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L'archétype du drame romantique. C'est un bonbon, parfaitement reconstitué et mis en lumière, les jeunes premiers (Alain et Romy) sont magnifiques et à la fin, ce dont on a envie, c'est juste d'interrompre le film et de changer pour un happy end.
C'est à l'eau de rose, on plonge dans les films d'époque où les personnages ont des côtés très futiles (autour de l'amour) alors qu'il y a la guerre, des horreurs au même moment dans leur société. Je me suis laissée porter par tant de légèreté et de naïveté ! Ca a son charme après tout !
3,2/5
3,2/5
C'est pour Romy Schneider et Alain Delon que le film vaut le coup d'oeil car l'histoire est désuète et peu originale.
Un bien joli film qui est le remake de libéleil de max ophuls,romy Schneider reprend le rôle de sa mère dans une adaptation française de pierre gaspard huit
C est également la rencontre Alain Delon et
Romy Schneider, qui donnera lieu à une idylle
Qui durera cinq ans entre romy et delon à Paris .
Ce qui permettra à romy de tourner la page des sissi ,Revoir romy est toujours un plaisir remarquons également micheline presles dans un second role dégustez votre plaisir
C est également la rencontre Alain Delon et
Romy Schneider, qui donnera lieu à une idylle
Qui durera cinq ans entre romy et delon à Paris .
Ce qui permettra à romy de tourner la page des sissi ,Revoir romy est toujours un plaisir remarquons également micheline presles dans un second role dégustez votre plaisir
Cela a beau être charmant, romantique dans la mouvance de la trilogie des Sissi des années précédentes cela tient à peu de choses et c'est au final assez sinistre. Un "indice" est donné vers le début avec la référence à Roméo et Juliette, pas désagréable à voir avec Brialy entre autres mais je trouve Delon assez peu expressif et l'ensemble bien formaté d'une époque révolue pleine de suffisance.
weihnachtsmann
Une belle histoire d'amour qui reste au final très sobre et trop sage. Le romantisme tragique apparaît à la fin mais le tout manque de sentiments
Yannickcinéphile
Ce film, remake du Liebelei de Ophuls m’a aussi fait penser à Madame de… du même Ophuls, en particulier dans sa dernière partie.
Bon, passons à la critique. Christine est d’abord un film élégant bénéficiant d’un très beau technicolor, de jolis costumes, d’une reconstitution plutôt élégante, le tout saupoudré d’une musique assez bien employée (classique, bien sûr), quoiqu’un peu emphatique sur la fin. Raffiné et esthétique, Christine ravira les amateurs de films en costume et des couleurs chatoyantes des vieux métrages. La mise en scène reste en revanche planplan. Dommage. Le réalisateur filme assez platement cette romance et surtout ne parvient pas à donner vraiment de la tension dans l’épilogue, là où justement Madame de… m’avait agréablement surpris avec exactement les mêmes éléments.
Le casting est fourni, avec les deux jeunes premiers : Delon-Schneider. Duo charmant qui finalement fait le boulot. Ok, ils sont peut-être pas énormissimes, mais ce sont deux jeunes amoureux idéaux, ils sont beaux, encore dotés de cette candeur de la jeunesse, et assez à l’aise avec la partie romantique. Plus théâtraux dans le drame, c’est aussi l’époque qui voulait ça, avec pas mal de films où le chagrin était très théâtral, plus dans les mots et la manière de les prononcer que dans les effusions humaines. Autour de ce duo quelques seconds rôles sympas : Micheline Presle convaincante en baronne qui n’est pas non plus odieuse (belle surprise ça) ; Brialy en pote de Delon un peu en roue libre parfois mais qui s’amuse vraiment, je retiendrai aussi une bonne prestation de Fernand Ledoux (lui aussi personnage intéressant). Dans l’ensemble, les acteur font ce qu’on leur demande avec une certaine efficacité, en dépit de dialogues assez écrits et d’une histoire délicieusement sucrée.
