Pure navet de l’histoire Hollywoodienne sur les péplums romains romantiques, un scénario pro-religieux pour une mise en scène infâme, pas besoin de le répéter, c’est écrit précédemment enregistré, une hyperbole critiquable sur ce genre de film équivoque.
Rome ne s’est pas fait en un jour et tous les chemins uniques pavés mènent à Rome, ave César le conquérant et son fils adoptif Octave/Auguste !......que du bla-bla et des moyens faiblards, rien que pour les costumes productives et zéro histoire passionnante.
C’est sans surprise en attendant pendant 2h50 pour lâcher les félins se déchaîner sur des martyrs chrétiens, un film ode du christianisme civilisé sur la loi du talion cruellement vôtre, définissant l’œil pour œil, dent pour dent d’un autre temps selon la réalisation vivant à une époque moderne en droit civique, la marche avance à la fois paisiblement et violemment.
Envie de balancer chez ces spectateurs incrédules au milieu de la foule ola endiablée, la muleta de torero hercules espagnol pour ce taureau dans l’arène tauromachie, un héros antique romain christianisé par amour irrésistible jolie chrétienne.
Dans l’empire américain 1953, alias l’empire romain an 30 environ après Jesus Christ crucifixion, le général dans cette romance aseptisée, on aurait dit du sirop d'érable comme le miel doux, une propagande esclavagiste son intrigue.
Le seigneur et sa mignonne soumise romantique fait rire, c’est un dandy clown mignon tout comme son empereur aimé mais détesté par une partie du peuple de Rome, ouh assassin incendiaire incriminé machination méchante païenne anti-chrétienne...!
En ses débuts religieux, une secte composée d’illuminés marchant sur l’eau, devant une populace inculte impressionnée dérivée du Judaisme, une pure fiction symbole du pouce haut vers le ciel épargné ou le bas de l’enfer certainement, Gladiator Gladiator !! Tout droit sortie de l’imaginaire californien à Los Angeles.
N’oublions pas ces sages paroles historiens spécialistes bibliographes professeurs érudits savants experts britons anglo-saxons, connaissant mieux que quiconque l’antiquité historique romaine d’Europe, les chrétiens se sont battus comme des lions et non contre l’empire.
C’était pour un empire effondré qui s’est laissé d’abord rongé de l’intérieur, ravagé par les guerres civiles et submergé de profiteurs pilleurs extérieurs, Néron suzerain représentation telle de la paresse, perversité, lâche et manigance conspiratrice Pax Romana.