Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
A la fois drôle et attendrissante, cette épopée ridicule et héroïque est naturellement, en filigrane, une satire de l'action politique radicale, assimilée au donquichottisme. Mais c'est également une chronique désespérée sur la solidarité et sur l'amitié, une vision plaisante des expériences d'un groupe d'individus paumés s'accrochant les uns aux autres et aux rêves les plus impossibles pour survivre. Bref, une transposition hautement poétique de la crise économique que traverse l'Argentine.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Deuxième long métrage d'un jeune cinéaste argentin, LOS PORFIADOS est d'abord une fable politique réjouissante et attachante. Sur la révolution et le pouvoir.(...) En fait, c'est le petit théâtre de la vie, amer, dérisoire et grinçant, que met également en scène le réalisateur avec ses petits pantins pathétiques, ses don Quichotte de lé révolution, héros malgré eux, humains trop humains.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Libération
par Antoine de Baeque
Le deuxième film de Mariano Torres Manzur, jeune homme de 27 ans, est souvent maladroit, bavard, aussi porté sur le poncif que sur la boisson, mais il n'en témoigne pas moins d'une tendance cruciale de la cinématographie actuelle.
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Cependant, on apprécie modérément la réalisation, brouillonne et abusant souvent du même plan : les membres du groupe discutant autour d'une table. Sa répétition lasse le spectateur. Tandis que l'ennuie commence à gagner, on salue alors sur la fin l'intervention salvatrice d'Eva, la seule femme du groupuscule.
Première
par Christophe Narbonne
Filmé en 16 mm et en noir et blanc (déjà une opération commando en soi), LOS PORFIADOS - "les acharnés" en français - est une oeuvre qui a la tonicité des projets fragiles. Avec sa galerie de personnages typés et forts en gueule, c'est une amusante réflexion sur le pouvoir très relatif des idées qui se heurtent toujours à la réalité du terrain et à la friabilité des hommes. Dans le contexte argentin, rire ainsi de l'échec est un sacré pied de nez.
Télérama
par Frédéric Strauss
Au fil de ce combat idéal et idéalisé, le film devient une fable sur l'utopie politique, sans véritable nouveauté. Si l'on gagne en universalité, on perd de vue la réalité argentine : les personnages semblent parfois sur la scène d'un théâtre. Mais dans leur cuisine cradingue où ils refont le monde sous un poster d'Eva Perón, ils ont quand même une sacrée allure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Elodie Lepage
Tantôt désespéré, tantôt révolté, le discours de Mariano Torres Manzur, dont c'est le premier film, balade le spectateur au point qu'on ne sait plus trop si le cinéaste partage les idéaux de ses protagonistes ou s'il s'en moque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
A la fois drôle et attendrissante, cette épopée ridicule et héroïque est naturellement, en filigrane, une satire de l'action politique radicale, assimilée au donquichottisme. Mais c'est également une chronique désespérée sur la solidarité et sur l'amitié, une vision plaisante des expériences d'un groupe d'individus paumés s'accrochant les uns aux autres et aux rêves les plus impossibles pour survivre. Bref, une transposition hautement poétique de la crise économique que traverse l'Argentine.
Les Inrockuptibles
Deuxième long métrage d'un jeune cinéaste argentin, LOS PORFIADOS est d'abord une fable politique réjouissante et attachante. Sur la révolution et le pouvoir.(...) En fait, c'est le petit théâtre de la vie, amer, dérisoire et grinçant, que met également en scène le réalisateur avec ses petits pantins pathétiques, ses don Quichotte de lé révolution, héros malgré eux, humains trop humains.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Libération
Le deuxième film de Mariano Torres Manzur, jeune homme de 27 ans, est souvent maladroit, bavard, aussi porté sur le poncif que sur la boisson, mais il n'en témoigne pas moins d'une tendance cruciale de la cinématographie actuelle.
MCinéma.com
Cependant, on apprécie modérément la réalisation, brouillonne et abusant souvent du même plan : les membres du groupe discutant autour d'une table. Sa répétition lasse le spectateur. Tandis que l'ennuie commence à gagner, on salue alors sur la fin l'intervention salvatrice d'Eva, la seule femme du groupuscule.
Première
Filmé en 16 mm et en noir et blanc (déjà une opération commando en soi), LOS PORFIADOS - "les acharnés" en français - est une oeuvre qui a la tonicité des projets fragiles. Avec sa galerie de personnages typés et forts en gueule, c'est une amusante réflexion sur le pouvoir très relatif des idées qui se heurtent toujours à la réalité du terrain et à la friabilité des hommes. Dans le contexte argentin, rire ainsi de l'échec est un sacré pied de nez.
Télérama
Au fil de ce combat idéal et idéalisé, le film devient une fable sur l'utopie politique, sans véritable nouveauté. Si l'on gagne en universalité, on perd de vue la réalité argentine : les personnages semblent parfois sur la scène d'un théâtre. Mais dans leur cuisine cradingue où ils refont le monde sous un poster d'Eva Perón, ils ont quand même une sacrée allure.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Tantôt désespéré, tantôt révolté, le discours de Mariano Torres Manzur, dont c'est le premier film, balade le spectateur au point qu'on ne sait plus trop si le cinéaste partage les idéaux de ses protagonistes ou s'il s'en moque.