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    Quo Vadis
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    jfharo
    jfharo

    56 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2012
    Le technicolor çà en jette , sinon pour le reste c'est plutôt plan-plan-
    Ustinov est délirant dans son rôle d'empereur fou .
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 652 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 octobre 2021
    Quel ennui colossal dire que j'ai passé trois heures à regarder ce film et je suis généreux il y a trois minutes de cinéma à moitié correct. Je suppose que c'était vendu comme un spectacle et si c'est vrai je ne l'ai pas vu. Ce n'est que du bavardage puis encore du bavardage et rien qui vaille la peine d'être entendu. Il est juste possible qu'avec deux rôles principaux à moitié décents au lieu du Taylor en bois et de l'insipide Kerr cela aurait pu être regardable disons avec Lancaster ou Douglas face à Ava Gardner. En l'état la seule distraction consiste à chercher la Liz Taylor ou la Sophia Loren qui ne sont mème pas créditées a la fin. Ustinov s'en sort bien sûr mais étant donné le rôle tel qu'il est écrit même moi j'aurais pu faire un coup de couteau respectable. Finlay Currie et Felix Aylmer dans un seul film sont également remarquable mais pas assez pour le rendre intéressant. Peut-être que s'ils avaient lâché les lions dès la première session de pré-production cela nous aurait fait du bien à tous...
    Hotinhere
    Hotinhere

    566 abonnés 4 983 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2023
    Un péplum en Technicolor visuellement grandiose, plombé par des dialogues soporifiques et un jeu trop théâtral.
    Henrico
    Henrico

    167 abonnés 1 332 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    L’intérêt de Quo Vadis n’est pas seulement de mettre en valeur le magnétisme extraordinaire de Robert Taylor et de Deborah Kerr. Il permet aussi de rendre compte de l’immense talent de Peter Ustinov, sans lequel les causes et la complexité de la folie de Néron n'auraient absolument pas été crédibles. Etre capable de jouer avec tant de vérité, à la fois la candeur, la vanité, la cruauté, et la lâcheté, est tout simplement fascinant. De plus, il n’y a pas que les répliques de Néron qui sont d’anthologies, celles du dénommé Petrone, joué par le grand Leo Genn, le sont aussi. Ce film de Mervyn Leroy passe au rang de film culte pour toutes ces raisons, mais aussi pour sa solide intrigue, et surtout son savant mélange d’humour et de tragique.
    VOSTTL
    VOSTTL

    99 abonnés 1 948 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Il y a deux ans, je consacrais un été à Robert Bresson avec 6 films et à la Nouvelle Vague. Me voilà à délirer en voulant approcher le péplum franco-italien ou européanno-italien voire italien tout court !
    Voilà ce que j’écrivais il y a un bon mois.

    J’en suis revenu et j’ai décidé de mettre fin à mon chemin de croix avec « Le colosse de Rhodes » après « Hercule se déchaîne », « La vengeance d’Hercule », « Les derniers jours d’Herculanum », « Cléopâtre, une reine pour César » et « Ponce Pilate ».

    Désolé, avec les américains, je ne m’ennuie pas ; c’est à l’image de leur pays, immense, et à l’image d’Hollywood, démesuré. Des figurants en veux-tu en voilà, je crois qu’ils étaient plus de 5000, et surtout pas d’animaux en peluche ou figés contre lesquels un Hercule de pacotille aux muscles puissants s’évertue à tuer, tel un gamin dans son jardin.

    Et puis, il y a cette musique de Miklós Rózsa avec en anglais les mots « Overture » et « Exit » comme à l’Opéra. Durant ces deux moments, il ne se passe rien, le spectateur est comme face à un rideau. Il attend et écoute. Il écoute des choeurs puissants qui laissent présager un récit ample et nourri.
    Quand le rideau se lève, place au générique et le film peut commencer.

    Une histoire d’amour entre un homme et une femme ; une passion amoureuse relativement simplette comme toutes les histoires d’amour. Il suffit de donner corps à cette passion. Il faut de la contrariété, un parcours rempli d’obstacles comme la différence de classe sociale, d’opinion religieuse et d’intrigues de pouvoir.
    Classique, quoi.
    Parfois, le classique a du bon.

    Un général romain Marcus Vinicius (Robert Taylor), arrogant, imbu de sa personne est épris d’une jeune émigrée Lygie (Deborah Kerr), discrète et chrétienne clandestine.
    La passion amoureuse se conjugue avec la passion pour la nouvelle religion, celle qui fait référence au Christ.
    Au milieu de toutes ces passions, il y a Néron sous les traits hallucinés et puérils de Peter Ustinov qui se croit un irrésistible artiste et obsédé de rebâtir une nouvelle Rome.

