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Votre avis sur Un Idiot à Paris ?
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Un vrai petit chef d'oeuvre méconnu, dans lequel Jean Lefebvre n'en fait pas des tonnes, au contraire il joue avec justesse. Danny Carel est adorable, et B. Blier fait un numéro d'anthologie. certains dialogues sont mémorables. Il ya qq chose de magique dans ce film. Certains le trouveront ringard ou même niais, mais ce n'est pas du tout le cas.
Film super sympathique et drôle avec de bons acteurs,on rit souvent ! On passe un très bon moment ! Je mettrais à ce film un 18/20.
Une comédie drôle, attachante et tendre. Tous les acteurs offrent une bonne interprétation (Blier, Dalban, Carrel...). La musique est très belle, le tout sans vulgarité, voilà une comédie vraiment agréable qu'on ne fait plus de nos jours. A redécouvrir !
Plat, long, pas marrant, des dialogues benêts... un mauvais nanar, qu'on ne veut même pas ressortir... jamais !
Je ne sais pas comment je suis arrivé vers ce film, mais je suis sous le charme de cette histoire qui peut paraître désuète, mais qui ne manque pas de bon sens.
Sous couvert d'une comédie simplette, il se dégage une ambiance extraordinaire, une histoire banale, servie par des dialogues qui ont du caractère.
Il y a de la vie dans ces mots, de l'argot, des métaphores, on en prends plein les oreilles, et les zygomatiques travaillent de bon coeur.
Avoir des mots, c'est bien, mais des acteurs qui puissent leur rendre hommage, c'est mieux, et à ce niveau, rien à dire, tout le monde, de la tête d'affiche au personnage qui n'a qu'une ligne de texte sont bien calé et donne le bon rythme pour que la magie prenne vie.
Si comme moi, vous avez loupé ce film parce que pas né quand il est sorti, et trop jeune pour vous intérésser quand il était diffusé à la télé, plongez tête baissée dedans, vous allez peut-être avoir une révélation qui vous incitera à découvrir tout un pan du cinéma français qu'on ne nous présente plus parce que jugé trop vieux par nos programmeurs télévisés!
Sous couvert d'une comédie simplette, il se dégage une ambiance extraordinaire, une histoire banale, servie par des dialogues qui ont du caractère.
Il y a de la vie dans ces mots, de l'argot, des métaphores, on en prends plein les oreilles, et les zygomatiques travaillent de bon coeur.
Avoir des mots, c'est bien, mais des acteurs qui puissent leur rendre hommage, c'est mieux, et à ce niveau, rien à dire, tout le monde, de la tête d'affiche au personnage qui n'a qu'une ligne de texte sont bien calé et donne le bon rythme pour que la magie prenne vie.
Si comme moi, vous avez loupé ce film parce que pas né quand il est sorti, et trop jeune pour vous intérésser quand il était diffusé à la télé, plongez tête baissée dedans, vous allez peut-être avoir une révélation qui vous incitera à découvrir tout un pan du cinéma français qu'on ne nous présente plus parce que jugé trop vieux par nos programmeurs télévisés!
un film comme seul le cinéma d'avant pouvais nous les offrir. un film mignon touchant et simple sans aucune prétention et vulgarité. Un film que tous le monde peux voir selon sa classe social. un film qui nous montre Jean Lefèvre sous un autre jour plus touchant meme si il avais déjà incarner des personnages un peu idiot comme on dit. Certes ce n est pas un grand film mais c'est un film qui nous touche et qui montre que le monde serait peut être meilleur si on est simplet car on plus innocent et le que le monde et plus beau magnifique etc . Et je dit merci pour ce film touchant et aussi drole quelque fois.
Tout dans ce film respire la bienveillance sans omettre un regard acerbe sur les travers de la société. Jean Lefebvre, dans son meilleur rôle au cinéma incarne "Candide au pays des horribles" et découvre l'amour, divinement incarné par une Dany Carrel magnifique et touchante.. Tous les seconds rôles (un vrai festival) sont savoureux et bien sentis, depuis Robert Dalban, en passant par Bernard Blier, André Pousse (ignoble), Yves Robert (génial), Evrard, Paul Preboist, Jean Carmet, etc, etc... Le film est bien entendu "à tiroirs" et bien plus profond, voire prophétique à bien des aspect sans jamais tomber dans la noirceur. Bien au contraire, on le regarde avec tendresse, parfois même un début de larme à l’œil, avec la nostalgie des choses qu'on n'a jamais connues et donc avec une espèce de bonheur mélancolique. On y rit franchement aussi, entre autres quand on voit Blier faire son énorme numéro d'ultra-libéral sans pitié avec le petit personnel, mais au cœur d’artichaut lorsqu'il s'agit de défendre "ceux de l’assistance". La scène du commisariat où l'on découvre un Pierre Richard jeune, dans son premier rôle crédité, est particulièrement savoureuse ! Sans oublier Paul Le Person dans un "double rôle" superbe. Bref, un film culte.
