Ce western a quand même de l'action et du suspens , mais il est un peu mou , a beaucoup de lenteurs . Le scénario , l'histoire est moyen , la partie honneur avec le Samouraï est trés bien . Mais la partie avec les Indiens est nul , encore un western ou l'on voit que les Indiens sont les méchants , alors que en réalité, ce sont les victimes , qui ont été victimes d'un terrible génocide , leurs terres a été volés par les Européens , à la conquête de l'ouest , et tout les Indiens d'Amérique , ont presque été tous exterminés ! Dommage pour le super casting internationnal , que ce western n'est pas formidable : - Charles Bronson ( U.S.A ) . - Toshiro Mifune ( Japon ) . - Ursula Andress ( Italie ) . - Alain Delon ( France ) . Je met 2 étoiles et non une demi étoile , car il y a quand même un peu d'action et de suspens ( Mais les scénes d'action ne sont pas trés spectaculaire , ce western est un peu mou , mais il y a quand même un peu d'action ) .
Ni tout à fait classique ni tout à fait dans la tendance du western-spaghetti auquel il emprunte beaucoup, ce Soleil Rouge (réalisé par le premier metteur en scène des James Bond, ce qui a de quoi surprendre) vaut pour son argument de choc des cultures, ses interprètes qui ont chacun leur part dans l'efficacité de l'histoire. Ce ne sont pas les paysages ou le nœud de l'intrigue qui emporteront le spectateur car on est dans du très basique ou du maintes fois filmé, mais plutôt dans les petites trouvailles pleines d'humour ou de décalage, et le côté cabot d'un Charles Bronson qui se trouve être comme un poisson dans l'eau, avec suffisamment de spectacle saupoudré par-dessus pour maintenir l'intérêt.
Le tournage a beau avoir eu lieu en Espagne, la reconstitution de l'Ouest américain est magnifique, avec de jolis paysages ensoleillés ! Charles Bronson et Toshiro Mifune forment un duo de choc et l'idée d'avoir introduit un samouraï est très originale. Les scènes d'attaque du train et des indiens sont spectaculaires. Ce western rivalise largement avec les productions hollywoodiennes. Un chef d'oeuvre !
« Soleil rouge » est un western qui a bercé mon enfance grâce à ses nombreuses rediffusions à la télévision tout comme les films d’action de Delon et de Belmondo. « Soleil rouge » est un western (pré) « mondialiste » qui réunit des stars venues d’horizons aventureux assez « excitants » : Charles Bronson (« Il était une fois dans l’Ouest »), Ursula Andress (« James Bond 007 contre Dr. No »), Toshiro Mifune (« Les Sept samouraïs ») et Alain Delon (no comment !). Terence YOUNG est un bon réalisateur, sans imagination, mais plutôt appliqué (ses James Bond sont assez classiques). « Soleil rouge », production européenne, est bien meilleur à la majorité des westerns spaghetti de l’époque, mais il ne rivalise pas avec le bon vieux western made in US. Reste le scénario assez original à défaut d’être crédible et un duo Bronson/Mifune qui fonctionne bien. Alain Delon est un parfait salaud cynique. Le choc des cultures « Amérique » vs « Asie » avec une forte dose de caricature et une touche d’humour et de dérision. Pittoresque. Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
Un casting cosmopolite et de bel facture pour ce western qui évoque la fin de la conquête de l’Ouest et un choc des culture dans un nouveau pays. Dommage que soleil rouge ne soit pas tout le long aussi efficace et intéressant que sa scène d’ouverture. Le reste du film un peu trop linéaire n’arrive pas à éviter quelques longueurs et passages à vide. Mais pour le duo improbable et qui fonctionne très bien formé par Charles Bronson et Toshiro Mifune il ne faut pas hésiter à s’attarder sur ce Soleil Rouge.
Un western des années 70 , forcément ça sent les spaghetti, mais avec un Alain Delon Alias gauche, dans un rôle qui lui va si bien, Charles branson charismatique, et un mifune bien furax,les paysages d'almeria, les balles qui fusent, et bien on à là un western qui se regarde avec plaisir. a oui !! j'allais quand même pas oublier la magnétique et sublime Ursula Andress !! BEH non quand même !!!
Alors trois homme rentre dans un film d'aventure, l'un est français, l'autre américain et le dernier japonais. Le premier vol argent d'un train et sabre d'une grande valeur, les deux autres sont à la recherche de ce dernier. Ils ont sept jours pour le faire. Le mélange des cultures dans ce voyage bourré d'humour. Très divertissant. La musique de Maurice Jarre y est pour beaucoup aussi. Aussi bien que la décontraction de Bronson, le sobriété de Mifune, le Alain de Delon et le féminité par Ursula Andress et Capucine. La réalisation du réalisateur du premier James Bond. Toujours très multiculturel. La bataille finale en est le parfait exemple, contre les apaches, l'union des quatre font la force. Mais l'affrontement entre les stars, est inévitable. Mais aussi d'anthologie. Un très bon western !
Un western un peu atypique qui fait cohabiter un cow boy et un samouraï. Les 2 hommes vont unir leur force pour mettre la main sur le complice du premier, responsable de la mort d'un ami du second. Bronson et Mifune campent ce duo improbable de manière très convaincante. Et Alain Delon, dans un plus petit rôle est l'objet de leur quête. On notera aussi la présence d'Ursula Andress qui n'hésite pas à dévoiler ses charmes. On passe un bon moment devant ce film.
