Anita Ekberg. D'un ennui total.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2013
    L'histoire :

    Marcello ( Marcello Mastroianni ) est chroniqueur mondain dans la presse, il va et vient au gré des différentes fêtes et autres événements de gala réunissant les stars, la petite bourgeoisie italienne, ou encore les innombrables producteurs.

    On suit donc les nombreuses errances d'un homme qui passe de femme en femme, de lit en lit incapable d'espérer une vie stable et construite.

    Des personnages et une réalisation magistrales :

    Palme d'or à Cannes en 1960, Frédérico Fellini sublime la ville de Rome et ses personnages.

    Resplendissant, Marcelo Mastroianni qui va devenir par la suite son acteur fétiche, porte le film sur ses épaules, tout en retenue et minutie dans son interprétation, il joue parfaitement le rôle de ce chroniqueur paumé et terriblement seul.

    En pensant à la Dolce Vita on ne peut que se remémorer la fameuse scène de la fontaine de Trévi où Anita Ekberg ( Sylvia dans le film ), magnifique et délicieuse actrice nous montre tout ses charmes mais également son sens de théâtralité.

    Tous les plans, les cadres sont filmés simplement et esthétiquement, face à la ville de Rome grandiose et superbe.

    Au même titre que le noir et blanc, qui rajoute une certaine touche de charme et de nostalgie quand au pérégrinations de Marcello.

    Le journal d'un homme en perdition dans une ville immense :

    Marcello dispose de tout, il est jeune, beau, à une bonne situation et côtoie les stars de l'époque. Qui ne révérait-pas d'une vie pareille ?

    Et pourtant sa vie ne le satisfait pas, la futilité,la frivolité du monde qui l'entoure le consume petit à petit. C'est la chronique d'un homme incapable de faire un choix, refusant de vivre une vie banale avec sa fiancée mais détestant le monde fantasque du showbizness.

    Un dilemme qui le suit tout le long du film, d'une part avec la vision d'un de ses amis tellement enfermé dans sa vie familiale qu'il en vient à se suicider et d'autre part la vie d'une star représentée par Sylvia ( la sculpturale Anita Ekberg ) malheureuse avec un mari jaloux et quelque peu ivrogne.

    C'est un étrange sentiment de se savoir au bon endroit selon les tabloïds mais ruinant nos propres ambitions personnelles ( dans le film Marcello rêve de littérature et de poésie ).

    Un homme en danger, en perte d'identité :

    Marcello joue un rôle, le rôle qu'on lui a octroyé, un homme qui a réussi, dont tout réussi, qui ne cesse de perdre confiance en lui et en ses propres idées.

    Tellement embrigadé par le système qu'il en perd sa propre identité, il n'est plus qu'un homme à femmes, perdu dans Rome dont le métier est d'épié les moindres faits et gestes des stars.

    Mais surtout, ce n'est plus seulement le système qu'il haït, mais aussi sa propre personne. L'homme qui rêvait d'art et de culture n'est plus qu'une farce de la société qu'il a détesté.

    Vision finale de Marcello, participant à une autre fête, l'homme a atteint son point de non retour, décadent et frisant le ridicule, il cherche par tout les moyens à continuer une soirée pourtant finie .

    spoiler: Comme un signe, une dernière main tendue pour le sauver, une jeune fille rencontrée plus tôt lui demande de venir la rejoindre mais celui-ci feignant de rien entendre préfère continuer sa route de l'autre côté vers ses hypothétiques amis et sa vie outrancière.
    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2013
    Le plus film le plus surestimé de Fellini, sans aucun doute !! Passé une première heure pas désagréable ou le très séduisant Mastroianni croise la très visuelle Anita Ekberg et surtout la très classe Anouk Aimée, le film s’enlise en deuxième heure dans un ennui profond. La faute à une totale absence de scénario ou d’enjeu, Fellini se reposant sur une longue série de saynètes balisant paresseusement les hauts et les bas de la société romaine chic et toc des années 60… Seule constante intéressante : la présence des paparazzis, véritables chasseurs de scoop et de baisers volés qui polluent ici les pérégrinations du chroniqueur mondain Mastroianni…
    Typi35
    Typi35

    49 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2013
    Une jolie peinture, ciblée sur une caste, comme on en voit beaucoup dans le cinéma. Fellini s'inspire de son entourage comme Tolstoï le faisait du sien pour Guerre et Paix, même si le réalisateur n'a bien sûr pas autant de talent. Mais peut-être Fellini a-t-il d'ailleurs trop tenu à faire un film accessible à tous, qui de fait manque de profondeur et dont les idées se répètent.
    Seul quelques passages éclairs et la dernière demi-heure sont virtuoses dans la psychologie des personnages, avec un personnage Steiner (rôle secondaire) très réussi, un peu comme le vieux poète dans Martin Eden de J. London.
    Brel disait : "je ne dis pas que la femme est méchante, je dis que l'homme est con"; cette phrase traduit à peu près la partie intéressante du film, celle qui laisse de côté les sarcasmes puérils sur une haute société italienne dont tout le monde aurait pu se moquer. Un intérêt uniquement dans l'agencement des personnages, le reste n'est pas exceptionnel.
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