C’est un peu le souci de Christine, il reste très sucré, surtout dans sa première partie. On est d’autant plus étonné de la seconde partie, mais pour arriver à celle-ci qui s’allège, il faut franchir la première qui ravira les amateurs de romances au gout de bonbon. Amour éclair, amour chaste, amour en tirade « roméojuliettienne », c’est quand même très costaud. J’ai franchement ri parfois, même si c’était pas l’attention du film, et pourtant j’aime quand l’amour est plein de tendresse, mais là on a tout et le film en fait des caisses. La dernière partie change du tout au tout, et déconcerte d’autant plus. Elle ne contentera personne à mon sens, et c’est sûrement ce qui explique en premier la déception des spectateurs. A la limite le ton comédie romantique sucré jusqu’à la fin aurait été mieux, car là la conclusion tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, comme si le réalisateur se souvenait que les Bisounours c’était le tournage d’à côté.
Bon, Christine n’est pas un chef-d’œuvre, il s’inscrit dans la veine Sissi et je crois qu’il sera plutôt apprécié par ces spectateurs là, même s’il n’a sans doute pas la même qualité scénaristique ni l’aura d’une impératrice. Petite romance en costume, c’est très propre formellement, bien interprété dans l’ensemble, mais très inoffensif. 3.
Bon, passons à la critique. Christine est d’abord un film élégant bénéficiant d’un très beau technicolor, de jolis costumes, d’une reconstitution plutôt élégante, le tout saupoudré d’une musique assez bien employée (classique, bien sûr), quoiqu’un peu emphatique sur la fin. Raffiné et esthétique, Christine ravira les amateurs de films en costume et des couleurs chatoyantes des vieux métrages. La mise en scène reste en revanche planplan. Dommage. Le réalisateur filme assez platement cette romance et surtout ne parvient pas à donner vraiment de la tension dans l’épilogue, là où justement Madame de… m’avait agréablement surpris avec exactement les mêmes éléments.
Le casting est fourni, avec les deux jeunes premiers : Delon-Schneider. Duo charmant qui finalement fait le boulot. Ok, ils sont peut-être pas énormissimes, mais ce sont deux jeunes amoureux idéaux, ils sont beaux, encore dotés de cette candeur de la jeunesse, et assez à l’aise avec la partie romantique. Plus théâtraux dans le drame, c’est aussi l’époque qui voulait ça, avec pas mal de films où le chagrin était très théâtral, plus dans les mots et la manière de les prononcer que dans les effusions humaines. Autour de ce duo quelques seconds rôles sympas : Micheline Presle convaincante en baronne qui n’est pas non plus odieuse (belle surprise ça) ; Brialy en pote de Delon un peu en roue libre parfois mais qui s’amuse vraiment, je retiendrai aussi une bonne prestation de Fernand Ledoux (lui aussi personnage intéressant). Dans l’ensemble, les acteur font ce qu’on leur demande avec une certaine efficacité, en dépit de dialogues assez écrits et d’une histoire délicieusement sucrée.
C’est un peu le souci de Christine, il reste très sucré, surtout dans sa première partie. On est d’autant plus étonné de la seconde partie, mais pour arriver à celle-ci qui s’allège, il faut franchir la première qui ravira les amateurs de romances au gout de bonbon. Amour éclair, amour chaste, amour en tirade « roméojuliettienne », c’est quand même très costaud. J’ai franchement ri parfois, même si c’était pas l’attention du film, et pourtant j’aime quand l’amour est plein de tendresse, mais là on a tout et le film en fait des caisses. La dernière partie change du tout au tout, et déconcerte d’autant plus. Elle ne contentera personne à mon sens, et c’est sûrement ce qui explique en premier la déception des spectateurs. A la limite le ton comédie romantique sucré jusqu’à la fin aurait été mieux, car là la conclusion tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, comme si le réalisateur se souvenait que les Bisounours c’était le tournage d’à côté.
