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    Harvey
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    Plume231
    Plume231

    3 884 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2011
    En voilà un film qui ne ressemble à aucun autre. Que dire de cette oeuvre qui peut être apparenter sans problème à une fable ou à un conte philosophique ??? Ben d'abord tout simplement que Josephine Hull après nous avoir donné une interprétation délicieuse dans "Arsenic et vieilles dentelles" récidive avec autant de talent ici, que James Stewart est vraiment un des comédiens les plus extraordinaires qui ait existé et qui joue ce rôle de gentil garçon faussement naïf avec une conviction impressionnante, et que le reste de la distribution n'est pas non plus en reste. Ensuite, loin d'être contrairement aux apparences un film qui délivre un discours lénifiant ou naïf, c'est une oeuvre qui est une critique, sous couvert de légèreté et de poésie, assez noire d'une Société noyée et quasiment lobotomisée sous les conventions. Alors au lieu de se laisser totalement noyer et lobotomiser, il ne devrait pas être interdit d'avoir son grain de folie, d'autant plus inoffensif, même si ce dernier a la forme imaginaire (ou pas ?) d'un lapin géant qui s'appelle Harvey. Tout le monde devrait avoir son "Harvey"...
    willycopresto
    willycopresto

    130 abonnés 1 352 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    "Harvey" (1950) Arte le 07.11.2016

    On se demande ce qui a bien pu pousser Arte à ressortir ce navet du cul-de-basse- fosse dans lequel il croupissait, assez logiquement oublié de la plupart. Il est vrai à une heure de faible écoute : dieu (et Arte) merci !
    C'est absolument, épouvantablement tarte et montre à quel point le cinéma US des années 50 était devenu décadent.Jugez du niveau intellectuel : un mec se ballade avec en permanence à ses côtés un lapin géant imaginaire qui a droit à tous ses égards ! A des années-lumière d'être aussi marrant que le Bug's Bunny du dessin animé, et rongeant son éternelle carotte. Passionnant, non ? Mais ça ne s'arrête pas là car l'histoire transite par une maison de fous. Ce qui tombe plutôt bien pour cette histoire de mabouls, car dans l'asile en question, on confond malades et bien-portants... Pour ceux qui n'auraient pas compris ( et on les comprend) on garde les gens normaux, et on relâche ceux qui mériteraient la camisole. Bref, c'est difficilement supportable pendant 105 mn et on ne tient le coup que parce qu'il y a James Stewart dans le rôle du maître-lapin, lequel s'était vu attribuer un Oscar pour ce rôle ! (James, pas le lapin) Ce qui confirme bien tout le mal que je disais du cinéma US de l'époque : le choix était probablement très limité !
    Pour ceux qui aiment le lapin ! Je ne le digère pas quant à moi, et celui-là moins que les autres !
    willycopresto
    Julien D
    Julien D

    1 197 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2014
    La pièce de Mary Chase ayant connu un grand succès à Broadway, il sera plusieurs fois adapté au cinéma au point de faire de son personnage invisible, le fameux Harvey, une figure populaire de la culture américaine pour incarner les troubles mentaux hallucinogènes (il sera cité dans de nombreux films, dont Un homme d'exception, Roger Rabbit mais aussi Donnie Darko où le choix du lapin géant en guise de créature imaginaire n'est en rien anodin). La première, et incontestablement meilleure, de ses adaptations est signée par Henry Koster et profite de la présence d’acteurs reprenant leurs rôles après les avoir interpréter sur les planches (dont Josephine Hull qui obtint le Golden Globe du meilleur second rôle féminin) mais aussi de James Stewart qui –c’est un pléonasme- excelle dans la peau de ce brave garçon dont la présence de son ami imaginaire devient un véritable problème de son entourage. Cette fable fantastique et humaniste, qui entre les mains de Capra aurait incontestablement été l'un des plus beaux films de l'histoire du cinéma, parvient tout de même, malgré le classicisme de sa mise en scène et le manque de rythme de la seconde partie, à être à la foistrès drôle quand , dans la première partie essentiellement, il joue sur le pouvoir de l'invisible à l'écran mais aussi fataliste dans sa dénonciation acerbe de la façon qu’a la société de rejeter de façon méprisante les personnes qu'elle juge « aliénés », aussi inoffensifs soient-ils.
    Lotorski
    Lotorski

    17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 octobre 2009
    Ce film contient quelques bons moments d'humour et donne matière à réflexion. Le jeu des acteurs est très bon. Il ne manque à mon sens que quelques gags qui vous fasse éclater de rire.
    Thibault F.
    Thibault F.

