Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 17 septembre 2014
Je n'y peux rien, c'est plus fort que moi, ce film reste pour moi LA meilleure comédie romantique british ever (avec Nothing Hill). alors oui, c'est niais et mièvre mais c'est très bien fait. La preuve, c'est le seul film romantique qu'aime mon frère, et mon père.
Je ne me lasse jamais de visionner ce film qui donne une claque à la mauvaise humeur ! Ce film est un véritable conte de Noël, n'en déplaise aux ronchons insensibles qui cassent le film. Il faut avoir un minimum de sensibilité et se laisser porter par ce tourbillon d'amour, d'humour et de musique.
Très joli film, innocent et adorable. Comme le titre l'indique "Love actually (is all around)" "L'amour est partout". On va suivre différentes histoires qui ont toutes un point commun : l'amour. C'est peut-être une chose ou un mot simple, mais chacune de ces histoires est touchante à sa manière. On passe un agréable moment. Un petit monde de bonheur qu'est ce film. Cela fait du bien de s'évader pendant un peu plus de deux heures dans un univers tel que celui ci. Bon visionnage ! :-)
Plusieurs personnages, avec chacun leur histoire, sont suivis. Progressivement les destins, les histoires s'entrecroisent, nous permettant de dessiner la toile qui réunit les protagonistes. C'est léger, drôle, ça sent le sapin à plein nez, l'amour pullule et le tout fonctionne très bien. Après chaque visionnage de ce classique dans la famille des comédies romantiques vous aurez envie de faire des câlins à tout votre voisinage et un sourire colorera les visages les plus ternes. À voir pour égayer le blues.
Richard Curtis a réalisé là sans conteste un chef d'oeuvre. C'est mon épouse qui m'a poussé à le voir, j'étais réticient au premier abord je pensait à un film qui pue l'eau de rose à des kilomètres. Je me suis éclaté avec cet humour Anglais déjanté. J'ai beaucoup aimé toutes ces tranches de vie, cela ne laisse pas une seconde de répit. La musique accompagnant le film a été méticuleusement choisie et les moments d'intense émotions alternent avec de grandes scenes de délir extraordinaire.
Une très bonne comédie romantique qui fait du bien. On dit que la bouffe anglaise n'est pas fameuse, mais leurs comédies romantiques sont, pour moi, souvent un régal. Avec le thème de "l'Amour", souvent "fleur bleue", le menu proposé peut présager un repas, sans surprise, trop sucré, limite indigeste . Et bien non !! Grace à ce petit cocktail d'histoires d'Amour simples, drôles et surtout très bien jouées. C'est vif, léger et savoureux comme j'aime. L'émotion est finement distillée et apporte le coté gourmand au bon moment, tout en restant digeste. L'ensemble est surtout accompagné d'une bonne dose d'Humour anglais qui relève subtilement le tout. Une palme pour Hugh Grant dans son rôle de premier ministre, il est désopilant, craquant, génial ... Bref, j'ai jubilé à chacune de ses apparitions. Toutefois, il n'écrase pas le film car les autres acteurs et surtout les autres histoires sont aussi savoureuses pour la plupart. Même si cela reste une comédie, et que ce n'est pas un "chef d'oeuvre" au sens propre du terme, je mets 5 étoiles car ce fut 2 heures du pur bonheur pour moi.
C'est donc à Richard Curtis que l'on doit cette salve de comédies romantiques britanniques ayant fait chavirer les écrans depuis le mitan des années 1990. Mais, alors que ces collaborations scénaristiques ("Quatre mariages et un enterrement", "Coup de foudre à Nothing Hill"...) étaient réjouissantes, son passage à la réalisation est aussi balourd que peu concluant. En effet, ce film choral (une manie cinématographique prise dans les nineties) est hélas plombé par d'innombrables aberrations (par exemple, cette fille mignonne qui se fait illogiquement traitée de "grosse" pendant tout le film, ce qui ne choque que le personnage de Hugh Grant) et autres invraisemblances (notamment dans le dernier quart d'heure, qui les enchaîne gaiement : la procession virale au Portugal, la course-poursuite à l'aéroport, j'en passe et des meilleurs). Pire, le film croule sous les clichés (l'idylle de l'écrivain de sa bonne portugaise ; et celle du ministre et de sa subalterne, toujours suivant le schéma du conte de fées) et n'exploite pas l'histoire et le personnage les plus attachants de ce bouquet de romances, en renonçant à suivre plus en profondeur l'amoureuse sacrifiée incarnée par Laura Linney, qui priorise son devoir familial à sa relation embryonnaire avec son collègue. Vraiment dommage. Seul moment de grâce : la séquence, poignante, où l'épouse bafouée jouée par Emma Thompson réalise la trahison de son mari, sur fond du "Both sides now" de Joni Mitchell, un disque que cet homme déloyal vient précisément de lui offrir... Cruel et beau à la fois.