Bon, Christine n’est pas un chef-d’œuvre, il s’inscrit dans la veine Sissi et je crois qu’il sera plutôt apprécié par ces spectateurs là, même s’il n’a sans doute pas la même qualité scénaristique ni l’aura d’une impératrice. Petite romance en costume, c’est très propre formellement, bien interprété dans l’ensemble, mais très inoffensif. 3.
Une histoire d'amour magnifique servie par des acteurs dont les meilleures prestations restent à venir. En effet, seule Romy Schneider était une star à l'époque, connue pour ses prestations dans « Sissi ». C'est par le plus grand des hasards que Monsieur Delon se retrouve dans « Christine » pour le premier rôle masculin. À l'époque, selon lui: le cinéma était un truc de « gonzesses »: c'est déjà avec un caractère fort prononcé qu'il parvient cependant à séduire Pierre Gaspard-Huit qui le veut par dessus tout! Alain Delon profitera de cette influence, refusant même le tournage si Brialy n'avait pas le rôle de son meilleur ami dans le film. Ce qui montre encore une fois le côté rebelle de Delon qui était, rappelons-le, au tout début de sa carrière! Pierre Gaspard-Huit, désirant par dessus tout que le trio Delon-Schneider-Brialy voit le jour, acceptera même le chantage de la production qui menaça « perte de jours de tournage et pertes de financement » si Delon n'était pas remplacé. C'est donc sur ce départ un peu chaotique que le tournage débute! On se rend très vite compte que c'est fort heureusement qu'il en eut été ainsi.
Le couple Delon-Schneider fonctionne à merveille: Romy Schneider a toujours cette « fraicheur » des « Sissi » et Delon a cette prestance et cette beauté unique qui était la sienne. Le couple crève l'écran, nous fait passer par toutes les émotions: on les aime, on est touché par eux, on a peur pour eux. Ce n'est d'ailleurs pas étonnant si ces deux fortes têtes sont réellement sorti ensemble lors de ce tournage. Même s'ils n'étaient pas très fidèles l'un envers l'autre, c'est devenu un couple très connu dans l'histoire du cinéma: la « douce et délicate » Romy avec le « garçon des rues » Delon!
« Christine » est un des petits bijoux rarissimes du cinéma: rires et larmes sont au rendez-vous, le film est riche en émotions fortes. De plus, la photographie est très jolie, de même pour les décors et les costumes. Un spectacle que l'on se doit de (re)découvrir et qui n'a rien perdu au cours des années, au contraire: il y a gagné en charme nostalgique! Les dialogues et les relations entre les personnages sont symboliques de cette époque que beaucoup regrettent. J'adore particulièrement les relations de Christine avec son papa et celles de Frantz avec Théo. Et évidemment, comme dit précédemment , le couple principal est juste merveilleux. Leur amour est tellement beau que lorsque l'on sent que cela tend vers le drame, on éprouve un grand sentiment de stress. Le final clôt l'œuvre comme il se doit et nous laisse dans un mélange grandiose d'émotions.
Le couple Delon-Schneider fonctionne à merveille: Romy Schneider a toujours cette « fraicheur » des « Sissi » et Delon a cette prestance et cette beauté unique qui était la sienne. Le couple crève l'écran, nous fait passer par toutes les émotions: on les aime, on est touché par eux, on a peur pour eux. Ce n'est d'ailleurs pas étonnant si ces deux fortes têtes sont réellement sorti ensemble lors de ce tournage. Même s'ils n'étaient pas très fidèles l'un envers l'autre, c'est devenu un couple très connu dans l'histoire du cinéma: la « douce et délicate » Romy avec le « garçon des rues » Delon!