    52 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 juin 2017
    Film étonnant pour l'époque. Les années 50 flirtent avec une certaine volonté de rationaliser les éléments du monde afin d'en comprendre les mystères et de combler les inconnus. Harvey est l'histoire d'un type lunaire, hors-du-commun, développant une relation très intime avec un lapin imaginaire devenu son ami. Invisible aux yeux de tous, envahissant pour son entourage d'un certain rang de la société, les aventures de Elwood Dowd sont formidablement interprété par James Stewart, méconnaissable et prouvant - une nouvelle fois - son talent de comédien hors-paire. Ce sera d'ailleurs le seul gros élément en la faveur de ce film. Henry Koster propose une histoire théâtrale où une mosaïque de personnage gravite autour d'Elwood et de son lapin imaginaire. Le problème réside dans le fait que chaque personnage ne parvient pas à dégager une personnalité suffisament forte pour parvenir à s'imposer dans les scènes qui, par d'ailleurs, sont ultra-convenues et soporifiques. Peu d'enjeux, beaucoup de dialogue à tiroir sans grande profondeur ni finesse, font de Harvey, un essai non abouti. Il y avait tellement moyen de proposer quelque chose de plus féerique où dualisme entre science/foi, libre pensée/regard de la société pouvait être des thématiques engagées. Ce ne sera guère le cas dans cette fable désuète, sans grande envergue et ambiance. Bref, Harvey n'est pas la hauteur.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2018
    Le "Donnie Darko" des annèes 50! Fort du succès à Broadway, la transposition de la pièce de Mary Chase au cinèma est une franche rèussite! James Stewart, accompagnè en permanence de ce lapin gèant de 1m90 est gènial de bout en bout! Un film combinant astucieusement l'humour et l'émotion avec un Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour Josephine Hull en vieille soeur bourgeoise et d'une ravissante Peggy Dow qui ne fera malheureusement pas une grande carrière au cinèma! Un très joli classique qui se regarde avec un plaisir nostalgique et enfantin...
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2016
    Ce film assez peu connu en France est pourtant un film culte au Etats-Unis, une fable dans la veine de "La vie est belle" (1946) de Franck Capra déjà avec James Stewart. D'ailleurs les points communs entre Capra, Stewart et ce film sont nombreux. On suit donc Elwood P. Dowd, interprété par James Stewart impeccable en bourgeois philanthrope et bon que certains vont plutôt juger comme un simple benêt avec une araignée au plafond. Ce film reste un très beau et très bon film, trop inoffensif peut-être...
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 janvier 2023
    Harvey, un ami qui vous veut du bien !
    Une comédie sympathique et attachante, carburant à la folie douce mais manquant d’étincelle, porté par un James Stewart attendrissant.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 septembre 2018
    J'ai vu un film... qui traite de la folie douce qui anime les gens et qui les rend bien plus sympathiques. Une grande partie de ce film m'a profondément ennuyé, et les voix du doublage en français sont exaspérantes. A tel point que j'ai failli renoncer... Puis la magie a opéré. James Stewart est vraiment touchant, émouvant, crédible dans ce personnage de de "doux-dingue" avec sa logique à lui, et ses visions à lui qu'on a envie de partager. On revoit les standards de notre société où tous les comportements se doivent, pour être rassurants, d'être uniformisés... Mais là, point du tout. On se laisse aller à glisser vers cette douceur, cette tendresse d'une personnage touchant pour une créature imaginaire, qui prend son existence au sérieux... La fin m'a ému car on se dit que le monde pourrait être plus doux si cette douceur se cultivait, au prix d'un peu d'imagination...
    CH1218
    CH1218

    199 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2024
    Considéré comme un film culte aux Etats-Unis, l’objet n’a pas vraiment le même statut de ce côté de l’Atlantique. Peu connu sous nos latitudes, l’étonnant « Harvey » doit beaucoup à l’interprétation naïvement perchée de James Steward ainsi qu’à celle de Joséphine Hull. Perso, j’ai trouvé cette fable légère empreinte d’une douce petite folie plutôt sympa.
    Akamaru
    Akamaru

