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inspecteur morvandieu
37 abonnés
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1,0
Publiée le 25 novembre 2023
Le sort continue de s'acharner sur la belle Angélique dont les amours sont invariablement contrariés spoiler: par la mort violente de ses amants -son ami d'enfance incarné par le bélâtre Giuliano Gemma, puis le poète pamphlétaire et clandestin Jean-Louis Trintignant- ou bien par la brutalité de ses amoureux. . spoiler: Après l'exécution en place de Grève de son époux Joffrey de Peyrac, qui clôturait le premier film de la série, Angélique est décidée de se venger du frère du Roi, notamment avec le soutien d'une bande de truands évoquant un Cour des miracles. Mais les aléas de la vie et les méandres du scénario ne sont pas pour faciliter la tâche de l'héroine, spoiler: bientôt importatrice de chocolat et commerçante fortunée! . Si "Angélique, marquise des anges" présentait quelque originalité, cette première suite tourne vite, par son manque de style et par son incohérence, au mauvais drame historico-romanesque. L'aventure d'Angélique semble n'avoir ni queue ni tête, tant à cause du sujet-même, qui part dans tous les sens, qu'en raison d'une mise en scène désordonnée. Y-a-t-il d'ailleurs un metteur en scène? Bernard Borderie propose un découpage assez anarchique eb privilégie à l'évidence les rebondissements de l'intrigue au détriment des personnages, trop nombreux et très superficiellement caractérisés.
Ce deuxième opus est moins bon que le premier. Angélique enchaîne les conquêtes et il ne fait pas bon être son homme, vu la durée de vie de ses amants après être passés dans son lit. Les scènes de bagarre montrent de drôles de techniques de combat, qui manquent cruellement de crédibilité. C'est limite risible ! Le metteur en scène ne s'est pas gêné pour glisser un anachronisme, le parc du château de Versailles étant montré en 1661 comme s'il était dans son état final alors que les travaux ont commencé en 1662. Donc à voir sans trop chercher le réalisme.
La suite des aventure d'Angélique vu à la télévision dans les années 1980 et 90 principalement. Le second épisode fait un peu penser à certain moment au Paris du Bossu de Notre-Dame et reste dans la dynamique du premier. Les rebondissements se succèdent et ne faiblissent pas.
Après le sympathique premier épisode on redescend de plusieurs étages, Le scénario est complètement décousu et semble ne pas savoir où aller. Si la première heure reste regardable en étant indulgent, la dernière demi-heure tombe dans une nunucherie et dans une mièvrerie ridicule à la limite du supportable. Reste Michele Mercier toujours aussi belle et on sauvera la scène de l 'auberge d'un sadisme rare pour un film grand public
Le meilleur film de la série. On assiste à l’ascension sociale d’Angelique, qui doit se battre pour retrouver sa place dans la société. Je ne me lasse pas de ce film.
Deuxième film de la saga « Merveilleuse Angélique » est, comme souvent dans cet exercice, inférieur au premier opus. Le scénario est découpé en trois parties très distinctes, chacune liée à un amant de la belle. Comme elles présentent une finalité en soi, l’impression désagréable de voir un film à sketch (ce qui est plus ou moins le cas) s’installe progressivement. Ces parties sont inégales, à commencer par la première, où malgré une prestation charismatique de Giuliano Gemma, peu de choses fonctionnent et surtout pas les bagarres. Mal scriptées, aucune scène ne fonctionne bien et le drame n’arrive pas à susciter la moindre émotion. La deuxième, la plus longue, est encore plus faible, plombée par un Jean-Louis Trintignant aussi saugrenu et décalé que l’allusion d’Angélique au père Noël (apparu deux siècles plus tard). Tout juste sauvée du zéro pointé par Jean Rochefort elle contient l’étonnante scène de l’assassinat d’un enfant. Inspirée des faits réels qui valurent au Chevalier de Lorraine une période de disgrâce, le Roi punissant ainsi son frère. Seule la troisième, par la grâce d’un retour fastueux à Versailles, retrouve Angélique (Michèle Mercier enfin convaincante) et la lumière malgré Claude Giraud qui en fait des tonnes. Ce découpage aurait pu fonctionner si les transitions avaient été scénarisées avec davantage de précisions. En effet, l’évolution d’Angélique de la merveilleuse innocente à l’implacable femme d’affaire est très peu progressive, sautant les paliers qui auraient apporter un peu plus de crédibilité à cette maturation. Comme de plus beaucoup de scènes sont mal scriptées, l’ensemble dégage une impression d’insuffisance coupable au regard de la qualité de la photographie et de la direction artistique (c’était le dernier film de René Moulaert auquel le film est dédié).
Assez déçu de cette suite... L'intrigue m'a beaucoup moins passionnée et le personnage principale de dévoile un peu plus par son côté capricieux et arriviste ce qui n'aide pas à se passionner pour ses aventures. C'est toujours kitch mais étonnement très violent pour l'époque.