« Christine » est un des petits bijoux rarissimes du cinéma: rires et larmes sont au rendez-vous, le film est riche en émotions fortes. De plus, la photographie est très jolie, de même pour les décors et les costumes. Un spectacle que l'on se doit de (re)découvrir et qui n'a rien perdu au cours des années, au contraire: il y a gagné en charme nostalgique! Les dialogues et les relations entre les personnages sont symboliques de cette époque que beaucoup regrettent. J'adore particulièrement les relations de Christine avec son papa et celles de Frantz avec Théo. Et évidemment, comme dit précédemment , le couple principal est juste merveilleux. Leur amour est tellement beau que lorsque l'on sent que cela tend vers le drame, on éprouve un grand sentiment de stress. Le final clôt l'œuvre comme il se doit et nous laisse dans un mélange grandiose d'émotions.
C'est par le biais de ce long-métrage que naquit l'idylle entre Alain Delon et Romy Schneider. Ca c'est évidemment pour la petite anecdote concernant "Christine" qui à la particularité de posséder une belle histoire d'amour et une interprétation somme toute convaincante de son fameux duo. De plus, artistiquement l'ensemble est vraiment une belle réussite, c'est en tout les cas ce que l'on peut constater aux vus des magnifiques décors et de la très belle photographie qui englobent tout le film. A noter aussi une fin bien tragique et que l'on ne voit pas forcément venir. A découvrir donc pour ceux qui aiment les films romanesques, même s'il faut reconnaître que la mise en scène de Pierre Gaspard-Huit manque quelque peu d'ambition et de richesse.
Une petite sucrerie viennoise qui permet d'admirer la resplendissante Romy..
Je donne a ce film une si bonne note parce que j' qi vraiment été subjuguée par ce fil, du début a la fin. Romy Schneider est une fois de plus splendide et joue très bien son rôle. Je n'est été en aucunement déçue durant tout le film. Petite attention autres critiques; arrêtez de vous prendre pour de grands critiques de cinéma. Si vous trouvez ce film si nul et que vous aimez vraiment Romy Schneider, ,erci de garder vos critiques pour vous et de respecter ce fil, qui fait parti d'un des plus grands de Romy. En faisant cela vous respecterez en meme temps la mémoire de cette derniere en passant.
Et bien que dire à part le fait que ce film est un (gros)navet? Regardez plutôt le film Liebelei de Max Ophül, une version précédente datant de 1933. Sans être un chef d'oeuvre, Liebelei est néanmoins beaucoup moins stupide ou superficiel( on peut malheureusement pas apprécier les beaux yeux d'Alain Delon....)
Malgré la présence de Delon et la Belle Romy Schneider, on a droit à une histoire à l'eau de rose avec ses bons sentiments et des personnages trop superficiels pour nous faire nous interesser au film. De plus et à ma grande surprise, les interprétations des 2 futures stars sont mauvaises (!) A oublier.
soniadidierkmurgia
Les débuts de Romy et Alain souvent reniés par les deux protagonistes qui ont par la suite montré l’étendue de leurs talents respectifs dans des productions beaucoup plus ambitieuses. Je redoutais donc le pire en m’installant dans mon fauteuil pour la vision d’une romance sucrée à souhait. Bien sûr tout est un peu convenu, du scénario aux décors en passant pas le jeu guindé d’acteurs débutants (La palme revient à Brialy qui fait officier de dragon comme Nicholson peut faire moine). Le doublage ridicule de Romy Schneider n’aide pas la jeune actrice à montrer son savoir-faire. Si on fait abstraction de ces éléments fort handicapants mais propres aux productions de l’époque, on peut prendre un certain plaisir à voir ce drame des villes de garnison tout droit inspiré des nouvelles de Maupassant. La prestation de la sublime Micheline Presle nous montre que les 15 ans qui séparent Delon, Brialy et Schneider de la grande actrice sont tous le fossé qui sépare l’expérience de la gaucherie des débuts. Heureusement ces trois-là ont vite appris et sont devenus des acteurs aux choix assurés. Exercice formel qui aurait pu être encore mieux maîtrisé avec un metteur en scène plus audacieux.
Une histoire d'amour fleur bleue, surtout pour midinettes, dans le style des "SISSI", avec des acteurs quasiment à leurs débuts et qui deviendront célèbres par la suite. A voir une fois.
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