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    La Dolce Vita
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    128 critiques spectateurs

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    teofoot29
    teofoot29

    90 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    Le maëstro Frederico Fellini a encore frappé avec La Dolce Vita, une des plus grandes réussites cinématographiques au monde, un chef d'oeuvre qui finit dans mon top 10. Quelle merveille et quelle beauté ! Le scénario est magnifique tout comme la très suculente Anita Ekberg, Marcello Mastroianni dégage un charme dévastateur au coeur d'une ambiance de folie, a voir absolument !
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mai 2013
    Film où rien ne se passe et dont le seul intérêt est la mise en avant des formes voluptueuses de la sculpturale Anita Ekberg. D'un ennui total.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 août 2012
    La dolce vita transcende l'inutilité inhérente des personnages jusqu'au concept même du film. D'après moi on ne fait pas de film seulement à partir d'une bonne idée, il faut raconter une histoire...Chose dont ne se soucie guère Fellini, puisque ci les scènes se succèdent sans véritablement s'impacter.
    Marcello, journaliste mondain, flirte pleinement avec les milieux bourgeois bohèmes, les belles femmes semblent toutes être passées dans ses bras, et il ne peut vraisemblablement pas se détacher de la frivolité des paillettes. Et pourtant, la "dure" réalité, caractérisé par certains personnages (une de ses maitresses, serveuse....), heurte épisodiquement Marcello, mais son obsession de la "belle vie"...
    Fellini filme magistralement des scènes d'une grande superficialité, l'esthétique au service de l'inutile .D'une durée considérable, sans fond, c'est ennuyeux comme peut l'être un de ses personnages. Apprécier ce film revient-il à adopter un positionnement semblable à celui de Marcello ? Mon avis est que l'auteur s'amuse autant des spectateurs criant au "chef-d'oeuvre" que de cette bourgeoisie décadente (certaine critiques du film l'illustre parfaitement).
    Haut perchée sur son piédestal factice, La Dolce Vita n'a d'intérêt que de nous rappeler les vices et les faiblesses humaines qui nuisent à l'intégrité de l'être.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 août 2013
    Partant d'une histoire un brin banale et sans grand rebondissement, F. Fellini en fait un grand film. Multipliant les récits, il s'en sert pour parler de beaucoup de choses (les rêves, la vie, la sexualité, l'adultère, le journalisme, les bourgeois, les nantis, les stars et le système en général), évidemment le film dure longtemps mais le temps passe très bien quand la critique de tout ce monde est fait avec maestrio, sensualité et grâce. Œuvre érotique pour l'époque, A. Ekberg est tellement charnel, F. Fellini s'offre la pudeur du corps pour l'époque et nous donne le reste avec sa mise en scène. C'est simple, voir un tel film c'est ce dire que le cinéma de maintenant a perdu une certaine magie. Le film ici n'est pas politique et ne traite pas d'un sujet sensible en fil rouge. Le génie du film est de suivre un homme qui désire être écrivain et de broder un ensemble de critiques envers une multitude de sujets autour de cette histoire. Ce qui donne au film une portée universelle et indémodable. Autrement dit, du grand cinéma.
    fade_away
    fade_away

    17 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 décembre 2008
    je ne me suis jamais autant emmerdé devant un film, ça n'en finit pas. les films modernes sont débiles, mais ils ont au moins le bon goût d'être courts. là, c'est pseudo-intellectuel et navrant
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 janvier 2017
    Du cinéma fellinien, du cinéma décousu sans queue ni tête qui se regarde dans la glace et qui ne rime à rien : du remplissage pendant des heures, de la parlotte pour ne rien dire, on dirait un film de déménageurs tellement ça meuble. L'élégant Mastroianni n'y peut rien et déblatère comme les autres tout en regardant la baleine se baigner dans la fontaine qui n'avait jamais connu un tel affront. Bref, un cloaque pour bobos Télérama et autres étudiants en histoire de l'art événementiel des compressions de César à droite en sortant de l'ascenseur. Ah j'allais oublier : la musique de Nino Rota est une torture pour les esgourdes.
    zinjero
    zinjero

