Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Du théâtre filmé au meilleur sens du terme, qui saisit tout ce que la scène n’aurait pu donner, le relief des visages en gros plan, le choix, toujours miraculeusement juste ici, de mettre en lumière celui-ci plutôt que celui-là, qui n’empêchera jamais la caméra de tournoyer autour des corps, dans de longs plans virtuoses qui semblent porter le texte et ses silences sur un flux continu, créant pour ainsi dire l’espace entre eux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pierre Eisenreich
[...] portrait de femme dont la richesse intérieure est filmée en simultané à travers son conflit avec le monde extérieur, ouverture mentale sur un arrière-monde abstrait et mélancolique au son d’une flûte japonaise shakuhachi, réification sociale de la femme par les hommes interdisant ou autorisant sa liberté érotique, beauté extrême dans la perdition, autant d’ingrédients [du cinéma de Kenji Mizoguchi] que Benoit Jacquot réactualise magnifiquement.
Sud Ouest
par Sophie Avon
De ce huis clos devant la mer, Benoît Jacquot tire une œuvre fine et bouleversante, si forte qu’au moment où l’on se croit dans l’anecdotique, on est soudain cueilli par la profondeur d’humanité qui en jaillit. Un vertige.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Avec "Suzanna Andler", Benoit Jacquot adapte une pièce méconnue de Marguerite Duras. Et en livre une version habitée et lyrique.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En tout cas, Suzanna Andler signe un merveilleux moment de cinéma où le spectateur convoquera tous ses sens.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Philippe Ridet
Charlotte Gainsbourg, dans la lignée des grandes interprètes durassiennes.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Oui, ce film est lent. Oui surtout, une grande actrice y porte un grand texte. Fans de Charlotte Gainsbourg, ne passez pas votre chemin !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Louis Guichard
Toute la mélancolie de Duras magnifiée dans une adaptation sensible et aérienne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Le réalisateur des Adieux à la reine tient la promesse qu'il avait faite à la romancière, en adaptant ce texte, dont il restitue sur la forme et sur le fond, la fièvre et le dépouillement.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Gainsbourg incarne à merveille un personnage à la fois calme et totalement tourmenté, toujours comme au bord de l’évanouissement (…).
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Charlotte Gainsbourg amène la présence forte d’une femme tourmentée, autour de laquelle tourne son amant comme tourne la caméra amoureuse et déférente de Benoît Jacquot, qui la sublime.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre l’actrice au jeu cristallin, Charlotte Gainsbourg, et le metteur en scène s’esquisse un superbe pas de deux, qui fait oublier l’ennui poli de la dramaturgie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Charlotte Gainsbourg amène la présence forte d’une femme tourmentée.
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Adapté d’une pièce de Marguerite Duras, le film de Benoît Jacquot fascine par la mise en scène de son décor, sans parvenir toutefois à nous faire éprouver les tourments des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Suzanna Andler appartient à la veine la plus enfiévrée du cinéma de Jacquot et offre un beau rôle à Charlotte Gainsbourg. Le personnage transcende son interprète, la dépasse, la rend méconnaissable – il n’existe pourtant que grâce à elle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Passé le moment de la découverte du personnage de Suzanna et du cadre théâtral du film, le tout semble tourner à vide jusqu’à épuisement des protagonistes et des spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Suzanna Andler a au moins un mérite, celui de nous donner envie de replonger dans Virginie Q., de Marguerite Duraille (Balland), impayable pastiche de Patrick Rambaud dont on ne résiste pas au plaisir de reproduire quelques phrases.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le dispositif révèle ses limites : action statique et répétitive, plans séquences interminables, rythme nonchalant. Le spectateur est inévitablement mis à distance, malgré la beauté de la photographie et des mots de l’écrivaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Christophe Narbonne
La mise en scène est élégante et théorique (il y a environ cinq mouvements dans le film, chorégraphiés différemment) mais le film est dépourvu de chair et d’âme. L’ennui et le spleen de Suzanna sont les nôtres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Du théâtre filmé au meilleur sens du terme, qui saisit tout ce que la scène n’aurait pu donner, le relief des visages en gros plan, le choix, toujours miraculeusement juste ici, de mettre en lumière celui-ci plutôt que celui-là, qui n’empêchera jamais la caméra de tournoyer autour des corps, dans de longs plans virtuoses qui semblent porter le texte et ses silences sur un flux continu, créant pour ainsi dire l’espace entre eux.