    Je me moque de l’exactitude des faits historiques, « Quo Vadis » de Melvin LeRoy s’inscrit dans cet Hollywood qui exagère et s’arrange avec la Grande Histoire ; il lui faut du romanesque, de l’aventure, du spectaculaire, du beau et du triste.
    Au spectateur d’aimer ou ne pas aimer. De faire la part des choses, de trier le bon grain de l’ivraie, de prendre « Quo Vadis » pour un simple divertissement.
    Ce qu’il est.
    La poursuite des chars donne un coup de vieux mais globalement, le film tient la distance de l’âge… Il est loin d’être ridicule comparé aux films italiens, qui certes n’ont pas d’ambition à commencer de se prendre au sérieux.
    Ça n’engage que moi…
    Claude DL
    Claude DL

    92 abonnés 1 687 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2023
    Un péplum très hollywoodien retraçant l’émergence du christianisme sous le règne de Néron. Peter Ustinov, dans le rôle de l’empereur fou et cruel, est bluffant. Déborah Kerr, en chrétienne éprise d’un général romain, est bien belle. On assiste à l’incendie volontaire de Rome, bien reconstitué. Les scènes dans les arènes sont également réussies. Pour un film de 1951, le résultat est probant et on prend une leçon d’Histoire. Belle découverte, même si on n’atteint pas le niveau de Ben-Hur dans le genre.
    Michael78420
    Michael78420

    46 abonnés 1 455 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2021
    Un modèle de péplum comme on n'en fait plus. Même soixante-dix ans après sa sortie aux États-Unis, la France ayant du attendre deux ans de plus (il en fallait du temps à l'époque pour traverser l'Atlantique !), Quo Vadis reste impressionnant. Alors certes les effets spéciaux ont vieilli, le son est cotonneux et le vocabulaire peut surprendre les moins érudits de nos contemporains (wikipedia est ton ami). L'histoire des premières années du christianisme, les scènes de gigantisme dans la Rome antique, les complots au plus haut niveau de l'Etat, le rapport à la mort, l'esclavage, et tant d'autres choses sont si bien restituées qu'on se croirait plongés en 64, il y a donc près de deux mille ans. Autant Néron y apparaît complètement taré, autant Saint-Pierre est montré captivant. Le message de Jésus qu'il délivre inlassablement est merveilleux et si différent de ce qui était la norme à cette période. Le spectateur de 2021 appréciera cette réplique de Pétrone à Néron : "Plus le mensonge est gros, plus le peuple se laisse convaincre". De quoi réfléchir sur notre époque. À (re)voir avec attention, en sachant que depuis le tournage, les historiens nous ont appris que Néron n'aurait finalement eu aucun rôle dans l'incendie de Rome.
    Kubrick's Club
    Kubrick's Club

    40 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2021
    « Quo vadis Domine ? » (« Où vas-tu, Seigneur ? ») aurait dit Simon dit Pierre, l’apôtre, lors de son exécution en 65, l’année suivant le grand incendie de Rome attribué à Néron par les chrétiens, et aux chrétiens selon Néron. Avec tout le décor, le tragique et la puissance des sujets sur la foi, ce péplum est un grand classique : avec ce qu’il a d’inégal, tantôt de lourd tantôt de sublime, et dans tous les cas trop long. Peu importe, sorti en 1951, le réalisateur en fait une lecture fort instructive de cet âge d’or de l’Antiquité au cinéma… et de l’Amérique victorieuse et conquérante.

    « Il faut une foi stable pour qu’un empire dure » dit en substance le narrateur en guise de conclusion, comme un message à ses confrères hollywoodiens communistes qui tenteraient de semer le désordre au sein de l’empire fragmenté (la guerre civile est le mode de prise de pouvoir développé par Marx). Ce message se veut intemporel pour toute nation et tout empire, mettant à l’honneur le christianisme comme ciment social pour les nations occidentales, à l’heure de 2021 où la gauche « éveillée » (woke) nous jette à la fosse aux lions et où de nouveaux martyrs, qui sacrifient nos vies avant les leurs (tout l’inverse des chrétiens de l’époque) font feu de tout bois…
    SB88
    SB88

