Le collectif le plus créative de la génération tout et n'importe quoi il ose tout faire.Et personnellement j'ai aimer toute les vidéos de kourtrajmé que se soit les reportages, les film, les court métrages serieux ces super voter les gars bonne chance pour la suite.
Dans une banlieue, trois frères matte la télévision au fond du canapé. On y trouve le plus grand, interprété par Vincent Cassel. D'un coup, sachant qu'aucun des deux frères soit réceptif à une demande, le grand frère décide de faire bouger l'un des siens par un jeu bien connu. Le "je te tiens, tu me tiens par la barbichette". Celui qui sourit en perdant son sérieux recevra une bonne baffe honorable. Avec un très petit intérêt, l'ensemble du court-métrage stimule, peut-être marrant pour certains.
Le collectif d’artiste Kourtrajmé (réunissant Kim Chapiron, Romain Gavras & Toumani Sangaré) continu ses petites productions à droite à gauche avec notamment La Barbichette (2002), réalisé par Kim Chapiron. Ce court-métrage met en scène Vincent Cassel & Olivier Barthelemy dans un duel du jeu du « je te tiens, tu me tiens par la barbichette ». Plus la partie se prolonge et plus les baffes sont fortes et nos fous rires aussi.
Court métrage délirant mettant en scène les personnages les plus célèbres de Kourtrajmé: les frères Wanted, composés de Vinz (Vincent Cassel), Barth (Olivier Barthélémy) et Titi (Marko Payen). Ici, les trois frangins regardent la télé dans leur salon. La mère appelle Vinz. Ce dernier demande à ses frangins d'y aller à sa place mais aucun des deux ne bouge. Une dispute éclate et Barth et Vonz décident d'en venir aux mains. Commence alors la barbichette. Très bon travail sur le montage pour montrer la succession de barbichettes et de claques que se prend Barth dans la figure; le film est à mourir de rire. Vive Kourtrajmé.
Toujours réalisé par le talentueux Kim Chapiron, ce deuxième court des Frères Wanted est un bel hommage au jeu connu. En plus de cela, Bart et Vin'Z en font des tonnes !!!
Putain celui-là qu’il est drôle ! C’est bon de voir un court avec des mecs qui ne se prennent pas au sérieux comme ça et ne cherchent pas à faire compliqué… C’est pas à se tordre de rire mais en tout cas c’est réussi, c’est bidon mais c’est drôle, et en plus c’est bien monté.
Bon ben un ratage total dans le registre court, c’est assez rare pour être souligné. Premier point les acteurs. Ils n’ont rien à faire, hormis Cassel et un peu Barthelemy c’est la dèche total, et même Cassel, je veux dire, pour mettre des tapettes, on ne peut pas dire qu’il force vraiment son talent. Le format court est terriblement mal utilisé. La Scène d’ouverture ne mène à rien et se contente de montrer un type qui pisse sur une voiture ! La scène centrale c’est du remplissage avec des scènes de la cité et des scènes de break dance, et la dernière c’est une scène de « je te tiens tu me tiens par la barbichette » qui débouche sur une séance de baffes sans aucune chute. C’est assez lénifiant de voir un truc aussi vide et creux, et qui n’a tout simplement aucun sens ni même d’intérêt. La réalisation est médiocre. Chapiron nous sert une mise en scène ultraserrée avec un style caméra à l’épaule et des plans en contre-plongée, dans son style iconoclaste qu’il développa notamment dans Sheitan. Mais bon, ici c’est totalement inutile, ça fait brouillon et ça ne met même pas en valeur le peu de choses à mettre en valeur (les quelques séquences de danse par exemple). Quant à l’ambiance de la cité, plutôt intéressante, elle n’est pas non plus utilisée, et on se retrouve pour la moitié du court dans un appart tout moche. La bande son est laissée au placard. Bref, voilà le genre de court métrage informe et insignifiant qui se voit rarement, je ne sais même pas si j’ai déjà mis 0.5 à un court jusqu’à maintenant, mais il y a une première à tout et ça tombe sur ce film de Chapiron.
Un bon petit court-métrage qui présente la cité sous un angle positivo-comique dans la première partie. Puis une réalisation fort bien menée dans la seconde partie qui nous amène vers un absurde total. Car oui, les dimensions sociales du pouvoir (qu'il soit politique ou autre) sont absurdes, tout comme l'est le pouvoir entre frères, et c'est peut-être une des dimensions analytiques de ce court.
Avant Sheitan,Kim Chapiron avait réalisé un petit court-metrage racontant l'histoire de 3 frères qui se lancent au jeu de la barbichette.Un jeu qu'ils vont jouer à leur façon...Cinq minutes de bonheur,ou Vincent Cassel joue un frère pas très porté sur l'amitié familiale ! Ce court est vraiment une pépite,où l'humour le plus grinçant se mélange à la violence la plus effrenée.Et si,eux,ils prennent des mains dans la gueule,nous on prend notre pied (dans la gueule aussi) !