Un western plutôt bien fait dans la bonne tradition de l'époque, avec un casting international représentant Europe, Asie , Amérique c'est rare pour un western surtout à cette époque. Des bon personnage même si Alain Delon fait du Delon malheureusement ! Les acteur japonais sont très bon, Charles Bronson montre qu'il n'a rien à envier au grande star du western , et joue un homme en quête de vengeance et de réponse qui n'a pratiquement peur de rien . Un bonne histoire même si on a du mal à rester dans le film tout le temps , la fin passe plutôt vite mais avant que une heure de film soit passé pour être honnête on trouve le temps long mais après cette heure là le film devient plus intéressants et on ne voit plus le temps passe juste quand le film est finie .
résumer : Au printemps 1870, en Arizona, un ambassadeur japonais accompagné de deux samourais, Kuroda et Namuro, se rend à Washington à bord d'un wagon privé pour prendre ses fonctions. Il est chargé de remettre au Président des États-Unis, de la part de l'Empereur du Japon, un sabre de samouraï de grande valeur. Dans ce même train voyage une redoutable bande de hors-la-loi, commandée par Link et son second Gauche, qui projettent d'attaquer le wagon postal. Les bandits s'emparent de l'or, mais Link et Gauche volent également le sabre, non sans avoir tué Namuro. Gauche, convoitant pour lui seul le chargement d'or, fait tuer Link par ses complices. mais link n'est pa mort et accompagner d'un samouraï il compte bien ce venger et avoir des réponses.
S'il reprend beaucoup de thèmes chers au western classique, l'approche, les dialogues penchent plus vers le « spaghetti ». En fait, ce qui offre sa singularité à ce « Soleil rouge » sans grande subtilité mais assez divertissant, c'est clairement l'introduction d'un élément « étranger » dans un univers profondément américain, en l'occurrence ce samouraï incarné par le charismatique Toshirô Mifune. Rien d'extraordinaire, notamment dans l'opposition entre ce dernier et Charles Bronson, mais j'avoue avoir été agréablement surpris de voir le scénario ne pas (trop) tomber dans la caricature ou l'humour facile, l'ensemble gardant toujours une certaine tenue, l'écriture des personnages, sans être géniale, là encore, faisant le boulot avec efficacité.
On sent un potentiel partiellement exploité, notamment le rôle interprété par Ursula Andress, intéressant dans son ambivalence mais qui aurait dû l'être encore plus. Enfin, Alain Delon campe un salaud plutôt séduisant, sans doute l'un de ses meilleurs rôles hors de France et bien dans le ton de l'œuvre. À noter, enfin, un final plutôt réussi où Terence Young témoigne d'un professionnalisme évident. Rien de très marquant, mais pour ces quelques singularités doublées de talents devant comme derrière la caméra, « Soleil rouge » peut valoir le coup d'œil.
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3,0
Publiée le 30 mars 2021
Curieux film que ce "Soleil rouge" avec une distribution très internationale! L'introduction du samouraï dans un thème de western ou le colt face au sabre! Ici Alain Delon trahit son ami Charles Bronson et vole par dessus le marchè le sabre ancestral de Toshiro Mifune! On comprend rapidement que c'est une question d'honneur que de reprendre ce sabre, comme savoir se sacrifier pour son maître! Western efficace et plaisant, tournage en Espagne comme une grande partie des westerns europèens! Comme on le voit, l'opposition des bons (Bronson & Mifune) et du mèchant (Delon) est plus nuancèe qu'on ne pourrait le croire de prime abord! Sorti en 1971, "Soleil rouge" tient d'une traque avec des paysages arides qui nous entourent! De l''action, de l'honneur, de la trahison, un soupçon d'humour...Ursula Andress, Capucine et Monica Randall pour la pointe de sèduction! Ah tout ce remue-mèninge pour un morceau de mètal...
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1,5
Publiée le 25 mars 2021
Savez vous ce que vous ressentez lorsque vous ramenez à la maison votre toute nouvelle table et que la première fois que vous essayez de l'utiliser un des pied se casse. C'est le sentiment que j'ai eu en regardant Soleil Rouge (aussi longtemps que j'ai pu le supporter). Ce film est tellement mal ficelé qu'on pourrait croire que Terence Young n'avait qu'une infime partie du budget dont il disposait pour le faire. Il pourrait tout aussi bien afficher un panneau à l'écran pour indiquer quand les cascadeurs prennent la place des acteurs tant l'ensemble est mal ficelé. À plusieurs reprises des actions cruciales se déroulent hors champ sans que l'on puisse imaginer une raison autre que le fait qu'ils n'aient pas pu obtenir une prise de vue convaincante et qu'ils aient dû la supprimer au montage. Dans tous les cas c'est une mauvaise image pour un film d'action. Ce film présente les plus mauvais Indiens qui soient jamais apparus dans un western. Il a manifestement été tourné en Europe (Espagne). Les acteurs n'ont vraiment rien d'intéressant à faire et on se dit que c'est un gaspillage d'opportunité. Une scène où Ursula poignarde un Indien est si mauvaise qu'on peut voir que le couteau est plié...
Un casting de choc, Charles Bronson, Toshiro Mifune, Alain Delon et Ursula Andress, un scénario original mais prévisible, « Soleil rouge » a plus d’un atout. Certes, l’ensemble a un peu vieilli et quelques longueurs se font sentir çà et là mais on passe malgré tout un bon moment. L’idée de rapprocher un cow-boy et un samouraï donne une touche humoristique en exacerbant des dualités détonantes : honneur contre corruption, sabre contre arme à feu, propreté contre crasse…
Malgré un casting de haute voltige, le scénario faible souffre de banalités et n'est soutenu uniquement grâce au duo improbable entre un Samouraï et un truand.