    25 abonnés 1 171 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2023
    Les 38 premieres minutes du film sont epoustouflantes ! Les decors, l'histoire, c'est grandiose ! Malheureusement, ça vire trop sur la religion et l'amour guimauve a l'eau de rose pour la suite. Ca devait convenir à l'époque mais trop naif pour nous aujourd'hui. Bon divertissement tout de même !
    3,6/5
    Ducerceau
    Ducerceau

    14 abonnés 618 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2023
    Le plus grand chef d'œuvre du péplum 9 ans avant Ben Hur ! L'hommage de l'empire hollywoodien à la Rome impériale. Décors et costumes magnifiquement reconstitués sur place, à Ciné Citta. Pour l'avoir personnellement visité, je sais de quoi je parle. Et si le scénario ne respecte pas la vérité historique, rappelons-nous la phrase d' Alexandre Dumas :"On peut violer la vérité historique à condition de lui faire de beaux enfants"!
    cinéman
    cinéman

    44 abonnés 811 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2023
    Beau péplum de près de 3h sur la christianisation de l'empire romain durant le règne de Néron, qui met intelligemment en avant sa folie mégalomane. Mais ce film c'est surtout une romance entre un Romain haut gradé de la garde prétorienne et une jeune chrétienne qui tente de lui faire entendre raison. La dernière heure est particulièrement spectaculaire avec l'incendie de Rome, les chrétiens jetés aux fauves dans l'arène, le combat (réel, on voit tout) d'un homme contre un taureau, et le suicide rendu obligatoire de Néron. Un vieux film de 1951, sans numérique, mais qui n'a rien à envier aux grosses productions actuelles. Au contraire, la réalité de vraies images le rend encore plus admirable... Des bémols cependant sur quelques erreurs historiques : on ne sait pas si Néron a incendié Rome, le jeu d'échec n'existait pas dans l'antiquité...
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    146 abonnés 3 086 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2020
    Un film grand spectacle sur le monde romain et la persécution des premiers chrétiens, la locution latine du titre signifie "où vas tu ?" du roman de 1896 gros succès du polonais Henryk Sienkiewicz (1846-1916). Ce titre est une question sur la conscience des actes et leur but afin de choisir la bonne voie celle de Pierre qui prêche le Christ et accepte d'être un martyr (allusion aux reniements de Pierre dans les évangiles et à son dialogue avec Jésus après la résurrection où il lui dit qu'il mourra en martyr) ou condamner une mauvaise voie telle celle de Néron, fou sanguinaire, incarnant la folie. Mais ce film s'annonce comme un grand spectacle et de la romance et c'est ce qu'il est, théâtral, une grosse figuration une histoire de foi peut être mais un peu résiduelle opposée à la folie d'un Néron et aux intrigues et ambitions des patriciens romains. Un film très hollywoodien, certains y voient beaucoup de propagande chrétienne, bonjour la propagande : massacrés dans l'arène pour la joie d'un grand nombre. C'est cependant le peu de véracité historique qu'il y a dans un tel film principalement axé sur le charisme et la mise en valeur de ses vedettes autant masculines que féminines. Ce qui est vu aujourd'hui comme de la propagande chrétienne était en fait un ton humaniste assez commun pour l'époque 1951 s'appuyant sur la religion qui alors été synonyme d'un morale très convenue et de bon ton. Certainement pas une volonté du film qui n'est en cela qu'un reflet peut être même amoindri du roman par lequel 50 ans plus tôt c'était encore plus vrai alors que 20 ans après ce film ce ne le sera plus du tout.
    steevevo
    steevevo

    8 abonnés 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2020
    Peter Ustinov en Neron déjanté est l'atout majeur du film. Des acteurs convaincants et souvent justes sont la force de ce péplum coloré et christique. Peu d'action mais un plédoyé bavard en faveur du christianisme. C'est une très belle illustration surannée qui a ses qualités toutes hollywoodiennes et ses défauts assumés. On ne s'embarrasse pas de nuances et le message asséné finit par lasser ou agacer. Un final à la hauteur des attentes en terme de dramaturgie. À voir.
    Desman
    Desman

    8 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Un peplum de bonne facture servit avant tout par la performance hallucinante et inoubliable de Peter Ustinov en Néron mégalo, parano et à moitié dément. Le film pêche par les longueurs de certains monologues bibliques qui cassent le rythme de la narration.
    Topaze87
    Topaze87

    8 abonnés 415 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2024
    Un péplum à grand spectacle plutôt réussi qui bénéficie d’une belle distribution,. Le film contient quelques temps faibles du fait de sa durée mais on ne décroche jamais pendant près de trois heures.
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