C'est superbe comme épopée et c'est un très bon film d'aventure. Que de critiques à 1 étoiles ou 2. Non ça mérite des applaudissements. Michèle Mercier est magnifique et flamboyante. Le film à d'excellentes qualités qui traversent le temps
Dans cette suite directe du premier volet, Angélique se trouve à la Cour des miracles, et va au terme de péripéties tenter d'intégrer la Cour royale. Le problème est que cette ascension parait bien incohérente, avec une personnage principale qui en moins de 1h40 alterne les métiers, les divers status sociaux, et les romances à l'eau de rose, au cours d'une intrigue pas toujours intéressante. On retrouve tout de même les personnages du premier film, à l'exception de Robert Hossein, ce qui est fort dommage. Il reste néanmoins Michelle Mercier et son charme, au milieu d'une France du 17ème siècle correctement reconstituée. Mais "Merveilleuse Angélique" demeure un film très dispensable et, comme son prédécesseur, manquant de panache.
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3,0
Publiée le 5 janvier 2014
Qui a jurè de se venger jusqu'au bout ? Du plus fidèle au plus cynique , du plus tendre au plus violent, tous les hommes sont fascinès par cette « Merveilleuse Angèlique » . Après le gros succès dans les salles françaises de "Angèlique marquise des anges", Bernard Borderie ne pouvait que signer une suite à cette fille d'un seigneur ruinè, qui, à sa sortie du couvent, ètait contrainte d'èpouser un riche gentilhomme, Joffrey de Peyrac, brûlè vif en place de grève, sous les yeux de son èpouse! En 1965, Angèlique a toujours le visage de Michèle Mercier qui vit maintenant avec Calembredaine (Giuliano Gemma, qui nous a quittè en octobre 2013, à la suite d'un accident de voiture) à la Cour des Miracles et bien rèsolue à venger son mari! On retrouve Jean Rochefort (sans la moustache) et de nouveaux venus comme Jean-Louis Trintignant dit le poète crottè, Noël Roquevert en maître Bourjus ( « Une maison, c'est comme une forteresse qu’il faut dèfendre ! » )...mais pas de Robert Hossein à l'horizon...snifff! Heureusement, le beau et sèduisant Joffrey de Peyrac reviendra dans "Angèlique et le roy". Entre-temps, la merveilleuse Angèlique connaîtra bien des aventures, prècipitèe dans l'enfer des gueux! Alors, Angèlique retrouvera t-elle « le chemin de Versailles » ?
Merveilleuse Angélique : Ou la vengeance d’Angélique car après avoir perdu son mari : Jeoffrey de Peyrac pour bruler en place de grève pour « sorcellerie ». Angélique décide donc de poursuivre ceux qui son la cause de tout ça et elle doit aussi retrouver son rang de marquise qu’elle a perdu. Donc, c’est la suite directe de ces aventures qui sont toujours aussi plaisant et sympathique à voir. Car, c’est remplit d’humour et de personnages toujours aussi sympa à suivre. On retrouve donc Angélique qui est toujours aussi indomptable et rebelle avec un sacré caractère (elle n’hésite pas a tomber amoureuse de plein de gars dans cette épisode ^^ c’est un peu déroutant a mon gout mais elle est libre). Mais sinon, on retrouve les autres personnages bien sur comme le fidèle ami d’Angélique : François Desgrez avec son chien Sorbone qui est toujours aussi amusant. Bon sinon, pour ce qui est du scénario : c’est plaisant et divertissant mais ça vaut pas le premier, surtout que Jeoffrey de Peyrac n’est pu la et que Angélique va un peu trop voir ailleurs ^^, et il manque un petit truck un l’intrigue que on retrouvera dans le troisième épisode. Mais, c’est une bonne suite qui est indispensable pour la suite des aventures. Sinon, les acteurs sont toujours aussi convaincants : on retrouve la magnifique Michèle Mercier ainsi que le très amusant Jean Rochefort. Voila, une suite divertissante et plaisante des aventures de l’intrépide Angélique : à voir.
Rien de plus que dans l’épisode précédent si ce n’est l’apparition de Trintignant à la place de Hossein. Le moins que l’on puisse dire est que le beau Jean-Louis affublé de sa perruque n’a pas laissé un souvenir impérissable et qu’il ne risquait pas de prendre la place d’Errol Flynn ou de Jean Marais. L’intrigue des deux films aurait pu être ramassée en un seul épisode . Rien que pour revoir Jean-Louis Trintignant en Du Guesclin cette vision s’imposait. A noter une doublure savoureuse de Philippe Noiret .
"Merveilleuse Angelique"(1965),2ème épisode de la saga de la marquise des anges,touche au nanar désormais.Ce qui restait du charme du premier s'est évaporé dans les incohérentes scenaristiques(passer de la cour des miracles à la cour du roi en 100 minutes,chapeau!),la pléthore de personnages ridicules,les décors surchargés et cheap,ou les amourettes à la sauvette.Seule Michèle Mercier conserve sa dignité,mais sans Robert Hossein et leur histoire d'amour,le personnage perd de son essence.L'humour vole bien bas également.J'arrete les frais.