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7 critiques presse
Positif
par Louis-José Lestocart
Ces plans, intensément présents dans Damnation (on devrait les citer tous tant ils sont admirables), jouant entre intérieur et extérieur, architecture, espace, ont rarement été vus au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Damnation est plus qu'un film, c'est une oeuvre d'art à part entière qu'on peut se contenter de contempler pendant deux heures. La narration est secondaire, les dialogues aussi. Pourtant ils ne sont pas anodins, loin de là. Mais il est tellement aisé de se laisser bercer par la beauté des images et la musique utilisée avec parcimonie, qu'on n'a même plus besoin d'intellectualiser. Le plaisir des sens et des sensations.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le cinéma du Hongrois Béla Tarr eixge du spectateur disponibilité et ouverture, en retour il lui offre un nettoyage total du regard (...) inutile de vouloir se raccrocher aux branches de l'intrigue, il faut au contraire se laisser aller, s'accorder au regard de l'autre et ainsi retrouver le sien, débarrassé enfin de tout ce qui l'empêche de voir.
Le Figaroscope
par Marie Noëlle Tranchant
C'est moins une histoire qu'un état d'âme, un lent poème existentiel à l'atmosphère de film noir, la pluie, la nuit, l'ennui, le temps qui traîne à une table de bar, entre des combines louches et le blues d'un accordéon. Dans un noir et blanc superbe, le cinéaste hongrois Bela Tarr parle d'amour et de solitude avec une mélancolie souveraine
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Zurban
par Claire Vassé
La longueur des plans-séquences ne génère jamais d'ennui mais de la fascination devant une caméra qui se déplace imperceptiblement, caressant l'espace pour mieux nous en révéler le profond mystère.
Première
par Olivier de Bruyn
Béla Tarr se fait une haute idée du cinéma. Aux antipodes des récits traditionnels, Damnation frôle l'expérience sensorielle. L'ennui guette ? Certes mais le délicieux abandon contemplatif aussi...
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
Ces plans, intensément présents dans Damnation (on devrait les citer tous tant ils sont admirables), jouant entre intérieur et extérieur, architecture, espace, ont rarement été vus au cinéma.
aVoir-aLire.com
Damnation est plus qu'un film, c'est une oeuvre d'art à part entière qu'on peut se contenter de contempler pendant deux heures. La narration est secondaire, les dialogues aussi. Pourtant ils ne sont pas anodins, loin de là. Mais il est tellement aisé de se laisser bercer par la beauté des images et la musique utilisée avec parcimonie, qu'on n'a même plus besoin d'intellectualiser. Le plaisir des sens et des sensations.
L'Obs
Le cinéma du Hongrois Béla Tarr eixge du spectateur disponibilité et ouverture, en retour il lui offre un nettoyage total du regard (...) inutile de vouloir se raccrocher aux branches de l'intrigue, il faut au contraire se laisser aller, s'accorder au regard de l'autre et ainsi retrouver le sien, débarrassé enfin de tout ce qui l'empêche de voir.
Le Figaroscope
C'est moins une histoire qu'un état d'âme, un lent poème existentiel à l'atmosphère de film noir, la pluie, la nuit, l'ennui, le temps qui traîne à une table de bar, entre des combines louches et le blues d'un accordéon. Dans un noir et blanc superbe, le cinéaste hongrois Bela Tarr parle d'amour et de solitude avec une mélancolie souveraine
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Zurban
La longueur des plans-séquences ne génère jamais d'ennui mais de la fascination devant une caméra qui se déplace imperceptiblement, caressant l'espace pour mieux nous en révéler le profond mystère.
Première
Béla Tarr se fait une haute idée du cinéma. Aux antipodes des récits traditionnels, Damnation frôle l'expérience sensorielle. L'ennui guette ? Certes mais le délicieux abandon contemplatif aussi...