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    La Dolce Vita
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    Oeuf4419
    Oeuf4419

    10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2024
    Décevant…Seule la photo est belle… Au tant La Strada peut toucher autant La Dolce Vita paraît superficielle avec un message peu clair.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 juillet 2009
    Anita Ekberg est envoutante, Mastroianni a la classe et Fellini est au sommet de son art. Magnifique.
    Marcello Di Castiglioncello
    Marcello Di Castiglioncello

    22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 novembre 2024
    La Dolce Vita est un chef-d’œuvre qui capte l’essence de Rome et des années 60 avec une élégance inégalée. À travers le parcours de Marcello, un journaliste désabusé en quête de sens, Fellini nous embarque dans un tourbillon de fêtes, de glamour, et de moments de vide existentiel. La fameuse scène avec Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi reste à couper le souffle, symbole parfait de la beauté et de la superficialité du monde que dépeint le film.

    Fellini filme cette décadence avec une poésie visuelle incroyable, mais aussi avec une pointe d’amertume. La Dolce Vita nous fascine autant qu’il nous interroge sur le sens de la vie et la quête de bonheur. C’est un classique qui, des décennies plus tard, continue de toucher, de captiver, et de faire réfléchir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 avril 2013
    Magnifique version restaurée de ce chef-d’œuvre incontestable, à voir et à revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 mars 2015
    Alors, évidemment, c'est en noir et blanc et ça plus de cinquante ans... Mais précisément, le cinéma, c'est un ensemble de styles, de préoccupations, de visions des choses qui s'enrichit de décennies en décennies. Peut-être faudrait-il parler de cinéma et de cinéma contemporain? Ce serait prétendre qu'on "faisait mieux avant". Ce n'est pas le but.
    Pourquoi ce film-ci, qui raconte l'histoire d'un jeune journaliste "à sensation", son quotidien lardé entre sa vie maritale mouvementée, ses "enquêtes" journalistiques dont il méprise lui-même le sens, ses soirées, ses nuits, ses petits matins dans lesquels il perd son identité, pourquoi s'agit-il d'un chef-d'oeuvre?
    Ce ne pourrait se limiter au jeu des acteurs, sensationnel, ou à l'oeil de la caméra, dont la mobilité suit le sujet, tantôt proche et intimiste, tantôt lointaine et comme objectiviste, suivant les scènes, avec une justesse désarmante. Ce ne pourrait se limiter non plus sur un scénario qui semble décousu, au point que la plupart des personnages qui gravitent autour de Marcello disparaissent d'une scène à l'autre. Ce scénario, qui est pourtant d'une précision somme toute remarquable: après tout, si l'on devait être suivi par une caméra, dans notre propre vie, nous ne serions pas non plus suivis par les mêmes personnages d'un jour à l'autre, surtout si nous avions une profession comme la sienne.
    Certes, le sujet est un peu démodé, la musique passée, le rythme abstrait, les décors et les lieux disparus aujourd'hui. Pourtant, ils parlent encore, ces endroits: la terrasse du restaurant près de laquelle on se gare den triple file, la plage et son petit restaurant, dans lequel Marcello flirte avec la petite serveuse qui reviendra à la toute fin du film pour tenter de le "sauver", la boîte de nuit où il emmène son père, la maison presque insalubre où il retrouve sa femme, la scène de la nuit finale, grotesque et vide... C'est une Rome multiple, à la limite entre le rêve de Fellini et la réalité toute brute, avec une vision fabuleuse, au centre du film, lorsque l'on retrouve l'épouse de l'écrivain qui vient de se suicider (et a fait bien pire encore), dans le décor d'une banlieue non-finie, parsemée d'immeubles perdus comme des ilôts au milieu de rien, où s'arrête le bus qu'attendent les paparazzi avides d'images intellectuellement obscènes: celles d'une mère et d'une femme qui ne sait pas encore qu'elle a tout perdu et que tente en vain d'abriter de ses collègues un Marcello effondré, mais qui se relèvera dans sa vanité presque aussitôt après.

    Et ces cinq dernières minutes... entre la raie géante, dont le regard semble être celui de Dieu, mort, qui juge les fêtards, et la gamine, ange de dernière minute, qui danse légèrement derrière un pathétique bras de mer, facile à franchir, cherchant à agripper le héros de sa déchéance, dans un pauvre sourire qui sait déjà que tout est consommé... Ah! Ce dernier geste de la main de Marcello...

    Je comprends que certains s'ennuient: ce film ne s'adresse pas à ceux qui viennent voir un film, mais à ceux qui s'interrogent sur le sens de tout ce que nous faisons sur Terre, puisque Dieu est mort...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    La dolce vita est un délice, tout comme La Strada ou Huit et demi.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 décembre 2019
    C'est un classique du cinéma, considéré par beaucoup comme un chef-d'œuvre, que je conseille à tout le monde de voir. On y trouve des scènes parmi les plus célèbres du cinéma, comme le bain de minuit dans la fontaine de Trevi entre Marcello Mastroianni et Anita Ekberg. C'est avant tout une œuvre artistique. Federico Fellini compose plusieurs tableaux qui sont autant de représentations des deux effigies de l'amour si chères aux italiens : l'Amor brave et l'Amor profano. Les personnages féminins tournoient autour du personnage éponyme de Marcello Mastroianni dans sa quête existentielle de l'amour. L'Amor brave est représentée par Maddalena (sa femme) dont il ne peut se séparer et l'Amor profano par les personnages de Fanny (sa maîtresse) et de Sylvia (l'actrice) qui l'inspire en lui jouant sa comédie. L'Amor eterno ou Amor sacro est quand à lui symbolisée par la jeune fille angélique (angelino) qui tente de ramener Marcello vers le chemin de la vertu. Le film n'a pas de réelle dynamique, il superpose des couches de couleurs comme dans une peinture, pour nous faire ressentir les émotions de l'époque : une société désabusée où sévit les excès et le vice, le caractère éphémère des choses, la peur de perdre ce qui nous est chère, la rédemption et le salut, la vertu, le fantasme, l'art, la douceur de vivre.
    Nakisa
    Nakisa

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2023
    Quand j'ai plongé dans "La Dolce Vita" (1960) de Federico Fellini, c'était comme être transporté dans le tumulte vibrant de la Rome des années 60. Les éclats de glamour et de festivités m'ont fasciné, mais ce qui m'a vraiment marqué, c'est l'exploration profonde des aspects sombres de l'âme humaine. À travers les yeux d'un journaliste à la recherche de sensations fortes et de vérité, j'ai été immergé dans la tourmente de la quête de célébrité, des relations fragiles et des questionnements existentiels.

    Je ne peux pas oublier la célèbre scène d'Anita Ekberg dans la fontaine de Trevi, une image qui semble crier : "Profite du moment présent." Le film nous incite à faire de même, à saisir les opportunités de la vie même lorsque tout semble confus et chaotique.

    Ces images emblématiques sont gravées dans ma mémoire, mais "La Dolce Vita" est bien plus qu'une série d'images frappantes. Il m'a fait réfléchir sur notre époque et nos aspirations. C'est une expérience cinématographique qui oscille entre l'excitation et la contemplation, offrant une perspective profonde sur la nature humaine. Si tu veux une dose d'éclat, de réflexion et de douceur de vivre à l'italienne, ce film est un incontournable.
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