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Le plus chargé en émotion des trois films de la TRILOGIE de Lucas Belvaux. Il est porté par deux personnages magnifiques, interprétés par Gilbert Melki, méconnaissable dans la gravité, et Dominique Blanc, toujours juste dans une composition difficile.
Des trois films de Lucas Belvaux, celui-ci est le plus profond, au sens où résonne en lui le plus de passé, de coups encaissés, de souffrances accumulées.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Tout naît du désir de connaître ce qui, de la vie de l'autre, se passe loin de nos yeux, juste après ce que l'on en a vu : c'est le principe sur lequel repose la trilogie.
On peut admirer avec quelle dextérité Lucas Belvaux construit une histoire à partir d'une autre, comment les enjeux des deux premiers films (l'infidélité fictive d'Alain, la cavale de Le Roux) viennent nourrir celui-ci sans que ces liens, ces "passages" d'un film à l'autre ne soient jamais anecdotiques, mais au contraire soutiennent et justifient puissamment ce qu'on nous raconte.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) il est impératif de n'en rater aucun, moins pour admirer la prouesse scénaristique de l'ensemble, que pour saisir l'opportunité de céder au vertige suscité par sa spectaculaire diffraction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dominique Blanc y est parfaite en femme qui ne tient qu'à un fil, tout comme Gilbert Melki, à des années-lumières de La Vérité si je mens. Il y a de la graine de César dans chacun de ces deux rôles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaroscope
L'ensemble forme une prenante trilogie romanesque, qui plonge le spectateur dans une singulière aventure artistique et humaine.
MCinéma.com
Le plus chargé en émotion des trois films de la TRILOGIE de Lucas Belvaux. Il est porté par deux personnages magnifiques, interprétés par Gilbert Melki, méconnaissable dans la gravité, et Dominique Blanc, toujours juste dans une composition difficile.
Télérama
Des trois films de Lucas Belvaux, celui-ci est le plus profond, au sens où résonne en lui le plus de passé, de coups encaissés, de souffrances accumulées.
Cahiers du Cinéma
Tout naît du désir de connaître ce qui, de la vie de l'autre, se passe loin de nos yeux, juste après ce que l'on en a vu : c'est le principe sur lequel repose la trilogie.
Chronic'art.com
On peut admirer avec quelle dextérité Lucas Belvaux construit une histoire à partir d'une autre, comment les enjeux des deux premiers films (l'infidélité fictive d'Alain, la cavale de Le Roux) viennent nourrir celui-ci sans que ces liens, ces "passages" d'un film à l'autre ne soient jamais anecdotiques, mais au contraire soutiennent et justifient puissamment ce qu'on nous raconte.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) il est impératif de n'en rater aucun, moins pour admirer la prouesse scénaristique de l'ensemble, que pour saisir l'opportunité de céder au vertige suscité par sa spectaculaire diffraction.
Le Parisien
Dominique Blanc y est parfaite en femme qui ne tient qu'à un fil, tout comme Gilbert Melki, à des années-lumières de La Vérité si je mens. Il y a de la graine de César dans chacun de ces deux rôles.
Les Echos
C'était vraiment un pari fou... Et c'est une vraie réussite.
Les Inrockuptibles
Après la vie est un mélodrame émouvant, ce qui est bien, sec et physique, ce qui est encore mieux.
Première
Pour Gilbert Melki, formidable acteur de composition, le dernier volet de la trilogie Belvaux arrive comme une cerise sur sa filmo.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Dommage que, sur le fond, le récit finisse tout de même par souffrir, parfois, d'un sentiment de déjà-vu.
Positif
Lucas Belvaux s'est lancé dans une entreprise follement ambitieuse, fascinante et largement réussie.