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Un visiteur
1,5
Publiée le 5 avril 2013
Je suis probablement trop jeune (16 ans) mais qu'est ce qu'on s'emmerde ! Le principal problème est que le film a incroyablement vieilli. Certaines personnes crient au chef d'œuvre... Sans déconner, vous avez déjà vu des chef d'oeuvres ? Dans ce scénario, les personnages sont inexistants, pour l'intrigue on peut pas faire plus simple. Reste les quelques courses poursuites et les acteurs. Mais qu'est ce qui reste ? Que retient-on du film ? Rien ! Il ne se passe rien et on s'ennuie ferme. Même des films plus vieux paraisse plus récent, et sont meilleurs. Et puis que dire de la fin... eh bien il n'y a pas de fin ! Chef d'œuvre !
Musique horrible, image atroce (le Blu-Ray est d'ailleurs honteux, avec un bruit numériques insensé qui s'ajoute au fourmillement de la pellicule), scénario qui n'a rien d'original; à moins de l'avoir découvert en salle, il n'y a guère d'intérêt aujourd'hui car tout est hyper daté (sauf le jeu de Gene Hackman). Quand j'entend dans les bonus comment l'équipe se gargarise sur la scène de la poursuite qui n'a jamais été égalée, j'en crois pas mes oreilles...
Il est incompréhensible que The French Connection ait gagné l'Oscar du meilleur film en 1971 tant il est d'une faiblesse inouïe à tous les niveaux. Ce long-métrage est en fait une longue filature très ennuyante, peu rythmée, mais surtout peu crédible et truffée d'incohérences. Beaucoup de scènes paraissent interminables, les dialogues sont quasi inexistants et les personnages ne sont pas du tout exploités, on a d'ailleurs du mal à retenir leurs noms qui ne sont prononcés qu'une poignée de fois sans compter les physiques des acteurs qui, pour certains, se ressemblent beaucoup. Le film a même des relents parodiques quand, par exemple, Doyle et Charnier se retrouvent dans le métro, scène totalement ridicule. D'ailleurs, pourquoi ce dernier est-il incarné par un acteur espagnol à l'accent espagnol alors qu'il est censé être français ? là encore, c'est complètement illogique. Même la réalisation, souvent bancale et parfois cheap, ne parvient pas à sauver le film du naufrage complet.
Un des meilleurs thrillers du cinéma. Friedkin a créee une atmosphère de film policier mêlé à un caractère documentaliste, qui se remarque par l'emploi fréquent de la caméra portée. Les acteurs sont très bons et l'histoire est excellente, dommage que la fin soit décevante.
La vielle école du cinéma américain réalisé par un pro, avec ce grand acteur Gene Hackman dans les années 70 disco-fun, le profil du rôle recherché. Un policier des stups nerveux dit Popeye et qui possède de la tonalité mise en avant, le confrère de Clint Eastwwod l'inspecteur Harry, un fonceur qui n'a pas sa langue dans sa poche pour traquer ces gangta. Des potes indics bar deale cocktail de poudre, sera cette ligne jaune frontière entre la déontologie et le code du déshonneur. Le jeu mumuse dangereux des représentants aux « pleins pouvoirs » d’autorité avec la truanderie, de Marseille la connexion française piège à malfrat local jusqu’à New-York. La dope arrivera à bon port, une course-poursuite contre la montre extraordinaire et la rame de métro n'hésitera pas à vider ses passagers en état d'alerte face aux bandits, un chef-d’œuvre de la fiction policière outre-atlantique qui finira par muter ses agents ripoux transformés en riche actualité.
un bon film policier, avec un excellent casting. Certaines scènes sont vraiment une réussite, comme la poursuite dans le métro entre Rey et Hackman. sinon, ça reste un peu trop classique .
Deux flics des stups enquêtent sur une importante livraison d’héroïne en provenance de Marseille…
Librement inspiré du roman éponyme de Robin Moore, lui-même basé sur la véritable enquête policière de policiers new-yorkais (entre les années 60 & 70, la majeure partie de la drogue qui arrivait sur la côte Est des États-Unis provenait du Sud de la France). William Friedkin (Police fédérale Los Angeles - 1986) réalise ici un film brut de décoffrage et d’un réalisme saisissant. On est clairement proche du documentaire puisqu’il s'efforce de nous montrer de l’intérieur les conditions difficiles dans lesquelles les policiers mènent leur enquête, les longues heures de planques et les filatures qui se suivent sans discontinuer.
French Connection (1972) nous entraîne dans une chasse à l’homme éreintante, entre New-York et Marseille, alternant le froid polaire de la grosse pomme et le cadre chaleureux de la cité phocéenne. Un polar urbain sans concession qui nous offre plusieurs scènes d’anthologie, à commencer par le jeu du chat et de la souris sur le quai du métro ou bien évidemment, la cultissime scène de course-poursuite entre un bolide et le métro aérien (la séquence dure pas moins de 8 minutes).