Positif
[...] portrait de femme dont la richesse intérieure est filmée en simultané à travers son conflit avec le monde extérieur, ouverture mentale sur un arrière-monde abstrait et mélancolique au son d’une flûte japonaise shakuhachi, réification sociale de la femme par les hommes interdisant ou autorisant sa liberté érotique, beauté extrême dans la perdition, autant d’ingrédients [du cinéma de Kenji Mizoguchi] que Benoit Jacquot réactualise magnifiquement.
Sud Ouest
De ce huis clos devant la mer, Benoît Jacquot tire une œuvre fine et bouleversante, si forte qu’au moment où l’on se croit dans l’anecdotique, on est soudain cueilli par la profondeur d’humanité qui en jaillit. Un vertige.
Transfuge
Avec "Suzanna Andler", Benoit Jacquot adapte une pièce méconnue de Marguerite Duras. Et en livre une version habitée et lyrique.
aVoir-aLire.com
En tout cas, Suzanna Andler signe un merveilleux moment de cinéma où le spectateur convoquera tous ses sens.
Le Monde
Charlotte Gainsbourg, dans la lignée des grandes interprètes durassiennes.
Le Parisien
Oui, ce film est lent. Oui surtout, une grande actrice y porte un grand texte. Fans de Charlotte Gainsbourg, ne passez pas votre chemin !
Télérama
Toute la mélancolie de Duras magnifiée dans une adaptation sensible et aérienne.
Voici
Le réalisateur des Adieux à la reine tient la promesse qu'il avait faite à la romancière, en adaptant ce texte, dont il restitue sur la forme et sur le fond, la fièvre et le dépouillement.
Cahiers du Cinéma
Gainsbourg incarne à merveille un personnage à la fois calme et totalement tourmenté, toujours comme au bord de l’évanouissement (…).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Charlotte Gainsbourg amène la présence forte d’une femme tourmentée, autour de laquelle tourne son amant comme tourne la caméra amoureuse et déférente de Benoît Jacquot, qui la sublime.
L'Obs
Entre l’actrice au jeu cristallin, Charlotte Gainsbourg, et le metteur en scène s’esquisse un superbe pas de deux, qui fait oublier l’ennui poli de la dramaturgie.
Le Dauphiné Libéré
Charlotte Gainsbourg amène la présence forte d’une femme tourmentée.
Les Fiches du Cinéma
Adapté d’une pièce de Marguerite Duras, le film de Benoît Jacquot fascine par la mise en scène de son décor, sans parvenir toutefois à nous faire éprouver les tourments des personnages.
Les Inrockuptibles
Suzanna Andler appartient à la veine la plus enfiévrée du cinéma de Jacquot et offre un beau rôle à Charlotte Gainsbourg. Le personnage transcende son interprète, la dépasse, la rend méconnaissable – il n’existe pourtant que grâce à elle.
La Croix
Passé le moment de la découverte du personnage de Suzanna et du cadre théâtral du film, le tout semble tourner à vide jusqu’à épuisement des protagonistes et des spectateurs.
Le Figaro
Suzanna Andler a au moins un mérite, celui de nous donner envie de replonger dans Virginie Q., de Marguerite Duraille (Balland), impayable pastiche de Patrick Rambaud dont on ne résiste pas au plaisir de reproduire quelques phrases.
Le Journal du Dimanche
Le dispositif révèle ses limites : action statique et répétitive, plans séquences interminables, rythme nonchalant. Le spectateur est inévitablement mis à distance, malgré la beauté de la photographie et des mots de l’écrivaine.
Première
La mise en scène est élégante et théorique (il y a environ cinq mouvements dans le film, chorégraphiés différemment) mais le film est dépourvu de chair et d’âme. L’ennui et le spleen de Suzanna sont les nôtres.