Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Le Fils reconduit brillamment l'entreprise de cinéma initiée par Rosetta : un cinéma sans répit, tout en tension, en trajectoires chaotiques, où le monde est vu par-dessus l'épaule d'un personnage, un cinéma de la filature et de la course-poursuite, de la traque.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
Bien qu'une grande bouffée d'air pur s'impose à la sortie de la projection, on ne peut aussi s'empêcher de repenser à l'interprétation du fidèle Olivier Gourmet qui continue encore à nous brasser le coeur et les tripes. Rarement un acteur n'avait tout simplement été capable d'être avec autant de réalisme. Rien que pour ça, ça valait la peine.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Humanité
par Jean-Pierre Léonardini
Est-il besoin d'ajouter que le Fils, en sa qualité d'oeuvre si excellemment pensée, mûrie, réalisée, chavire la conscience et relève d'une conception de la catharsis dont il est peu d'exemples dans ce qu'il faut bien continuer, pour le coup, de nommer le septième art ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Les Dardenne confirment ici qu'ils sont de grands découvreurs d'acteurs (...), mais aussi d'exceptionnels metteurs au point.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au bout du compte, cette histoire d'un menuisier qui recueille l'assassin de son fils est sans doute plus invraisemblable que celle d'un psychiatre qui mangerait ses patients. Par le travail accompli dans Le Fils, les Dardenne et Gourmet font de cette légende dorée un moment vrai de l'expérience humaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
Miracle, aussi, d'interprétation. Et c'est ici qu'il faut parler d'Olivier Gourmet, qui était déjà le père de " La Promesse ". Opaque, tout de colère rentrée, de cris réfrénés, inquiétant et rassurant à la fois, il est, ici, bouleversant. Humain, si humain... Cannes, pour ce rôle, lui a donné le prix d'interprétation. Il faut aller l'y voir.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Jean-Pierre et Luc Dardenne signent un thriller suffocant, débordant d'émotion et physiquement intense.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Entre réalisme et lyrisme radical, LE FILS est le portrait sans fard d'un père, " orphelin " de son fils, magnifié par la présence d'Olivier Gourmet, grand acteur encore peu connu du public. Il imprime une vérité (de cinéma) assez rare chez les comédiens, on croit au personnage plus qu'à la performance d'acteur.
Positif
par Françoise Audé
Les Dardenne atteignent un point d'équilibre qui n'est pas une question de juste milieu, mis une affirmation de la supériorité d'une morale spontanée. Ils nous laissent ainsi sans voix et bouleversés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier De Bruyn
La caméra des Dardenne enregistre la tension, le désarroi sur le visage du père (Olivier Gourmet, remarquable), des quantités de choses anodines transfigurées par la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Entre haine et pardon, passé et présent, "Le Fils", plongée sans filet dans l'inéluctable (de la mort, de la solitude et de la violence gratuite), capte, plein phares, la fascination des hommes pour leurs propres souffrances, une façon de rôder autour des monstres qui les dévorent, morbide et pourtant vitale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Marine Landrot
(...) Jean-Pierre et Luc Dardenne tissent sous nos yeux une oeuvre splendide, logiqe, mouvante, sans accrocs. Quoi de plus rare ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Le héros ne cesse de s'agiter. Il va et vient. Fébrile, nerveux, inquiet ; la caméra le suit, lui et pas un autre, faisant de son angoisse le coeur du film.
Brazil
par Caroline Vié
Le fils n'est pas une expérience agréable, mais un film courageux qui hante durablement en abordant de front la complexité des rapports humains.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le réalisme des Dardenne est fusionnel ; il ne se fonde jamais sur l'exclusion d'un élément au pprofit d'un autre. Si l'un s'écroule, tout tombe.
Cine Libre
par Philippe Leclercq
Humains, très humains, les Dardenne semblent situer leur cinéma par-delà le bien et le mal. Si bien que dénuée de fioritures, leur démarche s'apparente de plus en plus à une quête de la pureté.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Quant à Olivier Gourmet, leur menuisier, bleu de travail et grosses lunettes de myope, il a obtenu un prix d'interprétation mérité au dernier Festival de Cannes.
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Marie Marvier
Pour une fois, les Dardenne joueront d'un léger artifice scénaristique, d'un suspense quelque peu hitchcockien. Ce sera bien la seule concession dans un scénario en forme d'épure.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
Zurban
par Eric Quéméré
Quand on sort du Fils, c'est comme si l'on était un peu plus présent au monde, comme si une part de l'humanité nous était rendue.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Chronic'art.com
Le Fils reconduit brillamment l'entreprise de cinéma initiée par Rosetta : un cinéma sans répit, tout en tension, en trajectoires chaotiques, où le monde est vu par-dessus l'épaule d'un personnage, un cinéma de la filature et de la course-poursuite, de la traque.