Superbement interprété par Gene Hackman & Roy Scheider, le film se verra très justement récompensé par 5 Oscars (dont celui de Meilleur film, Meilleur réalisateur et Meilleur acteur). Une suite verra le jour (French Connection n°2 - 1975) ainsi qu’un téléfilm (Manhattan Connexion - 1986), qui n’est autre qu’un épisode pilote pour une série télévisée qui sera finalement annulée.
Un des plus plus grands films policiers de tous les temps, French connection est l'histoire d'un tandem de flics des stups que l'on va suivre une de leurs enquêtes sur un gros bonnet. Planques, interrogatoires, interpellations, méthodes plus ou moins conventionnelles mais aussi une vie dure dans une ville filmée dans ses pires recoins. G. Hackman est tout simplement énorme, bouffant l'écran et d'une intensité incroyable. W. Friedkin filme l'action avec un rare réalisme, improvisant le plus souvent et nous offrant une course-poursuite anthologique entre un métro et une voiture. New-York comme vous ne l'avez jamais vu, une intrigue solide, des interprètes géniaux, une violence qui éclate comme rarement, un diamant noir du genre, hyper réaliste et d'une intensité incroyable. On n'en ressort pas indemne. D'autres critiques sur
Un chef d'oeuvre des films policiers réalisé par le réalisateur de l'Exorciste deux ans auparavant son célèbre film d'épouvante. Avec le légendaire Gene Hackman qui a joué dans Bonnie et Clyde, le chef d'Arthur Penn. Il a eu une suite en 1975 mais l'original reste le meilleur .
Grande fugure du nouvel hollywood, William Friedkin réalise avec French Connection l'un des films les plus survoltés et pessimistes du cinéma américain des années 70. Hackman et Scheider sont excellents.
Un polar nerveux, solide, cru, réaliste et parfaitement mis en scène ; French Connection est devenu une référence en terme de polar urbain. Le casting est sensass avec en tête l'extraordinaire Gene Hackman, Fernando Rey est magnifique aussi dans la peau du narquois dealer de haut gamme Alain Charnier, Marcel Bozzuffi n'est pas en reste dans la peau du tueur. Les courses-poursuites sont fabuleuses notamment celle du métro. Je dois avouer tout de même que French Connection en le revoyant m'a légèrement moins plu que lors de mon 1er visionnage mais cela n'enlève rien aux qualités de ce grand polar du 7ème Art.
French connection est un très bon film de William Friedkin. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, le scénario est original, intéressant et bien mené, le rythme du film est efficace, les acteurs comme Gene Hackman, Roy Scheider ou encore Tony Lo Bianc sont convaincants dans leurs rôles et tout particulièrement Gene Hackman. Bref, c’est à voir.
Grand classique du polar et film des années 70 devenu culte. Il offrit la consécration à son réalisateur William Friedkin disparu l'été dernier après une grande carrière derrière la caméra. Revu récemment, je peux affirmer que celui-ci n'a pas trop vieilli et s'avère toujours aussi percutant dans son réalisme notamment. Le scénario est un classique du genre mais la réalisation (malgré un petit budget) est très soignée et plaira à tous les amateurs de policier : il est amusant de voir les quelques vieilles images du quartier du panier et du "Vallon des Auffes" (avec le fameux restaurant "Chez Fonfon") tournées en France en 1971. Côté casting, la distribution est solide mais le film repose surtout son premier rôle interprété par un grand Gene Hackman alias "Popeye" qui montre le côté rugueux de la Police qui n'hésite pas parfois à s'affranchir de quelques règles pour pouvoir mettre au pas le crime organisé. Ce thème du flic pas toujours bien droit dans ses bottes est cher au metteur en scène puisqu'on le retrouve dans "La Chasse (the Cruising)" ou "Police Fédérale Los Angeles". La scène de poursuite sous le métro aérien de New-York tournée dans des conditions difficiles (froid) avec un accident plus vrai que nature puisque non prévu au scénario, et où l'acteur principal est poussé dans ses retranchements, est restée dans les annales cinématographiques comme l'une des meilleures (celle de Bullit avec Steve McQueen fut tournée quelques temps auparavant). Et le film remporta cinq oscars en 1972 dont celui du meilleur film, du meilleur réalisateur pour Friedkin et du meilleur acteur pour Gene Hackman! En conclusion, un long-métrage culte que je ne peux que conseilleur aux afficionados du septième art.
Un très bon film policier dont les faits paraissent terriblement authentiques, tant l'histoire, la mise en scène, et le scénario sont bien foutus. Les acteurs sont très bons, spécialement Gene Hackman dans son rôle de flic dur à cuire, antipathique et agressif à souhait. Il dynamise le film à lui tout seul. La scène de filature est sans doute l'une des meilleurs du cinéma et que dire de la poursuite en voiture dans ce New-York des années 70 plein de charme. Un classique dont il ne faut surtout pas se priver.