    21 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 avril 2019
    La Dolce Vita ne vaut que pour quelques scénettes. Malheureusement, entre elles s'étirent d'interminables séquences sans aucun intérêt qui entraînent chez le spectateur bâillements et paupières closes. Trois heures d'ennui pour valider la place de ce lent métrage au catalogue des films surfaits.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 mai 2014
    Aaah Fellini... Federico Fellini.
    Cette année, je me suis permis de commencer mon cycle Cannes par la Palme d'Or 1960. Juste avant de commencer la critique de ce film, j'informe que la Palme de l'année suivante (1961) a été attribuée au surréaliste Luis Bunuel, le maître d'un cinéma inclassable, pour un autre film à scandale : "Viridiana".
    Pour revenir au film, "La Dolce Vita", film choc du Festival en cette année 1960, est à marquer au fer rouge dans l'Histoire du cinéma. Et ce, pour plusieurs raisons.
    D'abord, Fellini accuse le coup en empoignant dans son scénario plusieurs personnages superficiels qui ne montrent pas le fil conducteur de l'histoire. Au contraire, les personnages dépeints par les scénaristes se perdent dans les méandres scénaristiques que Fellini tente d'appuyer. Le scénario, l'histoire que nous raconte Federico, est chapeauté par Tullio Pinelli, un cador dans son domaine (il a débuté avec Federico puis continue pour Bolognini, Monicelli...). D'ailleurs, on sent dans ce domaine, qu'il arrive à pimenter de par des dialogues onctueusement acides, une part de nonchalance et d'inactivité de la bourgeoisie romaine. Je peux même parler de décadence puisque tous, que ce soit Marcello (Mastroianni), dont on suit les aventures, ou Steiner (Alain Cuny), ont un penchant pour une mort lente et certaine de chacune de leur société. Un peu dans la même veine que "Parfum de femme" de Dino Risi mais avec des dialogues encore plus crus. Et "Parfum..." est sorti 15 ans après "La Dolce Vita". En cela, je peux dire que Federico anticipait la Nouvelle Vague italienne en s'égarant du néo-réalisme italien entamé par Rossellini sur son "Rome, ville ouverte". De plus, Federico, également scénariste, s'appuie sur son expérience néo-réaliste pour donner un nouveau code aux tragi-comédies italiennes. Avant-gardiste réputé ("Rome...", "La strada"), il casse les conventions avec lesquelles il a débuté pour renouveler son cinéma. Tous mes chapeaux Fellini !! Toujours côté scénario (de Federico et Tullio), on sent une approche caustique de la ville de Rome qui se fait de plus en plus décadente au fur et à mesure que le film avance. Dès le début, Fellini s'affaire à une auto-dérision que nul autre scénariste-réalisateur ne se serait offert : un Christ transporté par hélicoptère. Ce qu'a sanctionné l’Église lors du Festival de Cannes (sans aucun doute !). Un très beau revers de la part d'un des plus grands metteurs en scène italien. Toutes mes félicitations Monsieur Fellini !