    3 092 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2012
    "Harvey"(1950) ou l'histoire d'un gentil garçon,assez simple d'esprit,qui a un ami imaginaire(un lapin géant de 2m03)et qui embarrasse tout le monde avec.Un film assez insolite,qui permet à James Stewart d'offrir une nouvell interprétation de haut vol,toute en proximité et prévenance,qu'il parle dans le vide,à sa soeur,ou des badauds(qu'il invite constamment à dîner).Sous couvert d'une comédie loufoque,c'est plutôt à une satire à laquelle on a à faire.Henry Koster critique une société uniformisée,où il est interdit de se comporter différemment de la norme,sous peine de "déranger".Ce qui eétait encore plus flagrant à l'aube des années 50.Dès lors,peu importe que le rêveur en question soit inoffensif ou le plus attachant des hôtes.Une belle hypocrisie soulevée.Si c'est une solution pour pallier à sa solitude ou à ses manques affectifs,alors tout le monde devrait avoir son Harvey.Pour le reste,la mise en scène est très quelconque et on doit se coltiner une Joséphine Hull horripilante en rombière qui ne pense qu'à sa vie mondaine.Et le final est bien convenu.Dommage.
    Maqroll
    Maqroll

    158 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 août 2011
    Une idée originale et une très bonne première moitié pour ce film insolite et devenu culte. James Stewart est comme toujours excellent dans son rôle d’illuminé attardé dans une enfance peuplée de rêves. Pourtant, au milieu du récit, le ton se fait plus lourd et l’histoire se met à tourner en rond, comme si l’auteur avait du mal à pousser son propos au bout de sa pensée. La fin est loufoque et perd de sa force caustique, la satire se faisant inoffensive… Dommage !
    blacktide
    blacktide

    58 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 septembre 2016
    Happiness Therapy

    Ah, mon vieux, les mirages existent. Un verre, deux verres et puis hop, tout n’est qu’illusion. Échappatoire à une réalité compromise par le manque de vie. Vivre, c’est être confronté à l’ivresse de vie,…ah l’ivresse, source d’un bonheur momentané. Ce n’est pas la Gueule d’Amour à côté de moi qui dira le contraire. Lui, il rêve de voyages, d’un retour en arrière, sursaut nostalgique dans la monotonie de son existence. Trinquer pour s’égarer dans l’emphase des souvenirs, seule consolation et fulgurance au laisser-aller de l’homme, voilà notre finalité : nous divaguons tous sur les bords du fleuve Yang-tsé-Kiang et de sa luxuriante nature, nous avons besoin de décrocher de cette terne réalité pour dépasser notre condition. L’alcool, c’est la promesse d’une grande évasion sous couvert d’une grande illusion mais à vrai dire c’est l’état d’esprit de l’ivrogne qui transcende sa perception du nécessaire. Son détachement frivole lui permet de vivre le présent sans considération pour l’avenir, juste accompagné de sa joyeuse rêverie. L’alcoolique serait-il un humaniste ? James Stewart l’est du moins à travers l’allégresse de ses rôles, et ce n’est pas un p’tit verre de bisounours qui t’empêchera de jubiler devant Harvey.

    Harvey est en chacun d’entre nous. C’est la face positive de ta face négative, c’est le Yin de ton Yang si tu veux. Harvey c’est aussi un état d’esprit qui exhorte un bonheur idéalisé, un hymne à dépasser les conventions pour s’affirmer en hédoniste, une sorte d’invitation à nouer des liens à l’heure où la société s’individualise. Harvey, c’est la petite part de générosité qu’il reste en nous, cette part qui fait de toi un être humain capable d’humanité. Mais Harvey, c’est avant tout un acteur, James Stewart, le seul, l’unique susceptible d’élever la bonté à un niveau universel sans tomber dans une niaiserie dégoulinante de bons sentiments. Parce que le bonhomme sait scotcher l’attention de son spectateur. Sans Indiscrétions, qui n’est jamais tombé sous le charme de ce Mr. Smith au grand cœur ? Tout est une question d’interprétation en somme et James Stewart apparaît comme le centre moteur de Harvey. Rien qu’à travers ce monologue émotionnellement percutant à la lumière de l’arrière bar, Stewart s’empare de notre âme. Un narrateur capable de nous éblouir à la vue d’une fleur qui se fane. Une lueur d’espoir germe et on se rêve désengagé de la société, faisant face aux larges horizons de la rencontre, du voyage et de l’émerveillement. « Oublier notre misère », voilà l’objectif d’Harvey, tout est une question de beauté, d’humanité et de générosité, une sorte d’ersatz de La vie est belle en somme.