Une comédie française sympathique au scénario léger dont la grande force réside dans les dialogues de Michel Audiard (une fois de plus). Le casting est pas mal, la belle Dany Carrel est très séduisante et son personnage est sympathique, Jean Lefebvre joue une fois de plus un type simple d’esprit et ça lui va bien, même si le jeu d‘acteur n‘est pas irréprochable. Le très bon Bernard Blier, ici en patron tyrannique n’apparaît pas énormément à l’écran, mais l’on retient toutes ses scènes, la première particulièrement qui est très drôle. Le reste des acteurs sont des têtes connues, Pierre Richard, Jean Carmet, Robert Dalban, Paul Préboist ou encore André Pousse en chauffeur de taxi, une des meilleures scènes du film. Sympathique pour toutes ces raisons, sans plus.
« Tu sais, des gars comme toi, c’est une attraction, on devrait les encadrer. »
Incontournable du cinéma populaire des années ‘60/’70, Un Idiot à Paris doit énormément à la qualité de jeu de Jean Lefèvre, pourtant souvent cantonné dans des seconds rôles stéréotypés et, soyons honnêtes, mal interprétés. Il faut croire que jouer un idiot fut le rôle de sa vie. Quoi qu’il en soit, on retrouve, avec cette adaptation d’un roman de René Fallet (Le Triporteur, Le Beaujolais Nouveau est Arrivé, Les Vieux de la Vieille, La Soupe aux Choux), les dialogues et les acteurs habitués des audiardises (Bernard Blier, Robert Dalban, Jean Carmet, André Pousse). Notons que c’est aussi la première apparition officielle de Pierre Richard.
Ce qui frappe le plus dans cette œuvre de Serge Korber, réalisateur hétéroclite, c’est sans aucun doute le décalage entre un bredin, un idiot de la campagne, et l’effervescence de la capitale, l’authenticité du premier et la vacuité de la seconde, le tout admirablement mis en lumière par la fabuleuse Dany Carrel mais aussi dans le monologue de Marcel Pitou, l’évadé des HLM de l’Haÿ-les-Roses (Yves Robert).
C’est enfin une merveilleuse histoire d’amour, tendre et poétique.
Bref, Un Idiot à Paris reste un chef d’oeuvre indépassable.
Incontournable du cinéma populaire des années ‘60/’70, Un Idiot à Paris doit énormément à la qualité de jeu de Jean Lefèvre, pourtant souvent cantonné dans des seconds rôles stéréotypés et, soyons honnêtes, mal interprétés. Il faut croire que jouer un idiot fut le rôle de sa vie. Quoi qu’il en soit, on retrouve, avec cette adaptation d’un roman de René Fallet (Le Triporteur, Le Beaujolais Nouveau est Arrivé, Les Vieux de la Vieille, La Soupe aux Choux), les dialogues et les acteurs habitués des audiardises (Bernard Blier, Robert Dalban, Jean Carmet, André Pousse). Notons que c’est aussi la première apparition officielle de Pierre Richard.
Ce qui frappe le plus dans cette œuvre de Serge Korber, réalisateur hétéroclite, c’est sans aucun doute le décalage entre un bredin, un idiot de la campagne, et l’effervescence de la capitale, l’authenticité du premier et la vacuité de la seconde, le tout admirablement mis en lumière par la fabuleuse Dany Carrel mais aussi dans le monologue de Marcel Pitou, l’évadé des HLM de l’Haÿ-les-Roses (Yves Robert).
C’est enfin une merveilleuse histoire d’amour, tendre et poétique.
Bref, Un Idiot à Paris reste un chef d’oeuvre indépassable.
Serge Korber, auteur entre autres du pire film de De Funès, et de quelques chefs d'oeuvre genre Les Bidochons ou un ou deux Charlots, nous offre ici une fable naïve et simplette sur un idiot du village qui se retrouve par hasard à Paris, pris sous son aile par un businessman et qui attendrit contre toute attente une prostituée lasse de sa vie. Le film a certes vieilli mais cela n'excuse en rien son manque de rythme, sa niaiserie, et le fardeau de se faner Jean Lefebvre en premier rôle durant une heure trente. A voir pour les nostalgiques de l'époque, ou les amateurs de film ruraux. A oublier sinon, tant la comédie française compte de petits bijoux de drôlerie, dont Un idiot à Paris ne fait pas partie.
Afin de redécouvrir le vieux Paris, je me suis laissé tenté par ce film. A tord, car il ne m'a pas vraiment plu et les images d'archive sont plutôt décevantes. Un film d'une autre époque. ------Août 2013------
Davantage de grands comiques français que de bonnes idées figurent dans ce film.
Comme ça vieillit pas ! C'est pas drôle, les personnages ne nous accrochent pas, les dialogues sont ici presque tous sans saveur malgré qu'ils soient du Audiard... Un film qu'on a peine à voir, beaucoup moins à oublier !
Film bien pauvre, tout semble avoir été ficelé en très peu de temps à des fins alimentaire.
Joli petit film, d'une grande tendresse, très poétique, avec un Jean Lefebvre très bien entouré, notamment par la belle et talentueuse Dany Carrel. Film franchouillard de 1967 réconfortant et agréable à visionner.
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