    Parlons ensuite musique pour l'ambiance qu'a voulu donner Federico. Nino Rota, fidèle compagnon du metteur en scène ("La strada", "Huit et demi", "Amarcord"), compose une musique des plus lancinantes. Alambiquée, elle se fait d'abord sage pour ensuite tomber dans des sons à la fois percutants, envoûtants et, à force, maniaques. En cela, Nino s'imprègne de Rome comme une ville où il ne fait pas bon vivre et où vivre se fait difficile. On peut noter la présence d'un futur compositeur qui est ici assistant de Nino Rota. Il s'agit du regretté Armando Trovajoli, alors au début de sa carrière. On le retrouvera sur le "Parfum..." de Risi notamment. Avec ces ambiances délétères au possible, Nino (et Armando !) brouillent les pistes pour mieux nous habituer à cette atmosphère un rien décontractée, libertaire et donc forcément malsain. Un peu le penchant italien de Bunuel sans pour autant atteindre la misogynie angoissante et perpétuelle d'un Bunuel au meilleur de sa forme.
    Intéressons nous maintenant au casting. Mastroianni (père de Chiara. Avec ce rôle de journaliste épris des femmes, il acquiert une aura internationale) fait de "La Dolce Vita" un moment d'anthologie de part sa classe à l'italienne. Surtout avec le duo qu'il forme avec Anita Ekberg ("Guerre et paix", "Sept fois femme" avec Shirley MacLaine, "Intervista" (toujours de maître Fellini !)...), ravissante, resplendissante et glamoureuse à souhait... Et d'évoquer, quand même !, la scène mythique sous la fontaine de Trévi, devenue une scène d'anthologie avec le temps. Une scène incontournable aussi du septième art. Merci Anita et Marcello !! Déjà, ils assurent à eux deux la vision de ce Fellini aux accents dramatiques. Accents qui suivent l'air du temps : les 60's. Suivent Anouk Aimée (tout juste avant la consécration lelouchienne ("Un homme et une femme")), Alain Cuny (consacré par Carné : "Les visiteurs du soir"), Yvonne Furneaux (revue chez Autant-Lara ("Le meurtrier"...)) et Magali Noël (qui fait un début remarqué dans "Du rififi chez les hommes" de Jules Dassin) pour ne citer qu'eux.
    Le parachèvement, c'est bien sûr la mise en scène de Monsieur Federico Fellini qui fait des allers-retours entre le spectateur (le regard de Mastroianni) et la scène. Ces va-et-vient ont l'art d'apaiser, de rendre le récit limpide, mais aussi d'ennuyer. Oui, Fellini ennuie mais innove en même temps, n'en déplaise à son N&B stylisé, pur, rafraichissant et toujours intact 54 ans après. C'est aussi le style fellinien que de s’approprier un personnage (Mastroianni) pour le recentrer dans son milieu. Et ce milieu est transcendé par le personnage principal qui a l'art de connaître tous les recoins de la capitale italienne. Sans doute un autre point de la mise en scène du maestro Fellini dans cet antagonisme.
    Pour conclure, "La Dolce Vita" se doit d'être vue par tout cinéphile qui se respecte, et surtout, pour une culture cinématographique complète. A voir, donc, pour la célèbre scène à scandale immortalisée par un Fellini au diapason.
    Il s'agissait du premier film que je voyais de Monsieur Fellini, et ce ne sera pas le dernier.
    Spectateurs, passage obligatoire pour tous paparazzi !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 novembre 2012
    Une réalisation splendide comme d'habitude chez Fellini. Des dialogues somptueux avec beaucoup de belles phrases sur les femmes, la vie, ... . Des interprètes excellents, un film pertinent sur le journalisme (et les paparazzis) et les femmes. Film très moderne et pourtant bien intégré dans son époque, mais la dernière demi heure semble longue tout de même.
    willy holden
    willy holden