Culte de chez culte chez certains, une belle bouse pour d'autres, autant dire que j'avais trop la honte de ne pas avoir ce film jusqu'ici... Même si au final je suis plus proche de l'avis de la seconde catégorie que de la première, sans être aussi extrême tout de même... Un casting de gros malade pour neuf histoires d'une qualité très inégale... Billy et Joe : Le meilleur des neuf, et ceci grâce surtout à l'excellent Bill Nighy en vieux rocker toxico... A noter le seul moment politiquement incorrect d'un ensemble très consensuel où son personnage dit aux jeunes qu'il ne faut pas acheter de drogue mais plutôt devenir célèbre pour en avoir gratos... Juliet, Peter et Mark : Je suis loin d'être insensible au charme de Keira Knightley et c'est pour ça que j'ai trouvé cette partie assez digeste malgré une fin qui laisse un goût amer. A noter une déclaration d'amour superbement bien imaginée... Jamie et Aurélia : Il y a Colin Firth donc c'est forcément sympa même si les portugais sont ici très caricaturaux... Harry, Karen et Mia : La partie avec Alan Rickman et Emma Thompson est nul d'un moralisme lourd. Oh c'est pas bien de penser à tromper sa femme, méchant, méchant... C'est tellement mauvais que même l'hilrant Rowan Atkinson parvient ici à ne pas être drôle. David et Natalie : Hugh Grant en premier ministre, c'est déjà pas super-crédible. Mais en plus, si son personnage est aussi émotif, aussi sensible, alors que pour être au sommet de l'Etat c'est à peine s'il ne faut pas être un sociopathe... En plus, un chef d'état près à risquer un incident diplomatique avec celui de la première puissance mondiale, non mais franchement... Daniel, Sam et Joanna : Les gamins dans les films qui parlent d'amour comme pour moi vous insupportent... Il vaut mieux éviter alors... Sarah et Karl : Le summum de la nullité dans ce film. Il vaut mieux se sacrifier pour son frère malade mental qui de toute façon ne se rendra pas vraiment compte de quelque chose que de vivre le grand amour, ou même essayer de concilier un minimum les deux... Sarah et Karl : Un type qui n'arrive pas du tout à baiser en Angleterre pense à raison pouvoir baiser facile des bombes aux Etats-Unis... Là même le teen-movie le plus irréaliste apparaît comme un sommet de néoréalisme à côté de cette partie. Jack et Judy : On finit quand même sur une touche adorable et un couple attachant avec Martin Freeman et Joanna Page en doublures pour les scènes de sexe d'un film. Bon allez pas mauvais de chez mauvais mais on est loin d'un sommet de la comédie romantique.
Love actually est le patchwork des situations sentimentale de la vie. Un pot pourri de toute les façons de déclaré que l'on a des sentiments pour une personne. Il y a une multitude d'histoire, qui s'emboîte plus ou moins les unes dans les autres. Les une triste, les autres plus drôle. Et celle qui finissent bien. Mais dans tout ce florilège d'histoire. Une m'aura marqué. Certes elle n'est peut être pas la plus heureuse. Selon le point de vue. Mais c'est une belle démonstration d'amour.spoiler: La séquence des message sur les fiches en cartons, avec Mark qui déclare sa flamme a Juliet. La scène est tout simplement troublante. La façon dont il avoue tous ses sentiments est émouvante. On aurait adoré les voir ensemble. Le film est une référence de romance, de poésie.
Le film est sauvé grâce aux quarante dernières minutes et notamment grâce au couple Martine McCutcheon/Hugh Grant. Tout le reste est, malheureusement, beaucoup trop prévisible. Il n'en reste pas moins un film agréable à regarder durant le temps des fêtes.
Une très belle comédie romantique qui réussira je pense à vous détendre et à vous faire sourire avec en plus un très bon casting, tout cela dans un bel esprit de Noël bien sûr :)!
Vraiment un film excellent , rempli de fraicheur , de grandes répliques , une multitude d'acteurs , c'est vraiment une réussite , longtemps que je me suis pas régalé devant un bon film ou rien n'est ennuyeux , vraiment content de l'avoir découvert
J'ai été agréablement surpris en visionnant LA comédie romantique de référence. Le film a pour avantage un casting royal réunissant pas moins d'une dizaine d'excellent acteurs parmi lesquels on peut citer Liam Neeson (Taken), Alan Rickman (Die Hard), Colin Firth (Le Discours d'un Roi), Emma Thompson...mais aussi de petits nouveaux comme Martin "Bilbon" Freeman ou encore Andrew "Grimes" Lincoln. Le long-métrage se laisse regarder très facilement sans pour autant entrer dans une dimension à l'eau de rose car il traite de l'amour mais pas seulement, ce qui fait plaisir. Cerise sur le gâteau, les dialogues sont travaillés, on assiste à l'inoubliable déhanché de Hugh Grant et on retiendra l'apparition inattendue de Mr. Atkinson. L'humour reste frais (hormis les blague de potache made in U.S.A. que Richard Curtis discrédite) et l'ambiance est réaliste car contrairement aux autres comédies romantiques, les histoires ne connaissent pas toutes un dénouement heureux (d'habitude on sent venir la fin ou la belle trouve son prince charmant...mais là non !), ce qui est ajoute de la vraisemblance au tout. La bande originale, très célèbre complète les réjouissances (Bill Nighy excelle en Billy Mack). Il est vrai que certaines intrigues auront plus de charme que d'autres (personnellement j'ai bien aimé celle d'Andrew Lincoln et de Keira Knightley) mais chaque protagoniste possède un lien direct avec un autre, ce qui est très bien fait. Bref, on passe un très bon moment. A voir.
C'est une daubasse d'une platitude inégalable, qu'il est absolument impossible de regarder en entier. La (grosse) touche de vulgarité y est, le néant (absolu) y est ; cependant la volonté d'abrutissement, d'abêtissement, de crétinisation, de débilitation du spectateur aurait pu être un peu moins marquée de la part du réalisateur, qui nous méprise tellement qu'il n'essaie pas un seul instant de nous dissimuler son mépris. (Personnellement je le lui retourne, en toute amitié, en toute courtoisie.)