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Tous ceux que l'Afrique attire devraient absolument voir ce film. Il constitue un magnifique apprentissage d'une relation enfin dénuée des éternelles ambiguïtés héritées des représentations imaginaires de notre histoire coloniale.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
"Lili et le baobab" retranscrit sans juger, laissant émerger les conclusions de chacun face à cette confrontation douce entre deux univers (...) le trait est fin, le rendu juste, le voyage enrichissant.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Grâce à une performance habitée et prenante de Romane Bohringer, "Lili et le Baobab" immerge totalement le public dans un dépaysement bienfaiteur, dans lequel la beauté de l'Afrique et de ses habitants prend tout son sens.
La représentation [d'un] univers drôle, riche en étoffes, en gestuelles, relevée d'une musique originale (Jean-Marc Zelwer), est aussi le portrait d'une Bohringer qui séduit par son romantisme réservé.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cette chronique (...) doit beaucoup de sa force au regard d'une cinéaste venue du documentaire. Romane Bohringer est troublante de fragilité et de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
(...) Chantal RIchard pose un regard tendre et chaud sur l'Afrique (...) mais il faudrait un peu plus sans doute pour que le spectateur soit transporté.
Le jeu presque brutal de Romane Bohringer et l'extrême simplicité de la mise en scène, tout en plans fixes, préviennent les risques du sentimentalisme tout en marquant les limites du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pour son premier long métrage, Chantal Richard a choisi un sujet largement autobiographique. Pourtant, en dépit d'une charge émotionnelle et de séquences documentaires séduisantes, le vécu de la réalisatrice n'apparaît que rarement à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Africultures.com
Tous ceux que l'Afrique attire devraient absolument voir ce film. Il constitue un magnifique apprentissage d'une relation enfin dénuée des éternelles ambiguïtés héritées des représentations imaginaires de notre histoire coloniale.
Fluctuat.net
"Lili et le baobab" retranscrit sans juger, laissant émerger les conclusions de chacun face à cette confrontation douce entre deux univers (...) le trait est fin, le rendu juste, le voyage enrichissant.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Un joli film, discret et sensible, au charme très personnel.
MCinéma.com
Grâce à une performance habitée et prenante de Romane Bohringer, "Lili et le Baobab" immerge totalement le public dans un dépaysement bienfaiteur, dans lequel la beauté de l'Afrique et de ses habitants prend tout son sens.
Positif
La représentation [d'un] univers drôle, riche en étoffes, en gestuelles, relevée d'une musique originale (Jean-Marc Zelwer), est aussi le portrait d'une Bohringer qui séduit par son romantisme réservé.
TéléCinéObs
Cette chronique (...) doit beaucoup de sa force au regard d'une cinéaste venue du documentaire. Romane Bohringer est troublante de fragilité et de délicatesse.
Zurban
[La réalisatrice] est épaulée par des comédiens formidables dont le jeu, tout en sobriété, donne sa force à ce film (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
(...) Chantal RIchard pose un regard tendre et chaud sur l'Afrique (...) mais il faudrait un peu plus sans doute pour que le spectateur soit transporté.
Le Monde
Le jeu presque brutal de Romane Bohringer et l'extrême simplicité de la mise en scène, tout en plans fixes, préviennent les risques du sentimentalisme tout en marquant les limites du film.
aVoir-aLire.com
(...) un regard juste mais un peu sage sur l'Afrique.
L'Humanité
On dépasse rarement le point de vue du touriste posant son regard apitoyé mais impuissant sur le tiers-monde indigent.
Première
Pour son premier long métrage, Chantal Richard a choisi un sujet largement autobiographique. Pourtant, en dépit d'une charge émotionnelle et de séquences documentaires séduisantes, le vécu de la réalisatrice n'apparaît que rarement à l'écran.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Romane Bohringer improvise plus qu'elle ne joue ce film imparfait et sensible. Fragile dans tous les sens du terme.
Les Inrockuptibles
Tout cela ressemble tout de même à un caprice de Blanc aisé (...) Le postcolonialisme a encore de beaux jours devant lui.
Score
(...) une laideur digne d'un mauvais film de vacances.