Note moyenne
3,5
15 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Chronic'art.com
Le film est musical avec sa rythmique secrète mais la partition semble fragile, rentrée (...) et comme chiffonnée. L'espace que filme Téchiné compose une géographie instable qui (en) fait toute la beauté.
Le Parisien
Injustement mal reçu à Cannes, ce film a toutes les chances de se refaire une santé auprès du grand public.
Les Echos
D'un beau roman violent de Gilles Perrault, André Téchiné a tiré un film pudique, classique, aux confins de l'académisme, mais troublant finalement.
Libération
C'est, dans l'idéal téchinien, un film qui a sa place dans le grand cinéma français d'auteur en même temps qu'il est la marque profonde, violente, de son désir de le voir s'embraser et perdre, sur une seule et unique scène, toute sa retenue.
MCinéma.com
Emmanuelle Béart est magnifique dans un rôle de femme fière et aimante à la fois. Gaspard Ulliel trouve avec Yvan le rôle de sa jeunesse. Et Grégoire Leprince-Ringuet est épatant dans le rôle du jeune Philippe. Un pur plaisir de cinéma.
Studio Magazine
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TéléCinéObs
Les personnages ont la grâce fragile d'une humanité en quête de sens, avec la nature comme seule bouée de sauvetage. Comme toujours chez le réalisateur, celle-ci est d'une force à couper le souffle.
Télérama
Si Téchiné célèbre les vertus et les vertiges de l'égarement, c'est en toute lucidité. La beauté confuse et grisante du film tient beaucoup à la sensation d'éphémère et à la prescience d'une cause perdue.
Ciné Live
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Le Figaro
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Le Monde
Il est difficile de donner un nom à l'impression que suscitent ces répétitions, ces variations sur des thèmes connus : ce n'est pas de la routine - jamais Téchiné ne donne l'impression de paresser, ses choix de mise en scène sont sûrs et justes, comme sa direction d'acteurs ; il manque peut-être l'audace, le goût du risque, qui animaient le précédent film du cinéaste.
Le Point
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Première
Emmanuelle Béart, en rivale inavouable de son fils, impose sa dignité, sa vibration, l'incandescence de sa lumière intérieure. Certains, à Cannes, reprochèrent à Téchiné son classicisme trop linéaire. Mais le classicisme n'est pas un défaut, surtout lorsqu'il prend ces allures d'élégie.
Zurban
Si la tension est réelle, la distance instaurée par la réalisation lisse ce qui devrait être une histoire exceptionnelle. Seules consolations: Gaspard Ulliel, véritable révélation et la splendide photo signée Agnès Godard.
L'Express
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