Cinopsis.com
Bien qu'une grande bouffée d'air pur s'impose à la sortie de la projection, on ne peut aussi s'empêcher de repenser à l'interprétation du fidèle Olivier Gourmet qui continue encore à nous brasser le coeur et les tripes. Rarement un acteur n'avait tout simplement été capable d'être avec autant de réalisme. Rien que pour ça, ça valait la peine.
L'Humanité
Est-il besoin d'ajouter que le Fils, en sa qualité d'oeuvre si excellemment pensée, mûrie, réalisée, chavire la conscience et relève d'une conception de la catharsis dont il est peu d'exemples dans ce qu'il faut bien continuer, pour le coup, de nommer le septième art ?
L'Obs
Les Dardenne confirment ici qu'ils sont de grands découvreurs d'acteurs (...), mais aussi d'exceptionnels metteurs au point.
Le Monde
Au bout du compte, cette histoire d'un menuisier qui recueille l'assassin de son fils est sans doute plus invraisemblable que celle d'un psychiatre qui mangerait ses patients. Par le travail accompli dans Le Fils, les Dardenne et Gourmet font de cette légende dorée un moment vrai de l'expérience humaine.
Les Echos
Miracle, aussi, d'interprétation. Et c'est ici qu'il faut parler d'Olivier Gourmet, qui était déjà le père de " La Promesse ". Opaque, tout de colère rentrée, de cris réfrénés, inquiétant et rassurant à la fois, il est, ici, bouleversant. Humain, si humain... Cannes, pour ce rôle, lui a donné le prix d'interprétation. Il faut aller l'y voir.
Les Inrockuptibles
Jean-Pierre et Luc Dardenne signent un thriller suffocant, débordant d'émotion et physiquement intense.
MCinéma.com
Entre réalisme et lyrisme radical, LE FILS est le portrait sans fard d'un père, " orphelin " de son fils, magnifié par la présence d'Olivier Gourmet, grand acteur encore peu connu du public. Il imprime une vérité (de cinéma) assez rare chez les comédiens, on croit au personnage plus qu'à la performance d'acteur.
Positif
Les Dardenne atteignent un point d'équilibre qui n'est pas une question de juste milieu, mis une affirmation de la supériorité d'une morale spontanée. Ils nous laissent ainsi sans voix et bouleversés.
Première
La caméra des Dardenne enregistre la tension, le désarroi sur le visage du père (Olivier Gourmet, remarquable), des quantités de choses anodines transfigurées par la mise en scène.
TéléCinéObs
Entre haine et pardon, passé et présent, "Le Fils", plongée sans filet dans l'inéluctable (de la mort, de la solitude et de la violence gratuite), capte, plein phares, la fascination des hommes pour leurs propres souffrances, une façon de rôder autour des monstres qui les dévorent, morbide et pourtant vitale.
Télérama
(...) Jean-Pierre et Luc Dardenne tissent sous nos yeux une oeuvre splendide, logiqe, mouvante, sans accrocs. Quoi de plus rare ?
Aden
Le héros ne cesse de s'agiter. Il va et vient. Fébrile, nerveux, inquiet ; la caméra le suit, lui et pas un autre, faisant de son angoisse le coeur du film.
Brazil
Le fils n'est pas une expérience agréable, mais un film courageux qui hante durablement en abordant de front la complexité des rapports humains.
Cahiers du Cinéma
Le réalisme des Dardenne est fusionnel ; il ne se fonde jamais sur l'exclusion d'un élément au pprofit d'un autre. Si l'un s'écroule, tout tombe.
Cine Libre
Humains, très humains, les Dardenne semblent situer leur cinéma par-delà le bien et le mal. Si bien que dénuée de fioritures, leur démarche s'apparente de plus en plus à une quête de la pureté.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Quant à Olivier Gourmet, leur menuisier, bleu de travail et grosses lunettes de myope, il a obtenu un prix d'interprétation mérité au dernier Festival de Cannes.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Pour une fois, les Dardenne joueront d'un léger artifice scénaristique, d'un suspense quelque peu hitchcockien. Ce sera bien la seule concession dans un scénario en forme d'épure.
Zurban
Quand on sort du Fils, c'est comme si l'on était un peu plus présent au monde, comme si une part de l'humanité nous était rendue.