    « Oh, every day is a beautiful day. »

    A quoi bon rechercher une finalité ou une rationalité dans une chose qui ne peut s’apprécier qu’à travers son excentricité ? La magie d’Harvey repose en effet sur son ambiguïté constante à soupçonner l’existence de ce lapin géant. Cette ambivalence conduit à alimenter le schéma classique de la screwball comedy, basée sur d’interminables plaisanteries, chassé-croisé au service de l’optimisme populiste. Harvey semble même éviter toute leçon de civisme ; certains y verront pourtant une certaine critique de la bourgeoisie : à trop vouloir s’opposer à la marginalité d’Elwood P. Dowd, sa sœur, parfaite aristocrate, se retrouve – malencontreusement – enfermée en psychiatrie, une sorte de renversement des classes elliptique, même s’il s’agit d’un approfondissement pour un film sûrement bien loin de toute considération marxiste. Harvey pose néanmoins un raisonnement philosophique, celui d’un idéal de l’imagination, d’un bonheur basé sur le Carpe Diem (petite pensée pour le professeur Keating) où la raison n’a pas sa place. Nous ne pouvons obtenir réelle satisfaction qu’en se laissant guider par l’irréel, des fantasmes aux espérances. Mais Harvey est avant tout un hymne à la bonhomie, à l’affabilité, une ouverture d’esprit privilégiant autrui à l’amour-propre, symbole d’une unité utopique compromise par les convoitises de chaque homme.

    "Il y a des années, ma mère me disait : « Elwood - elle m'appelait toujours Elwood - dans ce monde, pour réussir dans la vie, tu dois être ou très malin, ou très gentil. » Pendant des années, j'ai été malin. Aujourd'hui, je recommande la gentillesse."

    Rien de tel qu’une comédie humaniste pour redonner foi en la mutualité. En dépit d’une réalisation académique, Harvey s’imprègne d’une tendresse épidémique proche du sentimentalisme familial adulé par Capra. Et bizarrement, John Ford lui aussi n’est jamais très loin, l’atmosphère d’Harvey transparaît dans les derniers mots de Stagecoach, entre ironie et bonté infinie :

    -Doc, I'll buy you a drink.
    -Just one.

    Harvey inspire autant qu’il distrait. Il reflète à la fois nos désirs et nos craintes, incite à élargir notre microcosme et à profiter de la vie même quand celle-ci peut paraître infortunée. Elwood P. Dowd, c’est l’homme qu’on rêve secrètement d’être mais qui ne peut se matérialiser, tempéré par une société indifférente et des bornes de conformisme à respecter. Si Harvey s’affirme comme un fleuron de sincérité, les lauriers reviennent à James Stewart (et à l’éblouissante Peggy Dow), étoile affectée et attachante d’une fiction séduisante. Et malgré toute la haine (ou non) que vous pouvez porter à ce genre de comédie, un seul mot restera sur vos lèvres : Harvey… Bon, sers-nous trois verres Charlie s’il te plaît, un Picon-bière pour Jean et moi, et une bonne ration d’Harvey pour toi lecteur.

    Have you met Harvey?
    Freaks101
    Freaks101

    147 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2012
    Adaptation d’une pièce à succès de Mary Chase, « Harvey » (1950) est un des films préférés de James Stewart, et pour cause. Ce personnage de doux dingue affublé d’un ami imaginaire (un lapin de 1m90 nommé Harvey) prête à la performance d’acteur. C’est donc ce qu’on retiendra en premier lieu, bien avant la mise en scène correcte mais conventionnelle du sympathique Henry Koster. Pour l’anecdote, il est fait référence à ce film dans « Roger Rabbit » (« Dit bonjour… Harvey ! »).
    A y regarder de plus prêt la trame pourrait être celle d’un drame, avec ce personnage qui sombre dans l’alcoolisme et la folie après la mort de sa mère. Mais le ton est résolument optimiste, comme dans beaucoup de production des années 50. L’optimisme et la loufoquerie du héros finissent même par contaminer les autres protagonistes.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    194 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2018
    Harvey est une comédie plutôt sympathique.
    James Stewart est très drôle, il joue parfaitement le schizophrène. Certains quiproquos sont intéressants et certaines lignes dialogues sont lunaires.
    Josephine Hull a elle aussi un véritable potentiel comique, mais c'est surtout sur James Stewart que repose l'humour du film.
    En revanche, je ne suis pas vraiment entré dans la folie du film.
    spoiler: La fin est originale (en faisant le choix de rendre réel le personnage fictif d'Harvey
    ).
    Ça se regarde sans déplaisir (même ce n'est pas forcément la meilleure comédie de la décennie).
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