    3 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 février 2021
    Film d'une nullité abyssale qui nous présente une galerie de personnages prétentieux et idiots. C'est rassurant de voir qu'on n'est pas le seul à trouver ce "chef d'oeuvre" parfaitement inutile et pénible.
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juillet 2021
    Dans la série je découvre les classiques aujourd’hui la Dolce Vita qui ne rentrera pas dans les miens. Voulant dénoncer la passivité et la superficialité j’ai trouvé que Fellini par le style de son film tombait dans cette superficialité en faisant de belles scènes mais pas toujours très utiles à mon goût. J’ai trouvé qu’il y avait aussi beaucoup de superflu dans les trois heures que durent le film et dont le cœur aurait été tout aussi explicite sans de nombreuses scènes qui m’ont paru inutiles ou redondantes. Reste la classe de Marcelo Mastroianni parfait dans son rôle de dandy qui passe à côté de sa vie et de son talent par oisiveté. J’ai vu de très belles choses dans ce film mais je ne peux pas dire que j’ai aimé.
    Redzing
    Redzing

    1 145 abonnés 4 494 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2015
    Jadis aspirant écrivain, Marcello est devenu journaliste people, et passe son temps à fréquenter les soirées mondaines de Rome. "La Dolce Vita" connut un immense succès critique en 1960, marqua un tournant dans la carrière de Fellini, et popularisa Mastroianni, tout en s'attirant les fureurs de certains censeurs. Vu d'aujourd'hui, le film est très sage, mais il demeure techniquement excellent. Le découpage en sketchs, formant une série d'épisodes ayant pour fil conducteur le protagoniste, est original, et renvoie à certaines idées intéressantes (certains y voient 7 épisodes, comme les 7 pêchés capitaux). La photographie est très belle, avec un noir et blanc très clair, bien utilisé dans des plans larges, et notamment dans la célèbre scène de la fontaine de Trévi. Les décors et costumes sont également de qualité, et Marcello Mastroianni est ultra charismatique, avec son costume, ses lunettes de soleil nocturne, et sa classe insolente. Ce personnage qui se déteste est en permanence tenté, et préfèrera embrasser la débauche et la superficialité plutôt que ses aspirations initiales. "La Dolce Vita" tacle ainsi le milieu mondain décadent qui s'autodétruit, mais aussi l'élite intellectuelle, qui s'enferme dans ses réflexions déconnectées de la réalité. Des idées bienvenues pour un ensemble malheureusement très long (3 heures sans réelle intrigue). Ainsi, "La Dolce Vita" est indéniablement un grand classique du cinéma italien, mais il risque d'ennuyer beaucoup de spectateurs.
    Acidus
    Acidus

    735 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2014
    Classique parmi les classiques tant du cinéma italien que du cinéma tout court, "La Dolce Vita" ne m'a cependant pas complètement emballé. Composé d'historiettes, de sketchs, le long métrage souffre de nombreuses irrégularités. Effectivement, si certaines de ces petites histoires sont purement géniales, d'autres ne présentent pas les mêmes qualités et s'avèrent inutiles et ennuyeuses. En revanche, on ne peut remettre en cause le génie de la mise en scène de Fellini qui soigne chacun de ses plans et tire le meilleur de ses acteurs. De par son rayonnement dans le cinéma et son influence, on ne peut passer à côté de "La Dolce Vita".
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    143 abonnés 2 431 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juillet 2021
    Prendre pour sujet des personnages creux et en faire un parangon de la douceur de vivre ? Si ce n'est la réalisation impeccable, le film est creux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 juin 2011
    Splendeurs et décadences de la Rome des années 60, antique capitale du monde aujourd'hui pandémonium pailletées où évolue d'un œil observateur, traqueur, à la fois félin et indolemment séduisant , le journaliste mondain Marcello. Comment résumer la douceur de vivre felinienne ? La chose nous est impossible à vrai dire. Aussi inutile que de définir ce sentiment singulier s'emparant de notre être aux instants bénis de nos existences si terne en temps normal. Successions de tableau que l'on pourrait juger inégal mais selon moi, toujours véritablement fascinant, explorations d'un monde tout ce qu'il y a de plus moderne et libéral sur le plan moral où la passion friable et l'inertie anesthésiante d'une existence voué au plaisirs de l'intellect
    ( relaté à travers le cas de Steiner ) laisse place à la légèreté et aux agapes d'une société aristocratique aux mœurs décrépis. Felinni se montre tel qu'il est et ce pour notre plus grand plaisir ! Génial, démiurge, créateur d'un monde essoufflé mais constamment régénéré par la boisson de Dyonisos. 2h50 de pur chef d’œuvre pour lesquels les mots me manquent. Felinni ne raconte pas d'histoire, félinni montre la vie, un flux continu d'événements esthétiquement sublimé par la folie des grandeur et la brillance du Maestro. Une leçon d'audace pour tous les cinéastes qui lui succèderont. A voir avant de mourir.
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